« Bulévirtide » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
(Liens internes) |
||
(Une version intermédiaire par un autre utilisateur non affichée) | |||
Ligne 14 : | Ligne 14 : | ||
|VM_Sous-entrée_gras=Oui | |VM_Sous-entrée_gras=Oui | ||
|VM_Sous-entrée_italique=Non | |VM_Sous-entrée_italique=Non | ||
|VM_Définition=Lipopeptide de synthèse, dérivé de la protéine d'enveloppe du virus de l’hépatite B (VHB) — domaine pré-S1 tronqué —, qui bloque le [[Cotransporteur|cotransporteur]] sodium/acide biliaire, qui comprenant 47 acides aminés et une myristoylation au niveau du ''N''-terminal.</Br></Br>Sa séquence est myristoyl-GTNLSVPNPLGFFPDHQLDPAFGANSNNPDWDFNPNKDHWPEANKVG-OH.</Br></Br>En bloquant le polypeptide cotransporteur du [[Taurocholique (acide)|taurocholate]] de sodium (NTCP ; SLC10A1), transporteur naturel des acides biliaires, qui est en même temps le récepteur hépatique à haute affinité du VHB et du virus de l’hépatite delta (VHD), le bulévirtide empêche la propagation intrahépatique du virus. Les patients atteints de VHD cliniquement chroniques sous bulévirtide ont montré une diminution marquée des titres de VHD et une normalisation de l'enzyme hépatique alanine-[[Aminotransférase|aminotransférase]], qui est un substitut clinique important de l'évolution de la maladie. | |VM_Définition=Lipopeptide de synthèse, dérivé de la protéine d'enveloppe du virus de l’hépatite B (VHB) — domaine pré-S1 tronqué —, qui bloque le [[Cotransporteur|cotransporteur]] sodium/acide biliaire, qui comprenant 47 acides aminés et une myristoylation au niveau du ''N''-terminal.</Br></Br>Sa séquence est myristoyl-GTNLSVPNPLGFFPDHQLDPAFGANSNNPDWDFNPNKDHWPEANKVG-OH.</Br></Br>En bloquant le [[Polypeptide|polypeptide]] cotransporteur du [[Taurocholique (acide)|taurocholate]] de sodium (NTCP ; SLC10A1), transporteur naturel des acides biliaires, qui est en même temps le récepteur hépatique à haute affinité du VHB et du virus de l’hépatite delta (VHD), le bulévirtide empêche la propagation intrahépatique du virus. Les patients atteints de VHD cliniquement chroniques sous bulévirtide ont montré une diminution marquée des titres de VHD et une normalisation de l'enzyme hépatique alanine-[[Aminotransférase|aminotransférase]], qui est un substitut clinique important de l'évolution de la maladie. | ||
|VM_Commentaires=Il est indiqué pour le traitement de l'infection chronique par le virus de l'hépatite delta (VHD) chez les patients adultes et pédiatriques (âgés de 3 ans et plus, pesant au moins 10 kg) positifs au VHD-ARN plasmatique (ou sérique) et atteints d'une maladie hépatique compensée.</Br></Br>Le bulévirtide doit être administré à la dose de 2 mg une fois par jour (toutes les 24 heures ± 4 heures), par injection sous-cutanée, en monothérapie ou en co-administration avec un analogue [[Nucléoside|nucléosidique]]/[[Nucléotide|nucléotidique]] pour le traitement d’une infection sous-jacente par le virus de l’hépatite B (VHB).</Br></Br>Le traitement ne doit être initié que par un médecin expérimenté dans le traitement de patients présentant une infection par VHD. | |VM_Commentaires=Il est indiqué pour le traitement de l'infection chronique par le virus de l'hépatite delta (VHD) chez les patients adultes et pédiatriques (âgés de 3 ans et plus, pesant au moins 10 kg) positifs au VHD-ARN plasmatique (ou sérique) et atteints d'une maladie hépatique compensée.</Br></Br>Le bulévirtide doit être administré à la dose de 2 mg une fois par jour (toutes les 24 heures ± 4 heures), par injection sous-cutanée, en monothérapie ou en co-administration avec un analogue [[Nucléoside|nucléosidique]]/[[Nucléotide|nucléotidique]] pour le traitement d’une infection sous-jacente par le virus de l’hépatite B (VHB).</Br></Br>Le traitement ne doit être initié que par un médecin expérimenté dans le traitement de patients présentant une infection par VHD. | ||
|VM_Illustration=Bulévirtide.png | |||
|VM_Légende_illustration=Bulévirtide. | |VM_Légende_illustration=Bulévirtide. | ||
|VM_Position_illustration=Right | |VM_Position_illustration=Right |
Dernière version du 8 novembre 2024 à 03:00
Broyage n. m. Terme couramment employé pour désigner l’ensemble des opérations permettant de fragmenter des solides. Englobe les termes de concassage (broyage grossier), pulvérisation (broyage intermédiaire et fin) voire micronisation (broyage ultra-fin). Réalisé à l’aide de différents types de broyeurs, le broyage met en œuvre plusieurs mécanismes tels…
Broyeur n. m. Outil ou machine utilisé pour l’opération de broyage.
Brucella Genre de la famille des Parvobacteriaceae dont trois espèces pathogènes pour l’Homme (Brucella melitensis, B. abortus, B. suis). Coccobacille très petit, immobile, à Gram négatif, aérobie strict, asporulé, de culture lente sur milieux adaptés. Responsable de la brucellose, véritable anthropozoonose cosmopolite touchant plus volontiers le…
Brucellose n. f. Infection aux cent visages due à une espèce du genre Brucella. Anthropozoonose transmise à partir de diverses espèces animales à lhomme qui est un hôte accidentel, soit par voie cutanéo-muqueuse (contact avec un animal infecté ou un objet contaminé), soit par voie digestive (ingestion daliments…
Brugia Genre de nématodes de la famille des Onchocercidae comprenant les espèces Brugia malayi et B. timori pathogènes pour lHomme (agents de filarioses lymphatiques).
Bruit n. m.
Brûleur n. m. Appareil assurant la combustion d’un combustible après mélange avec un comburant le plus souvent gazeux par exemple l’oxygène de l’air.
Brûlure n. f. Lésion cutanée produite par l’action d’une flamme ou de la chaleur (brûlure thermique), ou d’une substance chimique (brûlure chimique).
Bruton (maladie de) n. f.
Bruyère n. f. Plante indigène des landes (Erica cinerea L., Ericaceae). Présence, dans les sommités fleuries, de polyphénols (flavonoïdes, proanthocyanidols) ; propriétés diurétiques et modérément antiseptiques urinaires.
Bryologie n. f. Désigne la partie de la botanique qui a pour but l’étude des bryophytes.
Bryone n. f. Herbe de la famille des Cucurbitaceae, vivace par une grosse racine fourchue et grimpant par des vrilles opposées aux feuilles et s’enroulant successivement dans un sens puis dans l’autre ; feuilles velues palmatilobées, fleurs verdâtres (espèce dioïque), petites baies rouge-pourpre à maturité.
Bryophyte n. m. Nom d’un embranchement du règne végétal rassemblant les hépatiques (Hepaticophyta), les mousses (Bryophyta) et les anthocérotes (Anthocerophyta). Tous ces organismes, qui sont souvent pionniers dans les écosystèmes, sont dépourvus de véritables tissus vasculaires et de vraies racines. Ils sont capables de tirer leurs nutriments de…
Bubble liposome Cf liposome chargé de gaz.
Bubon n. m. Terme ancien désignant une inflammation ganglionnaire due à une infection tuberculeuse, gonococcique ou de la peste.
Bubonique Cf peste bubonique.
Büchner (entonnoir de) n. m. Entonnoir en porcelaine muni d’une plaque perforée devant recevoir un papier-filtre et le supporter lorsqu’est appliquée une pression négative à son orifice inférieur.
Buchu. n. m. Arbuste originaire dAfrique du Sud, Agathosma betulina Pillans (synonyme Barosma betulina Bartl.& Wendl. et espèces voisines, Rutaceae). Présence dans la feuille de flavonoïdes et d’une huile essentielle dont l’odeur spécifique est due à des dérivés soufrés ; propriétés diurétiques et faiblement antiseptiques urinaires.
Budd-Chiari (syndrome de) Pathologie hépatique multifactorielle non cardiogénique, par obstruction veineuse du flux sanguin hépatique. Cette obstruction d’étiologie thrombotique ou non des veines hépatiques et de la veine cave peut parfois concerner la veine porte. Elle n’est pas à rattacher à une famille de syndromes veino-occlusifs. Le déficit…
Budésonide n. m. Cétal cyclique de la 16α-hydroxy-prednisolone, glucocorticoïde de synthèse anti‑inflammatoire.Inscrit sur la liste des Médicaments essentiels de lOMS (seul et associé au formotérol) et à la Pharmacopée Européenne (monographie 01/2010, 1075).
Budipine n. f. Antiparkinsonien. Diphénylpipéridine qui agirait par blocage des transmissions muscarinique et glutamatergique des récepteurs NMDA.
Bufadiénolide n. m. Structure stéroïdienne à 24 atomes de carbone substituée en C-17 par une lactone à six chaînons (δ-lactone) di-insaturée (pentadiénolide). Squelette des génines (par exemple scillarigénine, synonyme scillarénine) de certains hétérosides cardiotoniques présents notamment dans la scille et les hellébores.
Buflomédil (chlorhydrate de) n. m. Dérivé de léther triméthylique du phloroglucinol, à chaîne aminée et cétonique. Doué de propriétés spasmolytiques.Inscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 04/2013, 1398).
Bufoténine n. f. Alcaloïde indolique dérivé de la tryptamine présent dans la peau de certains batraciens (crapauds), dans des champignons et dans les graines d’arbres sud-américains, en particulier Anadenanthera colubrina (Vell.) Brenan et A. peregrina (L.) Speg., Fabaceae ex-Légumineuses ; également présente dans le sang et l’urine de…
Bugrane n. f. Herbacée épineuse indigène (Ononis spinosa L., Fabaceae ex-Légumineuses). Présence dans la racine d’isoflavonoïdes (formononétine, génistéine…) et de triterpènes ; propriétés diurétiques.Inscrite à la Pharmacopée Européenne, monographie 08/2019, 1879 corrigé 10.0 (racine de).
Buis n. m. Nom d’arbustes (environ 50 espèces) de la famille des Buxaceae à feuilles persistantes coriaces dégageant une odeur caractéristique, petites fleurs verdâtres (plante monoïque) ; le fruit est une capsule se terminant par 3 cornes.
Bulaquine n. f. Antipaludique, dérivé de la primaquine.
Bulbe n. m. Organe végétatif renflé, en général souterrain, comprenant une tige très courte (le plateau) dont le bourgeon terminal est protégé par des feuilles charnues non chlorophylliennes : ces dernières sont dites tuniquées lorsqu’elles sont charnues (par exemple oignon) ou écailleuses dans le cas contraire (par exemple…
Bulbeux adj. En botanique, qualifie un végétal qui possède un véritable bulbe ou un organe renflé comme un bulbe (par exemple, renoncule bulbeuse).
Bulle Cf point de bulle.
Bulletin n. m.
Bumétanide n. m. Sulfamide acide, diurétique de l’anse. Comme le furosémide, ce n’est pas un thiazidique.Inscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 01/2008, 1076).
Bungarotoxine n. f. Puissante neurotoxine du venin de Bungare, serpent dInde, qui provoque, même à très faibles doses, une paralysie neuromusculaire par blocage irréversible des récepteurs à lacétylcholine.
Bunsen (brûleur) n. m. Fait partie des nombreux dispositifs de chauffage (produisant des flammes) d’un laboratoire de chimie. Permet d’atteindre des températures modérément élevées (800 °C à 1400 °C). La température atteinte peut être régulée en partie par une arrivée d’air plus ou moins importante. Les combustibles sont le plus souvent…
Bunyaviridae Famille du groupe des arbovirus, à ARN monocaténaire, à génome circulaire et de longueur comprise entre 11 et 19 kilobases. Plus de deux cents Bunyaviridae groupés en trente groupes sérologiques et rattachés à quatre genres : Bunyavirus, Nairovirus, Phlebovirus, Uukavirus. Les plus redoutables sont les…
Buparlisib n. m. Inhibiteur spécifique et actif, par voie orale, de la famille des phosphatidylinositol‑3‑kinases (PI3K) de classe I, ayant un potentiel antinéoplasique. Il inhibe plus spécifiquement la PI3K de classe I qui forme le nœud de communication dans la signalisation intracellulaire PI3K/AKT, en entrant en compétition…
Bupivacaïne n. f. Anesthésique local le plus puissant actuellement utilisé. Réservée à lusage hospitalier, elle est indiquée dans les rachianesthésies, les anesthésies péridurales et certains blocs périphériques. Il est également possible de linjecter en infiltration dans les sites opératoires pour diminuer les douleurs jusquà vingt heures après la…
Buprénorphine n. f. Dérivé morphinique obtenu par hémisynthèse à partir de la thébaïne ; agoniste partiel des récepteurs opioïdes μ. Puissant analgésique morphinique.Inscrite à la Pharmacopée Européenne, monographies 07/2009, 1180 et 1181 (chlorhydrate de).
Bupropion n. m. (RS)-1-(3-chlorophényl)-2-(tertbutylamino) propan-1-one. Inhibiteur sélectif de la recapture neuronale de la noradrénaline et de la dopamine.
Bureau de Recherches Géologiques et Minières (BRGM) n. m. Établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) placé sous la tutelle des ministères chargés de la Recherche, de l’Écologie et de l’Économie. Il a été créé, en 1959, à la suite de la fusion de plusieurs établissements géologiques et miniers français, en faisant l’établissement…
Burette n. f. En chimie, dispositif permettant de délivrer des volumes connus d’une solution donnée à une température donnée.
Burkholderia Genre de bacilles à Gram négatif non fermentaires, présents dans l’environnement et renfermant des espèces pathogènes pour l’homme, l’animal ou les plantes. Autrefois inclus dans le genre Pseudomonas.
Burkitt (lymphome de) n. m. Lymphome malin pratiquement toujours associé au virus Epstein-Barr qui déclenche la prolifération maligne d’un clone de lymphocytes B. Fréquence d’une translocation t (8 ; 14) qui active l’oncogène C-myc impliqué dans la prolifération cellulaire. Rencontré surtout chez les enfants africains, il est en France le…
Burnett (Syndrome de) Insuffisance rénale aiguë provoquée par la consommation chronique, simultanée et excessive de lait et boissons alcalines ou une thérapie au long cours par le carbonate de calcium. Il se manifeste par des lithiases calciques articulaires et intra-rénales. La séméiologie biologique montre une alcalose métabolique, une…
Burosumab n. m. Anticorps monoclonal recombinant humain, de type IgG1, dirigé contre le facteur de croissance des fibroblastes de type 23, le FGF23 (Fibroblast growth factor 23)), protéine de régulation de l’homéostasie du phosphate et du métabolisme de la vitamine D. Des mutations sur le gène FGF23 situé sur le…
Burseraceae Famille de plantes subtropicales et tropicales de l’ordre des Sapindales, comprenant des arbres et arbustes aromatiques, dont l’écorce est caractérisée par des exsudats de résine blanche : c’est la source de l’encens ou oliban (Boswellia carterii Birdw.), de l’opoponax (Boswellia erythraea Engl.), de la myrrhe…
Bursite n. f. Pathologie rhumatismale par inflammation d’un saccule séreux ou d’une bourse séreuse qui limite la mobilité d’une articulation, le glissement de tendons ou de muscles. Elle concerne les épaules, les coudes, les poignets, les hanches et les genoux. Elle provoque des douleurs brûlantes avec raideurs articulaires…
Burst effect Cf décharge disruptive.
Buséréline n. f. 5-oxo-L-prolyl-L-histidyl-L-tryptophyl-L-séryl-L-tyrosyl-D-O-tert-butylséryl-L-leucyl-L-arginyl-L-prolin-éthylamid.Inscrite à la Pharmacopée Européenne (monographie 01/2016, 1077).
Buspirone (chlorhydrate de). n. f. Imide pipéridinique spiranique agoniste des récepteurs sérotoninergiques 5HTInscrite à la Pharmacopée Européenne (monographie 01/2008, 1711).
Busserole n. f. Petit arbrisseau rampant (Arctostaphylos uva-ursi (L.) Spreng., Ericaceae) des régions montagneuses de l’hémisphère nord. Feuille contenant des flavonoïdes, des acides phénoliques, des tanins et des hétérosides phénoliques (en particulier l’arbutoside libérant par hydrolyse de l’hydroquinone à activité antibactérienne).Inscrite à la Pharmacopée Européenne, monographie 08/2019,…
Busulfan n. m. Diméthanesulfonate de butane-1,4-diyle :Inscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 01/2008, 0542).
Butacaïne n. f. Dérivé de la procaïne à chaîne latérale allongée, anesthésique local de surface du groupe des amino-esters.
Buténafine (chlorhydrate de). n. f. Antifongique topique. Ce dérivé de la benzylamine, apparenté à la terbinafine, bloque létape dépoxydation du squalène lors de la synthèse des stérols chez les champignons. Antifongique à large spectre.
Buténolide n. m. Lactone à cinq chaînons (γ-lactone) α,β-insaturée.
Butibufène n. m. Dérivé analgésique et anti-inflammatoire appartenant à la série des acides arylcarboxyliques. Il est lhomologue supérieur de libuprofène.
Butoconazole n. m. Dérivé de l’imidazole, antifongique.
Butoforme n. m. Anesthésique local du groupe des orthoformes.
→ Caecum
Bulévirtide
n. m. (DCI). Lipopeptide de synthèse, dérivé de la protéine d'enveloppe du virus de l’hépatite B (VHB) — domaine pré-S1 tronqué —, qui bloque le cotransporteur sodium/acide biliaire, qui comprenant 47 acides aminés et une myristoylation au niveau du N-terminal.
Sa séquence est myristoyl-GTNLSVPNPLGFFPDHQLDPAFGANSNNPDWDFNPNKDHWPEANKVG-OH.
En bloquant le polypeptide cotransporteur du taurocholate de sodium (NTCP ; SLC10A1), transporteur naturel des acides biliaires, qui est en même temps le récepteur hépatique à haute affinité du VHB et du virus de l’hépatite delta (VHD), le bulévirtide empêche la propagation intrahépatique du virus. Les patients atteints de VHD cliniquement chroniques sous bulévirtide ont montré une diminution marquée des titres de VHD et une normalisation de l'enzyme hépatique alanine-aminotransférase, qui est un substitut clinique important de l'évolution de la maladie.
Il est indiqué pour le traitement de l'infection chronique par le virus de l'hépatite delta (VHD) chez les patients adultes et pédiatriques (âgés de 3 ans et plus, pesant au moins 10 kg) positifs au VHD-ARN plasmatique (ou sérique) et atteints d'une maladie hépatique compensée.
Le bulévirtide doit être administré à la dose de 2 mg une fois par jour (toutes les 24 heures ± 4 heures), par injection sous-cutanée, en monothérapie ou en co-administration avec un analogue nucléosidique/nucléotidique pour le traitement d’une infection sous-jacente par le virus de l’hépatite B (VHB).
Le traitement ne doit être initié que par un médecin expérimenté dans le traitement de patients présentant une infection par VHD.