Immunotépographie (immunoTEP)

De Le dictionnaire
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Immunodéficience acquise (syndrome d') – (Sida) n. m. Pathologie infectieuse due à un rétrovirus (Retroviridae, genre Lentivirus), le VIH-1 qui détruit les lymphocytes T4 et altère la défense immunitaire cellulaire de lorganisme humain. Le sujet atteint devient vulnérable aux infections, notamment aux agents opportunistes. Le stade initial de la maladie dune durée…

Immunodépresseur adj. et n. m. Qualifie ou désigne une substance qui supprime ou diminue la résistance naturelle ou acquise dun organisme à des agents reconnus comme étrangers. Les principaux composés de chimie thérapeutique utilisés sont : 1- la ciclosporine et les cyclopeptides voisins, les glucocorticoïdes ; 2- les agents alkylants…

Immunodépression

Immunodiffusion n. f. Méthode de mise en évidence ou de dosage dun antigène en solution par précipitation en milieu solide (gel) en présence dun anticorps spécifique.

Immunodosage n. m. Dosage dune substance antigénique par une méthode immunologique mettant en jeu une réaction ou une succession de réactions antigène – anticorps. La réaction primaire, combinaison entre lépitope et le paratope, peut être révélée par lutilisation dun marqueur : fluorophore (ou fluorochrome), isotope radioactif (ou radioélément,…

Immuno-électrophorèse n. f. Technique danalyse qualitative dun mélange dantigènes dans une solution. Inventée par Grabar et Williams, elle met en jeu une séparation électrophorétique des protéines dans un gel dagarose, suivie dune diffusion double selon une direction perpendiculaire à laxe de migration électrophorétique contre des anticorps. Chaque zone…

Immuno-empreinte n. f. Technique utilisant des anticorps conjugués à une enzyme ou à un radio-élément, pour détecter des protéines en solution après les avoir séparées par électrophorèse en gel de polyacrylamide et transférées sur une membrane de nitrocellulose, par contact sous laction dun champ électrique.

Immuno-enzymologie n. f. Méthode danalyse pour la détection ou le dosage dantigènes ou danticorps, inspirée des méthodes radio-immunologiques, dans laquelle le marqueur radioactif est remplacé par une enzyme.

Immuno-enzymosome n. m. Enzyme couplée à un immunoliposome pour être vectorisée jusquà une cible donnée, par exemple une tumeur.

Immunofixation n. f. Technique danalyse qualitative dun mélange dantigènes plus sensible, plus rapide et dinterprétation plus facile que limmunoélectrophorèse, notamment pour le diagnostic des immunoglobulines monoclonales. Après séparation des antigènes en solution, par électrophorèse, un anticorps spécifique est déposé à la surface du gel. Ce dernier pénètre dans…

Immunofluorescence n. f. Technique utilisée pour détecter des antigènes, dans les tissus ou sur des cellules, par utilisation dun anticorps spécifique couplé à un fluorochrome.

Immunogène 1- nm Désigne une substance capable d’induire une réponse immunogène. 2- adj Qualifie une substance capable d’induire une réponse immunitaire. Tous les antigènes ne sont pas immunogènes. Les haptènes ne sont pas immunogènes, mais peuvent le devenir lorsqu’ils sont couplés à une macromolécule porteuse…

Immunogénicité n. f. Capacité pour toute substance, habituellement étrangère à lorganisme dans lequel elle se trouve, de provoquer une réponse immunitaire spécifique. Cette substance est alors appelée antigène.Les médicaments biologiques, en raison de leur nature, et les protéines thérapeutiques dune façon générale, peuvent se révéler immunogènes…

Immunogénique Cf immunogène.

Immunoglobuline (Ig) n. f. Protéine du groupe des gammaglobulines, sous forme soluble dans les liquides biologiques ou sous forme de récepteurs membranaires à la surface des lymphocytes B (BCR, B cell receptor). Les immunoglobulines portent les paratopes. Il existe cinq classes dimmunoglobulines (IgA, IgE, IgD, IgG, IgM).

Immunoliposome n. m. Liposome à la surface duquel est fixé un anticorps ou un fragment danticorps lui conférant la capacité de se lier spécifiquement à un tissu, une cellule ou une molécule biologique.

Immunologie n. f. Discipline biologique qui étudie les mécanismes de défense vis-à-vis des micro-organismes et de résistance aux maladies infectieuses. Plus largement, elle étudie les réactions immunitaires normales et bénéfiques ou pathologiques et nocives de lorganisme vis-à-vis dun antigène.

Immunologique adj. Qui se rapporte à limmunologie.

Immunomodulateur adj. et n. m. Qualifie ou désigne une substance qui modifie lactivité du système immun, en stimulant ou déprimant la capacité à produire une réponse immunitaire spécifique ou non, selon les doses et les conditions dadministration.

Immunomodulation n. f. Régulation de la réponse immunitaire, physiologique ou thérapeutique, induite par un immunomodulateur.

Immunoparticule n. f. Particule à la surface de laquelle est fixé un anticorps ou un fragment danticorps lui conférant la capacité de se lier spécifiquement à un tissu, une cellule ou une molécule biologique.

Immunopharmacologie n. f. Étude des substances et médicaments agissant sur le système immunitaire (anti-inflammatoires, immunomodulateurs, immunostimulants, immunosuppresseurs, anti-allergiques).

Immunophiline n. f. Protéine dotée dune activité de peptidyl-propyl-isomérase, qui se lie à certaines substances immunosuppressives telles que la cyclosporine A, le tacrolimus et le sirolimus (rapamycine). Les immunophilines jouent ainsi le rôle de récepteur intracellulaire de ces immunosuppresseurs.

Immunopotentiateur adj. et n. m. Stricto sensu, qualifie ou désigne une substance qui potentialise laction des immunostimulants. En chimie thérapeutique, est pratiquement utilisé comme synonyme dimmunostimulant.

Immunoprécipitation n. f. Réaction mettant en jeu un antigène soluble et caractérisée par la formation de complexes antigène – anticorps insolubles en milieu liquide ou en milieu gélifié. Technique qualitative ou semiquantitative peu sensible, dont les différentes méthodes sont surtout utilisées pour la mise en évidence de protéines…

Immunoprophylaxie n. f. Prévention des infections et de leur transmission par intervention sur le système immunitaire, généralement au moyen de vaccins ou dimmunsérums.

Immunostimulant adj. et n. m. Qualifie ou désigne une substance capable damplifier un ou plusieurs types de réponses immunitaires de manière plus ou moins spécifique. Les immunostimulants constituent une classe thérapeutique hétérogène ayant en commun la propriété daugmenter la résistance non spécifique à certaines infections ou au développement de tumeurs.…

Immunostimulation n. f. 1- Mise en place dun processus physiologique ou pathologique conduisant à une activation dun système immun ; 2- Procédé qui améliore les réactions de défense de lorganisme.

Immunosuppresseur adj. et n. m. Qualifie ou désigne un agent physique ou chimique qui diminue ou supprime les réactions immunitaires de défense de lorganisme, soit de façon sélective (anticorps antilymphocytaires monoclonaux ou polyclonaux, inhibiteurs de la synthèse dADN comme lacide mycophénolique, anticorps monoclonaux anticytokines, antirécepteurs de cytokines ou anti-intégrines, inhibiteurs…

Immunosuppression n. f. État dinhibition ou de suppression, réversible ou non, dun ou plusieurs types de réponse immunitaire (naturelle ou acquise), spontané (cas de carence alimentaire) ou provoqué (irradiation γ, administration d’immunosuppresseurs en prévention ou traitement du rejet de greffe, infection virale, par exemple Sida).


Immunothérapie n. f. nf Méthode de traitement des maladies faisant appel au système immunitaire.8-Virus oncolytiques : Par la destruction des cellules tumorales en situation immunogénique, ils conduisent à une réponse effectrice des lymphocytes T, surtout lorsquils sont associés à des immunomodulateurs.

Immunotoxicité n. f. Toxicité dune substance ou de tout traitement affectant le fonctionnement normal du système immunitaire.

Immunotoxine n. f. Substance hybride résultant du couplage chimique entre la partie active dune toxine végétale ou bactérienne (exemple ricine, toxine diphtérique) et un médiateur du système immunitaire, par exemple cytokine ou anticorps monoclonal spécifique dirigé contre les cellules ou le tissu que lon cherche à atteindre sélectivement…

Immunsérum n. m. Sérum de sujet immunisé naturellement ou artificiellement à la suite de la pénétration ou de linjection dun antigène étranger et comportant des anticorps spécifiques de cet antigène.

IMP

Impact n. m. 1- choc dun projectile ; 2- effet produit par quelquun ou par quelque chose.

Impacteur n. m. Instrument, appareil dont la fonction est en rapport avec le mot « impact » (endroit où vient frapper un projectile).

Impaludation n. f. Envahissement pathologique dun sujet par les hématozoaires du paludisme après piqûre par un moustique du genre Anopheles.

Imparipenné adj. Se dit dune feuille composée pennée que termine une foliole impaire ; exemples : feuilles de réglisse, noyer, frêne.

Impasse n. f. Voie ou situation sans issue.

Impédance n. f. Grandeur utilisée pour caractériser le comportement dun circuit électrique vis-à-vis de la tension électrique aux bornes de ce circuit. Cest le rapport entre la tension électrique aux bornes du circuit et lintensité qui parcourt ce circuit.

Impétigo n. m. Infection cutanée polymorphe à Staphylococcus aureus ou à streptocoque bêta hémolytique, contagieuse, auto-inoculable par grattage, siégeant le plus souvent au visage et aux mains, sous la forme, en phase débutante, de pustules, de vésicules ou bulles punctiformes, confluant, en phase détat, en une érosion…

Implant n. m. Élément destiné à être implanté dans un organisme pour une longue durée.

Implant intracamérulaire de travoprost n. m. Dispositif médical fabriqué à partir de titane biocompatible, qui est implanté à travers le maillage trabéculaire et la paroi postérieure du canal de Schlemm, directement dans le tissu scléral.L’élution du travoprost (75 µg) à l’intérieur de l’œil s’affranchit de l’observance du patient et de la…

Impolarisable adj. Se dit dune électrode dont le potentiel est constant quel que soit le courant qui la traverse.

Importation n. f. Action dacheter à un pays étranger des matières premières ou des biens de consommation et de les faire pénétrer dans le territoire national. Par ext., action d’adopter des idées, des usages, provenant de l’étranger.

Importine n. f. Protéine adaptatrice qui assure, au niveau d’un pore nucléaire, le transport de protéines pourvues d’une séquence d’importation nucléaire, du cytosol vers l’intérieur du noyau. Cf karyophérine.

Impubère adj. et n. m. Qualifie ou désigne un sujet qui na pas atteint lâge ou létat de puberté.

Impureté n. f. État de ce qui est impur, souillé, altéré, pollué.

Imputabilité n. f. Notion selon laquelle un acte peut être attribué à un individu.

Inactivation n. f. Opération qui consiste à supprimer un effet, une activité.

Inavolisib n. m. Petite molécule de synthèse, qui est un inhibiteur de la phosphatidylinositol-3-kinase (PI3K). Elle se lie à divers membres de la famille PI3K et les inhibe, notamment par des mutations activatrices de l’isoforme alpha catalytique PIK3CA. L’inhibition de la PI3K empêche l’activation de la voie de…

INCa

Incadronique (acide) n. m. Aminobisphosphonate qui inhibe la résorption osseuse par les ostéoclastes, sans effet direct sur la formation de los.

Incapacitant adj. et n. m. Qualifie ou désigne une substance non mortelle entraînant un déficit physique ou psychique de façon transitoire. Plusieurs toxiques de guerre sont des incapacitants rendant les combattants incapables de réagir.

Incertitude n. f. Caractère de ce qui ne peut être établi avec exactitude.

INCI (International nomenclature of cosmetic ingredients) Nomenclature internationale des ingrédients cosmétiques. Indique les noms de ces ingrédients tels quils doivent figurer sur le conditionnement des produits cosmétiques.

Incidence n. f. Conséquence directe ou non dun phénomène en termes de répercussion ou deffet.

Incinération n. f. Opération qui consiste à réduire en cendres.

Inclisiran n. m. Petit ARN interférent, homoduplex d’acide ribonucléique court (siRNA, short interfering RNA), dont la séquence nucléotidique d’un des deux brins (antisens) a été choisie pour bloquer l’expression du gène de la proprotéine convertase subtilisine/kexine de type 9 (PCSK9) par le mécanisme d’interférence par ARN (ou RNAi,…



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Immunotépographie (immunoTEP)

Dernière modification de cette page le 21 avril 2025


Synonyme(s) : ImmunoTEP (forme abrégée
Anglais : immuno-positron emission tomography ; immunoPET
Espagnol : tomografía por emisión de positrones inmunológica ; inmunoPET
Allemand : Immun-Positronen-Emissions-Tomographie ; ImmunoPET
Étymologie : Mot-valise forgé avec les termes immunologie  et tépographie, technique basée sur la tomographie à émission de positons.

n. f. L’immunotépographie est une technique d’imagerie par tomographie à émission de positons (TEP) basée sur des anticorps ; c’est une technique d’imagerie médicale qui combine la spécificité des anticorps monoclonaux (ou de leurs fragments) pour cibler des antigènes spécifiques in vivo, avec la haute sensibilité et la résolution spatiale de la tomographie par émission de positons (TEP).

L’immunoTEP utilise des anticorps qui ont été marqués avec un isotope émetteur de positons. Ces anticorps radiomarqués sont ensuite administrés au patient. Ils vont circuler dans l’organisme et se lier spécifiquement aux cellules ou aux tissus exprimant l’antigène cible. L’émission de positons par le radiotraceur est ensuite détectée par un scanner TEP, permettant de visualiser et de quantifier la distribution de la cible dans le corps.

Propriétés de l’immunoTEP
L’immunoPET possède plusieurs propriétés importantes :
• haute spécificité : l’utilisation d’anticorps permet de cibler des molécules spécifiques (antigènes) exprimées par certaines cellules ou divers tissus, comme les cellules tumorales, les cellules immunitaires activées ou des récepteurs particuliers. Cette spécificité permet de distinguer les tissus cibles des tissus sains ;
• haute sensibilité : la TEP est une technique très sensible capable de détecter de très faibles concentrations du radiotraceur, ce qui permet de visualiser des cibles même faiblement exprimées ;
• imagerie non invasive et in vivo : l’immunoTEP permet de visualiser la distribution des cibles biologiques dans l’organisme vivant, sans nécessiter de biopsies ou d’interventions chirurgicales invasives ;
• imagerie quantitative : le signal TEP peut être quantifié, permettant d’estimer la densité de la cible présente dans une région d’intérêt. Ceci est crucial pour évaluer l’expression d’un biomarqueur, la réponse à un traitement ou la pharmacocinétique d’un médicament ;
• imagerie corps entier : la TEP permet d’obtenir des images de l’ensemble du corps, ce qui est particulièrement utile pour détecter des métastases ou évaluer la distribution d’une cible dans différents organes ;
• flexibilité des cibles : en principe, tout antigène pour lequel un anticorps spécifique peut être développé peut être ciblé par immunoTEP ;
• utilisation de différents radio-isotopes : différents radio-isotopes émetteurs de positons avec des demi-vies variées (par exemple, le fluor 18F, le cuivre 64Cu, le zirconium 89Zr) peuvent être utilisés en fonction des caractéristiques de l’anticorps (taille, temps de circulation) et de la question biologique étudiée. Les isotopes à longue demi-vie, comme le 89Zr, sont particulièrement adaptés aux anticorps entiers qui ont une clairance sanguine plus lente.

Cependant, l’immunoTEP présente également certaines limitations :
• pénétration tissulaire potentiellement limitée : les anticorps entiers sont, en général, de grosses molécules, ce qui peut limiter leur pénétration dans les tumeurs solides ou à travers certaines barrières biologiques. L’utilisation de fragments d’anticorps (Fab, scFv) ou de nanocorps peut améliorer la pénétration, mais aussi entraîner une clairance plus rapide ;
• temps d’acquisition potentiellement longs : en raison de la cinétique des anticorps (temps nécessaire pour atteindre la cible et élimination des tissus non ciblés), l’acquisition d’images de haute qualité peut nécessiter des délais plus longs après l’injection du radiotraceur ;
• radiotoxicité : bien que les doses de radioactivité utilisées soient généralement faibles, il existe un risque d’exposition aux radiations pour le patient ;
• coût et complexité : la production d’anticorps radiomarqués de qualité pharmaceutique et l’imagerie TEP sont des processus coûteux et nécessitent une infrastructure spécialisée.

Applications de l’immunoTEP

L’immunoTEP a un large éventail d’applications dans la recherche biomédicale et la clinique, notamment :
Oncologie :
 diagnostic et stadification du cancer : détection et localisation de tumeurs primaires et de métastases en ciblant des antigènes surexprimés par les cellules cancéreuses ;
 évaluation de la réponse au traitement : surveillance de l’expression des cibles thérapeutiques et évaluation de l’efficacité des thérapies ciblées ou de l’immunothérapie ;
 sélection des patients pour les thérapies ciblées : Identification des patients susceptibles de répondre à un traitement en fonction de l’expression de la cible ;
 guidage de la radio-immunothérapie : visualisation de la distribution de l’anticorps thérapeutique radiomarqué pour optimiser le ciblage tumoral et minimiser la toxicité pour les tissus sains.<

Immunologie :
 imagerie des cellules immunitaires : visualisation et quantification de l’infiltration de cellules immunitaires (lymphocytes T, macrophages, etc.) dans les tumeurs, les sites d’inflammation ou les organes transplantés ;
 suivi de l’activation immunitaire : imagerie de molécules d’activation à la surface des cellules immunitaires pour comprendre les réponses immunitaires dans diverses pathologies ;
 évaluation de l’immunothérapie : surveillance de l’effet des immunothérapies sur le microenvironnement tumoral et les cellules immunitaires.

Neurosciences :
 imagerie de cibles cérébrales : développement de stratégies pour surmonter la barrière hémato-encéphalique et cibler des protéines spécifiques impliquées dans les maladies neurodégénératives (maladie d’Alzheimer, maladie de Parkinson) ou les tumeurs cérébrales.

Maladies cardiovasculaires :
 imagerie de l’inflammation vasculaire : détection de marqueurs d’inflammation dans les plaques d’athérosclérose ;
 suivi des thérapies cardiovasculaires : évaluation de l’efficacité des traitements ciblant des molécules spécifiques dans le système cardiovasculaire.

Développement de médicaments :
 pharmacocinétique et biodistribution des biomédicaments : suivi in vivo de la distribution, de la clairance et du ciblage des anticorps thérapeutiques et autres biomolécules ;
 validation de cibles thérapeutiques : confirmation de l’expression et de l’accessibilité d’une cible in vivo.



L’immunoTEP est une technique d’imagerie moléculaire puissante qui offre une combinaison unique de spécificité, de sensibilité et de quantification in vivo. Ses applications continuent de s’étendre dans divers domaines de la médecine et de la recherche, contribuant à une meilleure compréhension des processus biologiques et au développement de nouvelles stratégies diagnostiques et thérapeutiques.

La tépographie est le terme officiel de la langue française, publié au Journal officiel de la République française, le 3 juin 2003 :

tépographie,
n.f.
Domaine : SANTÉ ET MÉDECINE/Imagerie
Définition : Image de répartition dans l’organisme des radionucléides émetteurs de positons ; technique permettant d’obtenir cette image.
Équivalent étranger :
positon emission tomography, PET (en).[1]