A - B - C - D - E - F - G - H - I - J - K - L - M - N - O - P - Q - R - S - T - U - V - W - X - Y - Z - Autres

Pégloticase : Différence entre versions

De acadpharm
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
[version vérifiée][version vérifiée]
(Mise à jour date de révision)
(Mise à jour date de révision)
 
Ligne 1 : Ligne 1 :
 
{{Titre et classement
 
{{Titre et classement
|VM_Date_de_révision=07 janvier 2017
+
|VM_Date_de_révision=02 mars 2017
 
|VM_Titre_gras=Oui
 
|VM_Titre_gras=Oui
 
|VM_Titre_italique=Non
 
|VM_Titre_italique=Non

Version actuelle datée du 13 mars 2017 à 10:42

Dernière modification de cette page le 02 mars 2017
n. f. (DCI). Uricase recombinante de type porcin. Peptide tétramérique, composé de 4 chaînes identiques d'environ 300 acides aminés chacune. Approximativement, 9 des 30 résidus lysine, dans chaque chaîne, sont pégylés (les chaînes latérales comprennent environ 225 unités d'éthylène glycol chacune).
Comme la rasbirucase, la pégloticase transforme l'acide urique en allantoïne qui est 5 à 10 fois plus hydrosoluble que l'acide urique. Du fait de la pégylation, elle a une demi-vie beaucoup plus longue (de 10 à 12 jours) que la rasbirucase (environ 18 heures).

La pégloticase avait une une autorisation temporaire d'utilisation (ATU), en milieu hospitalier, pour le traitement de la goutte chronique sévère, résistante aux autres traitements. Autorisation retirée par la Commission européenne en juin 2016.