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Schizonte : Différence entre versions

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Version du 10 février 2016 à 09:25

Dernière modification de cette page le 15 janvier 2016
Anglais : schizont
Espagnol : esquizonte
Étymologie : grec σχίζω skízô fendre, séparer en fendant et ὄν ón, génitif ὄντος óntos, ce qui est, l’être, participe présent neutre singulier substantif du verbe εἰµί eimí être
n. m. Élément plurinucléé présent dans les cellules siège d'une division asexuée. Les sporozoïtes injectés dans la peau et la circulation sanguine par le moustique pénètrent dans les hépatocytes au bout d'une demi-heure et se transforment en cryptozoïtes. Les schizontes hépatiques proviennent de la multiplication asexuée des noyaux des cryptozoïtes ou corps bleu (cycle exo-érythrocytaire), puis chaque noyau se dote d'un peu de cytoplasme et s'entoure d'une membrane plasmique pour donner un mérozoïte. Enfin, l'hépatocyte et le schizonte mûr éclatent et libèrent les mérozoïtes uninucléés dans les sinusoïdes hépatiques. Les mérozoïtes gagneront ensuite la circulation sanguine pour pénétrer dans les hématies (cycle intra-érythrocytaire). Les mérozoïtes intra-érythrocytaires deviennent des trophozoïtes qui subissent une division nucléaire (schizogonie) et forment des schizontes érythrocytaires dont l'éclatement est à l'origine des accès fébriles rythmés du paludisme.

Cf Plasmodium.