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|VM_Définition=Produit d’[[Immunothérapie|immunothérapie]] à base de [[Lympocyte|lymphocytes]] T CD4+ et CD8+ autologues, cellules mononucléées du sang périphérique obtenues par leucophérèse, qui sont transduits par un vecteur lentiviral auto-inactivant (SIN), dérivé du virus de l’immunodéficience humaine (VIH), codant un [[Récepteur|récepteur]] de lymphocytes T (TCR) à affinité augmentée, spécifique du peptide HLA-A*02 de l’antigène du mélanome humain A4 (membre A4 de la famille MAGE, antigène MAGE-4), sous le contrôle d’un promoteur du facteur d’élongation alpha 1 (EF1a).</Br></Br>
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Les cellules expriment les marqueurs de migration des ganglions lymphatiques CCR7 et CD62L, les isoformes CD45RA et CD45R0 du CD45, les marqueurs costimulateurs CD27 et CD28, le récepteur CD127 de l’interleukine-7 (IL-7) et les récepteurs de chimiokines CXCR3. Les cellules secrètent de l’interleukine-2 (IL-2), le facteur de nécrose tumorale (TNF-alpha, TNFα), l’interféron-gamma (interféron-y, IFN-gamma), des granzymes, l’[[Interleukine|interleukine]]-4 (IL-4), l’interleukine-13 (IL-13) et l’interleukine-17 (IL-17) au moment de leur activation.
Les cellules expriment les marqueurs de migration des [[Ganglion|ganglions]] lymphatiques CCR7 et CD62L, les isoformes CD45RA et CD45R0 du CD45, les marqueurs costimulateurs CD27 et CD28, le récepteur CD127 de l’interleukine-7 (IL-7) et les récepteurs de chimiokines CXCR3. Les cellules secrètent de l’interleukine-2 (IL-2), le facteur de [[Nécrose|nécrose]] tumorale (TNF-alpha, TNFα), l’interféron-gamma (interféron-γ, IFN-gamma), des granzymes, l’[[Interleukine|interleukine]]-4 (IL-4), l’interleukine-13 (IL-13) et l’interleukine-17 (IL-17) au moment de leur activation.
|VM_Commentaires=Cette thérapie cellulaire est prescrite pour le traitement de patients adultes atteints d’un sarcome synovial non résécable ou métastatique, qui ont reçu une chimiothérapie antérieure, et sont positifs pour HLA A*02:01P, -A* 02:02P, -A* 02:03P ou -A*02:06P, et dont la tumeur exprime l’antigène MAGE A4, tel que déterminé par des dispositifs de diagnostic compagnons approuvés ou autorisés.</Br></Br>
|VM_Commentaires=Cette thérapie cellulaire est prescrite pour le traitement de patients adultes atteints d’un sarcome synovial non résécable ou métastatique, qui ont reçu une [[Chimiothérapie|chimiothérapie]] antérieure, et sont positifs pour HLA A*02:01P, -A* 02:02P, -A* 02:03P ou -A*02:06P, et dont la tumeur exprime l’[[Antigène|antigène]] MAGE A4, tel que déterminé par des dispositifs de diagnostic compagnons approuvés ou autorisés.</Br></Br>Le produit est fourni dans une poche (contenue dans une cassette métallique), et la suspension cellulaire est administrée par perfusion intraveineuse ; la dose recommandée comprend entre 2,68 x 10<sup>9</sup> et 10 x 10<sup>9</sup> cellules.
Le produit est fourni dans une poche (contenue dans une cassette métallique), et la suspension cellulaire est administrée par perfusion intraveineuse ; la dose recommandée comprend entre 2,68 x 10<sup>9</sup> et 10 x 10<sup>9</sup> cellules.
</Br></Br>Contre-indication : '''Ne pas utiliser l’afamitresgène autoleucel chez les adultes hétérozygotes ou homozygotes pour HLA -A* 02:05P'''.</Br></Br>Un syndrome de relargage de cytokines (SRC), qui peut être sévère ou mettre en jeu le pronostic vital, est survenu chez des patients recevant l’afamitresgène autoleucel. Au premier signe de SRC, évaluer immédiatement le patient en vue de son hospitalisation, et instituer un traitement de soutien.
</Br>Contre-indication : '''Ne pas utiliser l’afamitresgène autoleucel chez les adultes hétérozygotes ou homozygotes pour HLA A* 02:05P'''.</Br></Br>
Un syndrome de relargage de cytokines (SRC, qui peut être sévère ou mettre en jeu le pronostic vital, est survenu chez des patients recevant l’afamitresgène autoleucel. Au premier signe de SRC, évaluer immédiatement le patient en vue de son hospitalisation, et instituer un traitement de soutien.
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Dernière version du 25 août 2024 à 02:00

Adhésine ←

Adrénocorticotrophine

Adrénocorticotropine (ACTH)

Adrénoleucodystrophie n. f. Maladie génétique transmise sur le mode récessif lié au sexe. Transmise par la femme porteuse, elle touche les garçons. La mutation du gène ABCD1 sur le bras long du chromosome Xq 28 provoque une maladie neurodégénérative et évolutive et une insuffisance surrénale (maladie…

Adrénolytique adj. et n. m. Qualifie ou désigne une substance se liant sur les récepteurs α adrénergiques (par exemple prazosine) ou β (par exemple propranolol) et s’opposant à la fois aux effets de la stimulation du système sympathique et à ceux des agonistes adrénergiques.

Adrénomimétique adj. et n. m. Qualifie ou désigne une substance qui reproduit les effets de ladrénaline ou de la noradrénaline.

Adressage n. m. Ensemble des mécanismes qui assure le transport intracellulaire de protéines de leur site de biosynthèse à leur site de destination. Exemple : le transport de protéines formées dans le reticulum endoplasmique vers les membranes plasmiques en passant par lappareil de Golgi). Ladressage des protéines dépend…

Adriamycine

Adsolubilisation n. f. Solubilisation dans des admicelles, au niveau d’une interface solide-liquide, d’une substance non tensioactive qui serait incapable de s’adsorber seule.

Adsorbant n. m. Produit (ex charbon, kaolin...) qui peut diminuer l’absorption digestive d’une substance médicamenteuse lorsqu’on l’associe à lui.

Adsorption n. f. Phénomène de surface consistant en la fixation énergique de composés solides, liquides ou gazeux à la surface d’une matière solide dite adsorbant. L’adsorption suit les lois quantitatives de Langmuir (de I. Langmuir, 1881-1957, chimiste américain, prix Nobel 1932) et de Freundlich (de H. Freundlich…

Aducanumab n. m. Anticorps monoclonal humain, de type IgG1, dirigé contre les agrégats de peptides β-amyloïdes solubles et insolubles. L’agrégation de ces peptides forme des plaques au sein du parenchyme cérébral au cours de la maladie d’Alzheimer (plaques séniles extracellulaires).

Adventice adj. et n. m. Qualifie ou désigne une plante introduite de façon souvent involontaire, ne se naturalisant pas entièrement sauf si l’homme maintient un milieu artificiel qui lui convient (friche,…) ; par extension, se dit d’une plante « indésirable » ou « mauvaise herbe » présente dans une culture…

Adventif adj. En botanique, qualifie un organe, surtout racine ou bourgeon, qui apparaît dans une position inhabituelle, ne respectant pas les processus normaux de ramifications ; exemple : une racine adventive sur la tige de lierre grimpant, les racines ayant habituellement une position terminale et axiale.

Aedes Moustique cosmopolite de la famille des Culicidae. Le genre Aedes, en particulier le sous-genre Stegomyia, est vecteur d’arboviroses (méningo-encéphalites virales), de la dengue, du chikungunya (A. albopictus), de la fièvre jaune et de filarioses.

Aéro-anaérobie n. m. Micro-organisme capable de vivre en présence doxygène ou en son absence (hydrogène ou azote).

Aérobie 1- adj. Qualifie tout processus biochimique tributaire de loxygène moléculaire ; 2- n.m. micro-organisme ayant besoin doxygène libre pour assurer sa survie.

Aérobiose n. f. Ensemble des conditions de vie en milieu aérobie.

Aerococcus Genre de la famille des Aerococcaceae. Cocci à Gram positif immobiles, aéro-anaérobies. Aerococcus viridans, bactérie opportuniste responsable dendocardites infectieuses.

Aérogastrie n. f. Accumulation d’air dans l’estomac susceptible de provoquer sa distension.

Aérogel n. m. Gel dans lequel la composante liquide a été remplacée par du gaz. Matériau poreux présentant une aire spécifique élevée et une densité très faible généralement, obtenu par extraction ou séchage d’un gel en conditions supercritiques. Cf fluide supercritique.

Aeromonas Genre de la famille des Aeromonadaceae. Bacilles immobiles ou mobiles, à Gram négatif, aéro-anaérobies facultatifs, asporulés, non capsulés. Germes des eaux douces et salées et des produits alimentaires, infectant principalement poissons et coquillages.

Aéropalynologie n. f. Étude des pollens (plantes à fleurs) et des spores (champignons) qui sont en suspension dans l’air et potentiellement allergisants.

Aérophagie n. f. Déglutition dair excessive, le plus souvent inconsciente, qui pénètre dans lœsophage et lestomac et provoque des manifestations pathologiques dont des éructations, puis éventuellement une dilatation de ces organes.

Aéroponie n. f. Forme de culture hors-sol sans substrat avec un approvisionnement permanent sur les racines, deau et déléments nutritifs, par vaporisation. Les racines des plantes se développent dans lair dans des systèmes contraints selon le type de culture (horticulture maraîchère, floriculture...).

Aérosol n. m. Dispersion dun produit solide ou liquide dans un gaz. Selon les conditions de fabrication, le diamètre des particules peut varier entre 0,001 et 10 μm.

AESA

Aescine n. f. Terme désignant un mélange de saponosides triterpéniques extrait des marrons d’Inde (graines du marronnier d’Inde, Aesculus hippocastanum, Sapindaceae). Structure constituée d’un aglycone triterpénique polyhydroxylé variable, partiellement estérifié sur les fonctions hydroxyle en C-21 et C-22, dont lhydroxyle porté par le C-3 est uni par une…

Aesculus Genre de Sapindaceae (incluant Hippocastanaceae), dont Æsculus hippocastanum, le marronnier d’Inde, grand arbre caractéristique par ses feuilles composées et palmées, ses fleurs rassemblées en thyrses, et ses capsules épineuses contenant chacune une grosse graine toxique (à ne pas confondre avec la châtaigne comestible, fruit du…

Æthusa Genre d’Apiaceae, dont Æthusa cynapium, la petite ciguë, petite herbe annuelle adventice des jardins, peu odorante, aux feuilles ressemblant à celles du persil ou surtout du cerfeuil, à ombelles de petites fleurs blanches caractéristiques par leurs involucelles à bractées réfléchies ; ses principes toxiques, les…

Afamélanotide n. m. Tridécapeptide synthétique, analogue de l’hormone mélanotrope α-MSH (α-melanocyte-stimulating hormone). La séquence dacides aminés est : Ac-Ser-Tyr-Ser-Nle-Glu-His-D-Phe-Arg-Trp-Gly-Lys-Pro-Val-NH2.Agoniste des récepteurs de la mélanocortine, l’afamélanotide se lie principalement au récepteur de la mélanocortine de type 1 (MC1R), en activant la synthèse de l’eumélanine. Sa liaison au récepteur persiste…


Afatinib n. m. Inhibiteur irréversible des fonctions tyrosine kinases des récepteurs de facteurs de croissance épidermique HER1 (ErbB), eux‑mêmes impliqués dans les mécanismes de signalisation intracellulaire contrôlant la croissance, la survie, ladhésion, la migration ainsi que la différenciation de la cellule.

Afécal adj. Caractère d’une exonération aqueuse expulsée par lanus contenant peu ou pas de résidus ou fibres alimentaires, de produits de sécrétion ou d’excrétion intestinale et peu de bactéries de putréfaction. Exemple, selles dans l’amoebose (crachat rectal).

Affect n. m. Réaction psychique ou immédiate dans des situations agréables ou désagréables. Peut désigner un état mental et émotionnel, par opposition à un état cognitif, ou une sensation de plaisir ou de désagrément provoquée par un stimulus (aspect élémentaire de l’affectivité).

Affection n. f. Terme générique désignant tout processus morbide, sans préjuger de ses causes.

Affinité n. f. Terme qui exprime un rapport de conformité, de ressemblance, de complémentarité ou de liaison par exemple affinité entre enzyme et substrat en enzymologie, complémentarité entre antigène et anticorps en immunologie, tendance que présente un réactif à réagir avec un autre.

Affusion n. f. Opération (analytique, pharmacotechnique) consistant à verser un liquide par fractions successives sur un autre liquide, un solide ou sur une partie du corps d’un patient.

Afipia n. f. Bactérie récemment décrite par ce laboratoire de Washington. Petit bacille à Gram négatif, mobile, dont il existe six espèces : Afipia relis, responsable dun petit nombre de cas de maladie des griffes du chat, A. clevelandensis, A. broomeae et trois autres appelées 1B, 2B et…

Aflatoxines n. f. Les aflatoxines font partie d’une grande famille de mycotoxines (environ 20). Toutes dérivées de la difuranocoumarine, elles sont classées en deux groupes, selon leurs structures et leur fluorescence sous rayonnement UV. Les aflatoxines de type B et G fluorescent respectivement en bleu et en vert…

Aflibercept n. m. Protéine de fusion recombinante composée des fragments des domaines extracellulaires des récepteurs de type 1 et 2 des VEGF (facteur de croissance de lendothélium vasculaire) humains, fusionnés au fragment Fc de lIgG1 humaine. Cette substance active est obtenue par la technologie de lADN recombinant. Elle…

AFM (Atomic force microscopy)

AFNOR

AFP

Afssaps

After-shave

Ag

Agalsidase n. f. Terme désignant deux formes d’alpha‑galactosidase recombinante humaine utilisée en enzymothérapie substitutive dans la maladie de Fabry, maladie de surcharge liée à l’X. Cette enzyme catalyse la libération de lα -D-galactose situé en position terminale des glycosphingolipides  ; son absence dans la maladie de Fabry…

Agame adj. Se dit d’un organisme qui se reproduit sans l’intervention de gamètes et peut donc se perpétuer, identique à lui-même, de génération en génération.

Agammaglobulinémie n. f. Absence (ou niveau extrêmement bas) dimmunoglobulines sériques, par suite du déficit de lymphocytes B circulants alors que les prélymphocytes B sont présents dans la moelle osseuse. Ce déficit se traduit par une forte diminution des défenses immunitaires de lorganisme. Une agammaglobulinémie peut être acquise ou…

Agar agar

Agaric n. m. Au cours de l’histoire de la mycologie, ce terme a d’abord désigné des champignons à sporophore bien visible (comme l’agaric officinal, aujourd’hui un polypore, Laricifomes officinales) mais a vite été restreint aux espèces dont les sporophores portent des lamelles. Aujourd’hui ce terme, au sens strict,…

Agaricaceae Famille de champignons supérieurs (Basidiomycota) à sporophore lamellé, sporée brun terne à brun-noir, lames libres, voile partiel annuliforme parfois complexe ou doublé d’une armille, saprotrophe. Le genre principal est le genre Agaricus, qui renferme des espèces comestibles réputées (A. campestris L. : Fr., le rosé…

Agaricoïde adj. 1- Qualifie un sporophore de champignon lamellé par opposition aux espèces non lamellées. 2- Qualifie la silhouette, le port d’un champignon dont les lames sont libres et qui possède un voile partiel annuliforme.

Agaricomycètes Dans le système de classification des Basidiomycota, ensemble correspondant à ce que l’on a aussi appelé Agaricomycetidae, mais considéré au rang de classe (-mycètes). Au sens le plus strict actuel, cette classe renferme la majorité des Agaricomycotina, à l’exclusion des Tremellomycètes (trémelles et affines) et…

Agaricomycetidae Dans le système de classification des Basidiomycota, ensemble renfermant les espèces typiquement lamellées, considéré au rang hiérarchique de sous-classe (-mycetideae). Le périmètre de ce groupe a évolué au fil du temps et on en a rapidement exclu au moins les Russulaceae (russules et lactaires). Au…

Agaricomycotina Subdivision (ou sous-phylum) des Basidiomycota, renfermant, dans le système actuel, les classes Dacrymycètes, Tremellomycètes et Agaricomycètes.

Agaricus

Agastrie n. f. Situation marquée par l’absence d’estomac.

Agave Genre d’Asparagaceae originaire d’Amérique tropicale, aux feuilles coriaces et succulentes et très grandes inflorescences (plantes monocarpiques) ; leur sève fermentée fournit le pulque, et Agave tequilana est à l’origine de la tequila ; les fibres cellulosiques d’Agave sisalana constituent le sisal.

Âge n. m. Période écoulée depuis la naissance

Agence n. f. Organisation ayant pour finalité des actions dans un domaine particulier ou un certain type d’action(s).



→ Aigrette

Afamitresgène autoleucel

Dernière modification de cette page le 24 août 2024



n. m.  (DCI). Produit d’immunothérapie à base de lymphocytes T CD4+ et CD8+ autologues, cellules mononucléées du sang périphérique obtenues par leucophérèse, qui sont transduits par un vecteur lentiviral auto-inactivant (SIN), dérivé du virus de l’immunodéficience humaine (VIH), codant un récepteur de lymphocytes T (TCR) à affinité augmentée, spécifique du peptide HLA-A*02 de l’antigène du mélanome humain A4 (membre A4 de la famille MAGE, antigène MAGE-4), sous le contrôle d’un promoteur du facteur d’élongation alpha 1 (EF1a).

Les cellules expriment les marqueurs de migration des ganglions lymphatiques CCR7 et CD62L, les isoformes CD45RA et CD45R0 du CD45, les marqueurs costimulateurs CD27 et CD28, le récepteur CD127 de l’interleukine-7 (IL-7) et les récepteurs de chimiokines CXCR3. Les cellules secrètent de l’interleukine-2 (IL-2), le facteur de nécrose tumorale (TNF-alpha, TNFα), l’interféron-gamma (interféron-γ, IFN-gamma), des granzymes, l’interleukine-4 (IL-4), l’interleukine-13 (IL-13) et l’interleukine-17 (IL-17) au moment de leur activation.


Cette thérapie cellulaire est prescrite pour le traitement de patients adultes atteints d’un sarcome synovial non résécable ou métastatique, qui ont reçu une chimiothérapie antérieure, et sont positifs pour HLA A*02:01P, -A* 02:02P, -A* 02:03P ou -A*02:06P, et dont la tumeur exprime l’antigène MAGE A4, tel que déterminé par des dispositifs de diagnostic compagnons approuvés ou autorisés.

Le produit est fourni dans une poche (contenue dans une cassette métallique), et la suspension cellulaire est administrée par perfusion intraveineuse ; la dose recommandée comprend entre 2,68 x 109 et 10 x 109 cellules.


Contre-indication : Ne pas utiliser l’afamitresgène autoleucel chez les adultes hétérozygotes ou homozygotes pour HLA -A* 02:05P.

Un syndrome de relargage de cytokines (SRC), qui peut être sévère ou mettre en jeu le pronostic vital, est survenu chez des patients recevant l’afamitresgène autoleucel. Au premier signe de SRC, évaluer immédiatement le patient en vue de son hospitalisation, et instituer un traitement de soutien.