Antinaupathique
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Dernière modification de cette page le 28 avril 2017
- Anglais : anti travel thickness
- Espagnol : anticinetósico
- Étymologie : grec άντί anti opposé à, ναῦς naus navire, πάθος pathos ce que l’on éprouve, et πάθή pathê souffrance, douleur
- adj. et n. m. Qualifie ou désigne une substance qui s’oppose au mal de mer et, par extension, au mal des transports (air, montagne, voiture).
- Les mécanismes d’action et les classes thérapeutiques sont variables : antihistaminiques sédatifs et antivertigineux (diphénydramine, dimenhydrinate), anti-émétiques (métopimazine, alizapride), antispamodiques (scopolamine, antagonistes muscariniques), inhibiteurs de l’anhydrase carbonique (acétazolamide). Ce dernier, préconisé dans le mal des montagnes, diminue la formation de liquide céphalorachidien au niveau des plexus choroïdes et améliore la ventilation pulmonaire par abaissement du pH.