A - B - C - D - E - F - G - H - I - J - K - L - M - N - O - P - Q - R - S - T - U - V - W - X - Y - Z - Autres

Tranquillisant

De acadpharm
Révision datée du 24 janvier 2017 à 13:01 par Automate-maintenance (discussion | contributions) (Mise à jour date de révision)
(diff) ← Version précédente | Voir la version actuelle (diff) | Version suivante → (diff)
Sauter à la navigation Sauter à la recherche
Dernière modification de cette page le 24 janvier 2017
Synonyme(s) : anxiolytique
Anglais : tranquilizer (US) ) ou tranquilliser (UK)
Espagnol : tranquilizante
Étymologie : latin tranquillus calme, paisible, tranquille
adj. et n. m. Terme imprécis, avec une connotation de sédation, utilisé couramment à la place d'anxiolytique, voire d'hypnotique ou même de neuroleptique, lorsqu'il s'agit de calmer un sujet agité ou délirant.
En dehors de leur activité anxiolytique fondamentale, les tranquillisants possèdent, pour la plupart et diversement développées selon les groupes, des propriétés sédatives, anticonvulsivantes et myorelaxantes. C'est parmi les benzodiazépines que l'on trouve le plus grand nombre des tranquillisants actuellement utilisés, la plupart de type 1,4, chlorés (exemples : diazépam, oxazépam, clorazépate dipotassique, alprazolam) ou bromées (exemple : bromazépam ) sur le noyau benzène, plus rarement de type 1,5 (exemple : clobazam) ou à noyau thiéno‑1,4‑diazépine (exemple : clotiazépam).
On utilise aussi des composés à noyau benzoxazine (exemple : étifoxine), des cyclopyrrolones (exemple : zopiclone), des imidazopyridines (exemple : zolpidem), un imide pipéridinique, la buspirone.
L'ancienne classe de tranquillisants à fonction uréthane n'est plus guère représentée que par le méprobamate, mais on continue d'utiliser largement des antihistaminiques H1 pour cet usage (exemples : hydroxizine, captodiame).