« Rabéprazole sodique » : différence entre les versions

De Le dictionnaire
(Page créée avec « {{Titre et classement |VM_Date_de_révision=15 janvier 2016 |VM_Titre_gras=Oui |VM_Titre_italique=Non |VM_Clé_de_classement=rabeprazole sodique |VM_Extension_titre_italique=Non }} {{Définition-base |VM_Affiche_discipline=Oui |VM_Type_grammatical=n. |VM_DCI=Oui |VM_Genre=m. |VM_Nombre= |VM_Ajout_entrée=Oui |VM_Sous-entrée_gras=Oui |VM_Sous-entrée_italique=Non |VM_Définition=Dérivé benzimidazolé apparenté à l’oméprazole, inhibiteur irr... »)
 
Aucun résumé des modifications
Ligne 1 : Ligne 1 :
{{Titre et classement
{{Titre et classement
|VM_Date_de_révision=15 janvier 2016
|VM_Date_de_révision=2016-01-15
|VM_Titre_gras=Oui
|VM_Titre_gras=Oui
|VM_Titre_italique=Non
|VM_Titre_italique=Non
Ligne 24 : Ligne 24 :
}}
}}
{{Références}}
{{Références}}
{{rev}}

Version du 29 janvier 2024 à 17:56

Pyrroline ←

Queue n. f. Appendice situé à lextrémité du corps dun animal

Quick (temps de) n. m. Épreuve de biologie médicale permettant dexplorer lactivité de plusieurs facteurs de la coagulation (II, VII, V et X). Le résultat est exprimé en temps (11 à 16 secondes) ou en pourcentage (taux deprothrombine), par comparaison avec les valeurs observées pour un plasma normal. Valeur usuelle…

Quillajaceae Famille (Rosaceae dans lancienne classification) appartenant à lordre des Fabales, clade des Rosidées - Fabidées ; contient 4 espèces: petits arbres dAmérique du Sud à feuillage persistant, dont le Panama, originaire du Chili, riche en saponosides triterpéniques.

Quinagolide (chlorhydrate de) n. m. Inhibiteur de la prolactine, agoniste puissant et sélectif des récepteurs dopaminergiques D2, non dérivé de lergot de seigle. Par son action dopaminergique, il est un puissant inhibiteur de la sécrétion hypophysaire de prolactine.

Quinapril (chlorhydrate de) n. m. Acide aminé à noyau tétrahydro-isoquinoléine, précurseur biologique d’un inhibiteur de l’enzyme de conversion de l’angiotensine I.

Quinazoline n. f. Hétérocycle bicyclique aromatique formé par l’accolement d’un cycle benzène et d’un cycle pyrimidine par fusion de la liaison C5–C6 de la pyrimidine et d’une des liaisons carbone – carbone du benzène. Structure présente dans certains dérivés guanidiniques α1-bloqueurs (exemples : prazosine, alfuzosine), ainsi…

Quinazolone n. f. Dérivé de la quinazoline comportant un groupe oxo en position 4 (quinazolin‑4‑one) ou en position 2 (quinazolin‑2‑one). La quinazolin‑4‑one est la plus courante des deux isomères.

Quincke (œdème de) n. m. Œdème dapparition brutale par allergie anaphylactique affectant le tissu cervico-facial ou du larynx avec risque dasphyxie.

Quinidine n. f. Alcaloïde quinoléique des quinquinas (genre Cinchona, Rubiaceae), stéréoisomère (8R, 9S) de la quinine ; obtention par extraction des écorces de quinquinas, mais surtout par hémisynthèse à partir de la quinine.Inscrite à la Pharmacopée Européenne, monographie 01/2016, 0017 (sulfate de).

Quinine n. f. Principal alcaloïde de lécorce des quinquinas (genre Cinchona, Rubiaceae), chef de file des alcaloïdes quinoléino-quinuclidiques, la quinine est présente aux côtés notamment de la quinidine (un de ses stéréo-isomères) et de leurs analogues 6´-déméthoxylés (respectivement cinchonidine et cinchonine) ; elle sapparente, par la biogenèse, aux…

Quinique (acide) n. m. Acide carboxylique à squelette cyclohexane tétrahydroxylé. Assez répandu dans le règne végétal où il est présent à létat libre (par exemple écorce de quinquina, graine de caféier) ou estérifié par un ou des acides organiques (par exemple dans le cas des acides chlorogéniques et de…

Quinisocaïne (chlorhydrate de) n. f. Dérivé de lisoquinoléine à action anesthésique locale, entrant dans la composition de crèmes antiprurigineuses et antihémorroïdaires.

Quinoa n. m. ou n. f. Herbacée (Chenopodium quinoa Willd., Amaranthaceae, précédemment Chenopodiaceae) considérée comme une pseudo-céréale, originaire des hauts plateaux andins (utilisation alimentaire ancestrale) et largement cultivée (Pérou, Bolivie…) ; existence de plusieurs variétés. Graine pauvre en lipides, mais riche en protéines de bonne qualité (présence de…

Quinoléine n. f. Composé organique aromatique hétérocyclique de formule CN. Elle peut être décrite, schématiquement, comme étant formée par la « soudure » dune molécule de benzène et dune molécule de pyridine.

Quinolinium n. m. Terme anglo‑saxon pour quinoléinium. Cation qui dérive du noyau quinoléine.

Quinolizidine n. f. Hétérocycle bicyclique saturé formé par laccolement de 2 cycles pipéridines par fusion des liaisons N1–C2.

Quinolones n. f. Dérivés de la quinoléine dont le carbone, en 2, voisin de l’azote (quinoléin-2-one), et le plus souvent en 4 (quinoléin-4-one, ou quinolone sans spécification), fait partie d’un groupe carbonyle C=O.La présence d’au moins un atome de fluor, dans la structure des molécules de la deuxième…

Quinone n. f. Cyclohexadiène possédant deux groupes carbonyle.

Quinoxaline n. f. Hétérocycle bicyclique aromatique formé par laccolement dun cycle benzène et dun cycle pyrazine, par fusion de la liaison C2–C3 de la pyrazine et dune des liaisons carbone – carbone du benzène.

Quinquina n. m. Nom désignant des arbres du genre Cinchona (Rubiaceae), originaires du versant oriental de la Cordillère des Andes (Pérou, Bolivie, Équateur) ; cultivés aujourd’hui essentiellement en Afrique (Zaïre, Kenya, Cameroun…) et, dans une moindre mesure, en Indonésie et dans les pays d’origine. Trois espèces, ainsi que…

Quinte 1- Au jeu de cartes, cinq cartes de la même couleur ; 2- en musique, intervalle de cinq degrés dans léchelle diatonique.

Quinuclidine n. f. Dérivé bicyclique de la pipéridine, CN, dont l’azote et le carbone en position 4 sont reliés par un pont.

Quinupristine

Quisqualique (acide) n. m. Molécule qui, sous forme de sel sodique, est lagoniste naturel dun récepteur ionotropique de la famille des récepteurs au glutamate, dabord dénommé récepteur quisqualate et maintenant récepteur AMPA pour acide 2-amino-3-(5-méthyl-3-hydroxy-1,2-oxazol-4-yl) propanoïque, analogue du glutamate.

Quizartinib n. m. Petite molécule de synthèse, qui est un inhibiteur des tyrosine kinases portées par les récepteurs de classe III, notamment le récepteur hématopoïétique FLT3 (Fms like tyrosine kinase 3, aussi connu sous le nom CD135, proto-oncogène), le récepteur du facteur 1 stimulant les colonies (CSF1R ou…

Quorum quenching

Quorum sensing

Quotient n. m. Résultat de la division dun nombre par un autre nombre.

R Cf rectus.

RAA


Rabéprazole sodique n. m. Dérivé benzimidazolé apparenté à l’oméprazole, inhibiteur irréversible de la pompe à protons HInscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 04/2016, 2868).

Rabique adj. Qui se rapporte à la rage (vaccin rabique, virus rabique).

Race chimique n. f.

Racécadotril n. m. Précurseur pharmacologique du thiorphan, qui est un inhibiteur de l’enképhalinase intestinale, enzyme responsable de la dégradation des enképhalines (peptides opioïdes endogènes). Son action est sélective au niveau du tube digestif et se traduit par un effet antisécrétoire, avec diminution de la sécrétion d’eau et d’électrolytes.…

Racémique adj. et n. m. Qualifie ou désigne un mélange équimolaire de deux énantiomères.

Rachianesthésie n. f. Anesthésie loco-régionale périmédullaire obtenue par linjection dun anesthésique local dans le canal rachidien (précisément dans lespace sous-arachnoïdien) sadressant essentiellement à la partie inférieure de labdomen et aux membres inférieurs. La localisation de lanesthésie dépend, à la fois, de la position du malade et de la…

Rachis n. m. Axe principal dune feuille composée pennée, portant les folioles ; chez les Ptéridophytes le rachis de la fronde supporte les pennes ; axe principal dune inflorescence (grappe, épi…).

Rachitisme n. m. Ostéochondro-dystrophie du nourrisson entre 3 et 18 mois ou du jeune enfant, plus fréquente chez le garçon et marquée par le développement dun tissu ostéoïde non minéralisé dans la zone de croissance des os. Il y a fragilisation du squelette en station debout, provoquant des…

Racine n. f. Ensemble du système végétatif radiculaire dune plante servant à la fixer, dans le sol, et à absorber les éléments nutritifs.

Rad n. m. Ancienne unité de dose absorbée, remplacée par le gray (Gy).

Radeau n. m. Assemblage de pièces de bois ou autre matériau.

Radian (rad) n. m. Unité SI dangle plan, sans unité. Le radian est langle plan qui a son sommet au centre dun cercle et qui intercepte, sur la circonférence de ce cercle, un arc de longueur égale au rayon du cercle ( π rad = 180°).

Radiation n. f. Rayonnement, flux de particules.

Radical n. m. Partie dun mot, hors préfixe et suffixe (plus petite entité lexicale).

Radicalaire adj. Qualifie une entité chimique portant un électron non apparié (exemple : Cl qui est une espèce radicalaire), ou une réaction faisant intervenir des radicaux (exemple : réaction de substitution radicalaire).

Radicant adj. Qualifie une tige ou une plante émettant des racines adventives pour se fixer au sol ou à un support.

Radicelle n. f. Racine secondaire de petite taille, mais à rôle absorbant important.

Radicule n. f. Première racine terminale de lembryon ou dune plantule.

Radié adj. En botanique, qualifie un capitule orné dun rang de fleurs ligulées à la périphérie (ces ligules ressemblant à des rayons) et de fleurs tubulées au centre.

Radioactif adj. Qualité de ce qui présente le phénomène de radioactivité.

Radioactivité n. f. Phénomène spontané, découvert par Becquerel en 1896, au cours duquel un nucléide instable se transforme en un autre nucléide plus stable en même temps que sont émis des particules de haute énergie et des rayonnements électromagnétiques (photons, rayonnements X). Le caractère radioactif dun nucléide peut-être…

Radioautographie

Radiobiologie Étude des effets des rayonnements (notamment des rayonnements ionisants) sur les êtres vivants.

Radiochimie n. f. Branche de la chimie qui concerne l’étude des radioéléments, naturels ou artificiels, et leur utilisation dans les études des processus chimiques produits par les rayonnements ionisants (datation au carbone-14, par exemple).Elle comprend également la production des radioisotopes radioactifs pour les insérer dans des médicaments radiopharmaceutiques…

Radioélément n. m. Élément chimique dorigine naturelle ou artificielle dont le noyau est instable et donc radioactif.

Radiographie n. f. 1- Méthode de visualisation des structures dun organe ou dune région anatomique par impression, sur une émulsion photographique (film radiographique), dun faisceau de rayons X (ou de rayons γ : gammagraphie) ayant traversé cet organe ; 2- image dun objet, dun organe, ou dun organisme,…

Radioimmunologie n. f. Groupe de techniques très sensibles utilisées pour mesurer des concentrations dantigènes ou danticorps et utilisant comme marqueurs des radioéléments.

Radioimmunothérapie n. f. Méthode thérapeutique fondée sur lutilisation dun agent immunologique reconnaissant sélectivement les cellules pathologiques à détruire et jouant le rôle de transporteur (vecteur) dun radioélément délivrant, in situ, la dose de rayonnement cytotoxique nécessaire à la destruction des cellules. Exemple : les anticorps monoclonaux utilisés…

Radiologie n. f. Spécialité médicale dont lobjet est létude et lutilisation des rayonnements (rayons X, en particulier) dans un but diagnostique et/ou thérapeutique.

Radiomique adj. et n. f. Désigne ou qualifie lanalyse informatique appliquée en imagerie médicale, basée sur lextraction haut débit de données quantitatives fournies par limage, leur transformation en données numériques et leur traitement mathématique.



→ Ralstonia

Rabéprazole sodique

Dernière modification de cette page le 15 janvier 2016


Rabéprazole sodique.


n. m.  (DCI). Dérivé benzimidazolé apparenté à l’oméprazole, inhibiteur irréversible de la pompe à protons H+/K+ - ATPase de la cellule pariétale gastrique. Il conduit à une diminution de la sécrétion d’acide. Le mécanisme d’action de cette classe de composés passe par la formation d’un lien covalent, de type disulfure, avec les cystéines du site actif de l’enzyme.

Inscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 04/2016, 2868).


Indiqué dans le traitement de l’ulcère gastrique ou duodénal, de l’œsophagite par reflux gastro-œsophagien, du syndrome de Zollinger – Ellison et pour l’éradication de Helicobacter pilori, en cas de maladie ulcéreuse gastroduodénale et en association à une antibiothérapie adaptée.

.