Conscience : Différence entre versions
Sauter à la navigation
Sauter à la recherche
[version vérifiée] | [version vérifiée] |
(Mise à jour date de révision) |
(Cible de liens Cf) |
||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Titre et classement | {{Titre et classement | ||
+ | |VM_Lien_DirPub=Oui | ||
+ | |VM_Cible=Oui | ||
|VM_Date_de_révision=15 janvier 2016 | |VM_Date_de_révision=15 janvier 2016 | ||
|VM_Titre_gras=Oui | |VM_Titre_gras=Oui |
Version actuelle datée du 18 janvier 2016 à 09:46
Dernière modification de cette page le 15 janvier 2016
- Anglais : consciousness
- Espagnol : conciencia
- Étymologie : latin conscĭentĭa connaissance, sentiment intime
- n. f. En morale, jugement de valeur sur ses propres actes, d’où le sentiment du bien et du mal par référence à une morale et l’expression « cas de conscience ».
- Disposition juridique particulière (clause de conscience) permettant éventuellement, lorsqu’elle est invoquée, à une personne de s’exonérer de certaines contraintes imposées par la loi ou de s’abstenir de certaines actions au motif que celles-ci sont contraires à la conception personnelle du bien et du mal que lui dicte sa conscience.
- Elle concerne souvent les professionnels de la santé. Et peut être parfois reconnue expressément par la loi comme un droit, exemple loi sur l’I.V.G. Le bien-fondé de la clause de conscience peut être éventuellement soumis à l’appréciation des tribunaux.
- Ensemble des capacités de percevoir ses propres activités psychiques, réponses sensorielles et perceptions du monde externe, constructions mentales et activités idéatoires, états émotionnels et motivationnels ainsi que ses actions.
- L’évolution des recherches en neuropsychologie réduit l’opposition entre conscience et inconscience et décrit une vie mentale inconsciente très riche et qui tente de préciser les spécificités propres à la cognition consciente.