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{{Titre et classement
{{Titre et classement
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|VM_Anglais=institute
|VM_Synonyme=onasemnogène abéparvovec-xioi
|VM_Espagnol=instituto
|VM_Définition=Vecteur viral adéno-associé recombinant de sous-type 9, AAV9  (''Adeno-associated virus''), non réplicatif, utilisé en thérapie génique de remplacement pour le traitement des enfants atteints d'amyotrophie spinale musculaire (ASM ou SMA, ''spinal muscular atrophy''). L'ASM infantile est une maladie rare (1/10 000 naissances), souvent  mortelle chez le nourrisson, caractérisée par une dégénérescence des cellules nerveuses commandant les muscles, entraînant faiblesse musculaire et [[Paralysie|paralysie]] plus ou moins importante.<br />Au sein des cellules nerveuses du cerveau et de la moelle épinière, et sans modifier l’ADN du patient, le [[Transgène|transgène]] encode la protéine humaine de survie des motoneurones de type 1, SMN1 (''survival motor neuron''), sous le contrôle d’un promoteur hybride constitué d’un amplificateur de cytomégalovirus et de β-[[Actine|actine]] de poulet. Son rôle est de se substituer au gène SMN1, altéré ou manquant dans l'ASM.
|VM_Allemand=Institut
|VM_Commentaires=Administrée par voie intraveineuse ou intrathécale chez les enfants de moins de deux ans atteints d'amyotrophie spinale afin de prévenir la [[Paralysie|paralysie]] musculaire.<br /> Cf [[Nusinersen|nusinersen]].<br />
|VM_Etymologie=latin ''instĭtūtum'' plan établi, manière d'agir réglée, habitude, disposition, [[Organisation|organisation]]
|VM_Références_et_annexes=Ce traitement, 1<sup>ère</sup> thérapie génique approuvée pour l'amyotrophie spinale musculaire, est issu des travaux du  Dr Martine Barkats (Institut de Myologie de  France, AFM-Téléthon and SMA Europe) portant sur des souris atteintes d'amyotrophie traités avec un vecteur viral AAV9.
|VM_Définition=Nom donné à certains établissements de recherche scientifique, d'enseignement ou de soins.
|VM_Légende_illustration=Onasemnogène abéparvovec.
|VM_Légende_illustration=Institut.
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{{Références
{{Définition-base
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|VM_Affiche_discipline=Oui
|VM_Discipline=Administration
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|VM_Sous-entrée=de recherche pour le développement (IRD)
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|VM_Anglais=French Research Institute for Development
|VM_Espagnol=Instituto Francés de la investigación para el desarrollo
|VM_Allemand=Institut für Entwicklungforschung
|VM_Définition=Établissement public français qui remplace l’Office de la Recherche scientifique et technique d’Outre-Mer (ORSTOM). Cet organisme participe à des recherches suscitées par des accords bilatéraux entre la France et des pays en voie de développement. Il est sous la [[Dépendance|dépendance]] du Ministre chargé de la recherche et du Ministre de la coopération.
|VM_Commentaires=Les programmes de recherche sont destinés à apporter une assistance pour le développement des pays du Sud. L’IRD, basé précédemment à Paris, est désormais installé à Marseille (depuis septembre 2008). Il contribue à des axes de recherche sous forme de centres ou de missions ponctuelles en Afrique, en Asie, en Amérique latine et en Amérique centrale. L’IRD compte à l’heure actuelle 830 chercheurs statutaires.<br />
|VM_Références_et_annexes=http://www.ird.fr
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{{Définition-base
|VM_Affiche_discipline=Oui
|VM_Discipline=Santé publique
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|VM_Sous-entrée=médicopédagogique (IMP)
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|VM_Anglais=medico-educational institute
|VM_Espagnol=instituto medico-educativo
|VM_Allemand=Medizinisches und pädagogisches Institut
|VM_Définition=Centre de soins et d’éducation spécifiques accueillant des enfants et adolescents présentant une déficience à prédominance intellectuelle, liée à des troubles neuro-psychiatriques.<br />''Désormais dénommé Section d’éducation et d’enseignement spécialisé (SEES).''
|VM_Légende_illustration=Institut.
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{{Définition-base
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|VM_Sous-entrée=national du cancer (INCa)
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|VM_Anglais=National Institute of the cancer
|VM_Espagnol=Instituto Nacional del Cáncer
|VM_Allemand=Nationales Institut für Krebs
|VM_Définition=Groupement d'intérêt public constitué entre l'Etat et des personnes morales publiques et privées intervenant dans le domaine de la santé et de la recherche sur le cancer. Créé en 2004, il est chargé de coordonner les actions de lutte contre le cancer sur l'ensemble du territoire (art. L. 1415-2 à L. 1415-7 et R. 1415-1-1 à R. 1415-9 du Code de la santé publique).<br />
|VM_Références_et_annexes=http://www.e-cancer.fr
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{{Définition-base
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|VM_DCI=Non
|VM_Sous-entrée=national de prévention et d'éducation pour la santé (INPES)
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|VM_Anglais=French National Institute for Health Education and Illness Prevention
|VM_Espagnol=Instituto Nacional francés para la Prevención y la Educación para la Salud
|VM_Allemand=Nationales Institut für Prävention und Gesundheitserziehung
|VM_Définition=Etablissement public administratif (EPA) placé sous la tutelle du ministère chargé de la santé, créé en France, en 2002, à partir du Comité Français d'Éducation pour la Santé (CFES). Ses missions principales étaient la mise en œuvre de programmes de santé publique (pour le compte de l'État et de ses établissements publics), une fonction d'expertise et de conseil en matière de prévention et de promotion de la santé, le développement de l'éducation pour la santé, une participation à la gestion des situations d'urgence ou exceptionnelles en termes sanitaires, l'établissement de programmes de formation à l'éducation pour la santé.
|VM_Commentaires=Depuis la loi du 26 janvier 2016, ses missions sont dévolues à l’Agence nationale de Santé publique ([[Agence|ANSP]]).
|VM_Légende_illustration=Institut.
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{{Définition-base
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|VM_DCI=Non
|VM_Sous-entrée=national de recherche et de sécurité (INRS)
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|VM_Sous-entrée_italique=Non
|VM_Anglais=French Institute for Research and Security
|VM_Espagnol=Instituto nacional de investigación y seguridad
|VM_Allemand=Nationale Institut für Forschung und Sicherheit
|VM_Définition=Association à but non lucratif (loi de 1901) créée en 1947, l’Institut national de recherche et de sécurité pour la prévention des accidents du travail (AT) et des maladies professionnelles (MP) a pour missions d’identifier les risques professionnels, d’analyser leurs conséquences pour la santé et la sécurité des salariés et de diffuser et promouvoir les moyens de maîtriser ces risques au sein des entreprises.
|VM_Commentaires=L’INRS est géré par un conseil d’administration paritaire constitué de représentants des employeurs et des [[Organisation|organisations]] syndicales de salariés. Son budget provient du fonds national de prévention des accidents du travail et des [[Maladie|maladies professionnelles]] qui est alimenté par une fraction des cotisations AT / MP des entreprises cotisant au régime général de la sécurité sociale (article R. 251-6 du Code de la sécurité sociale).<br />Cf [[Maladie|maladie professionnelle]].<br />
|VM_Références_et_annexes=http://www.inrs.fr
|VM_Légende_illustration=Institut.
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{{Définition-base
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|VM_DCI=Non
|VM_Sous-entrée=national de la santé et de la recherche médicale (Inserm)
|VM_Ajout_entrée=Oui
|VM_Sous-entrée_gras=Oui
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|VM_Anglais=National Institute of Health and Medical Research
|VM_Espagnol=Instituto nacional de la salud y de la investigación médical
|VM_Allemand=Nationales Institut für Gesundheit und medizinische Forschung
|VM_Définition=Établissement public national à caractère scientifique et technologique (EPST), créé en 1964 et placé sous la tutelle des ministres chargés de la recherche et de la santé. Il a pour mission d'encourager et développer la recherche médicale, de contribuer à la valorisation de ses résultats, de recueillir, centraliser et diffuser l'information scientifique et technique dans ce domaine. Depuis 2009, l'Inserm a vu ses missions élargies à l'expertise et à la veille scientifiques. Il est constitué de 10 instituts thématiques ayant pris la suite du regroupement par commissions scientifiques spécialisées
|VM_Commentaires=L'Alliance nationale pour les sciences de la vie et de la santé (AVIESAN, http://www.aviesan.fr.), dont l'Inserm est signataire, regroupe des organismes et instituts de recherche (CNRS, INRA, Institut Pasteur, IRD, notamment) et la conférence des présidents d'université, et a pour objet d'élargir la coordination stratégique et programmatique de la recherche à l'ensemble des sciences de la vie et de la santé.<br />
|VM_Références_et_annexes=https://www.inserm.fr
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{{Définition-base
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|VM_Sous-entrée=national de veille sanitaire (InVS)
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|VM_Sous-entrée_gras=Oui
|VM_Sous-entrée_italique=Non
|VM_Anglais=French Institute for Public Health Surveillance
|VM_Espagnol=Instituto Francés para la Vigilancia en Salud Pública
|VM_Allemand=Nationales Institut für Gesundheitsüberwachung
|VM_Définition=Établissement public créé en 1998, à partir du Réseau national de Santé publique (RNSP), placé sous la tutelle du ministère chargé de la santé. Ses missions portaient sur la surveillance et l'observation permanentes de l'état de santé de la population, sur la veille et la [[Vigilance|vigilance]] sanitaires, sur l'alerte sanitaire et sur une contribution à la gestion des crises sanitaires.<br />Son champ d'action incluait les maladies infectieuses, les maladies chroniques et les traumatismes, les effets de l'environnement sur la santé, les risques d'origine professionnelle, les risques internationaux et tropicaux. L'InVS disposait d'un réseau régional de Cellules interrégionales d'épidémiologie (CIRE) localisées au sein des Agences Régionales de Santé ([[Agence|ARS]]).
|VM_Commentaires=Depuis la loi du 26 janvier 2016, ses missions sont dévolues à l’Agence nationale de Santé publique ([[Agence|ANSP]]).
|VM_Légende_illustration=Institut.
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{{Définition-base
|VM_Affiche_discipline=Oui
|VM_DCI=Non
|VM_Sous-entrée=Pasteur
|VM_Ajout_entrée=Oui
|VM_Sous-entrée_gras=Oui
|VM_Sous-entrée_italique=Non
|VM_Anglais=Pasteur Institute
|VM_Espagnol=Instituto Pasteur
|VM_Définition=Fondé en 1888 par Louis Pasteur, fondation privée à but non lucratif dont la mission est de contribuer à la prévention et au traitement des maladies, en priorité infectieuses, par la recherche, l’enseignement et des actions de santé publique.<br />''Berceau de la microbiologie, l’institut Pasteur a aussi contribué à poser les bases de l’immunologie et de la biologie moléculaire et a essaimé un réseau sur les 5 continents.''<br />
|VM_Références_et_annexes=https://www.pasteur.fr
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{{Définition-base
|VM_Affiche_discipline=Oui
|VM_DCI=Non
|VM_Sous-entrée=de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN)
|VM_Ajout_entrée=Oui
|VM_Sous-entrée_gras=Oui
|VM_Sous-entrée_italique=Non
|VM_Anglais=Institute of radioprotection and nuclear safety
|VM_Espagnol=Instituto de radioprotección y de seguridad nuclear
|VM_Allemand=Institut für Strahlenschutz und nukleare Sicherheit
|VM_Définition=Établissement public de l'État à caractère industriel et commercial, placé sous la tutelle conjointe des ministres chargés de l'environnement, de la défense, de l'énergie, de la recherche et de la santé, créé en 2002 par fusion de l'Office de protection des rayonnements ionisants et l'Institut de protection et de sûreté nucléaire.<br />''L'IRSN est l'expert public en matière de recherche et d'expertise sur les risques nucléaires et radiologiques. Il contribue, notamment, à la formation et à l'enseignement dans les domaines de la radioprotection, de la sûreté et de la sécurité nucléaires. Les formations qu'il dispense en radioprotection s'adressent aux professionnels de santé et aux personnes professionnellement exposées.<br />Ses missions, son [[Organisation|organisation]] et son fonctionnement sont définis par le code de l’environnement (art. L. 592-45 et R. 592-1 à R. 592-23).''<br />
|VM_Références_et_annexes=http://www.irsn.fr.
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{{Définition-base
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|VM_Discipline=Santé environnementale
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|VM_Sous-entrée=français de recherche pour l'exploitation de la mer (IFREMER)
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|VM_Anglais=French Research Institute for Exploitation of the Sea
|VM_Espagnol=Instituto Francés de Investigación para la Explotación del Mar
|VM_Allemand=Französisches Forschungsinstitut für die Nutzung der Meere
|VM_Définition=Établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) placé sous la tutelle conjointe du ministère de la Transition écologique et du ministère de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation. Il a été créé, en 1984, après la fusion du Centre national pour l’exploitation des océans (CNEXO) et l’Institut scientifique et technique des pêches maritimes (ISTPM). Ses missions sont de connaître, évaluer et mettre en valeur les ressources des océans et permettre leur exploitation durable ; d’améliorer les méthodes de surveillance, de prévision, d’évolution, de protection et de mise en valeur du milieu marin et côtier ; et de favoriser le développement économique du monde maritime. Ses activités sont partagées entre la recherche et l’expertise, et l’exploration et l’innovation.
|VM_Références_et_annexes=https://www.ifremer.fr/fr
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{{Définition-base
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|VM_Sous-entrée=National de l'Environnement Industriel et des Risques (INERIS)
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|VM_Anglais=French National Institute for the Industrial Environment and Risks
|VM_Espagnol=Instituto Nacional Francés de Medio Ambiente y Riesgos Industriales
|VM_Allemand=Nationales Institut für industrielle Umwelt und Risiken
|VM_Définition=Établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) placé sous la tutelle du ministère en charge de l’Environnement. Il est créé, en 1990, lors d’une restructuration du Centre de recherche des charbonnages de France et de l’Institut de recherche chimique appliquée. Sa mission est de contribuer à la prévention des risques sur la santé, la sécurité, les biens et l’environnement, qui sont liés aux activités économiques. L’INERIS mène à la fois des travaux de recherche et d’expertise dans ce domaine, et il est le référent technique de l’administration et de ses services déconcentrés (les DREAL : directions régionales de l’environnement, de l’aménagement et du logement). Il accompagne enfin les entreprises dans l’amélioration de la sécurité environnementale.
|VM_Références_et_annexes=http://www.ineris.fr/
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{{Définition-base
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|VM_Sous-entrée=national de recherche pour l'agriculture, l'alimentation et l'environnement (Inrae)
|VM_Ajout_entrée=Oui
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|VM_Sous-entrée_italique=Non
|VM_Anglais=National Research Institute for Agriculture, Food and the Environment
|VM_Espagnol=Instituto Nacional de Investigación Agraria, Alimentaria y Medioambiental de Francia
|VM_Allemand=Nationales Forschungsinstitut für Landwirtschaft, Ernährung und Umwelt
|VM_Définition=Établissement public à caractère scientifique et technologique (EPST) placé sous la tutelle conjointe du ministère chargé de l’Enseignement supérieur, de la Recherche et de l’Innovation, et du ministère chargé de l’Agriculture et de l’Alimentation. Il a été créé, le 1er janvier 2020, après la fusion de l’INRA (Institut national de la recherche agronomique) et de l’IRSTEA (Institut national de recherche en sciences et technologies pour l’environnement et l’agriculture). L’Inrae a pour missions de réaliser, d’organiser et de coordonner, à son initiative ou à la demande de l’État, tous travaux de recherche scientifique et technologique dans les domaines de l’agriculture, de l’alimentation, de la forêt, de l’environnement, de l’eau, de la biodiversité, de la bioéconomie, de l’économie circulaire, de la gestion durable des territoires et des risques dans les champs de compétence précités. Ses activités sont partagées entre la production et diffusion des connaissances scientifiques, et la mobilisation des connaissances au service de l’innovation, de l’expertise et de l’appui aux politiques publiques.
|VM_Références_et_annexes=https://www.inrae.fr/
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{{Définition-base
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|VM_Sous-entrée=de radioprotection et de sûreté nucléaire (IRSN)
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|VM_Anglais=Institute for radiological protection and nuclear safety
|VM_Espagnol=Instituto de protección radiológica y seguridad nuclear
|VM_Allemand=Institut für Strahlenschutz und nukleare Sicherheit
|VM_Définition=Établissement public à caractère industriel et commercial (EPIC) placé sous la tutelle conjointe des ministères de la Transition écologique, des Armées, et des ministères chargés de la Transition énergétique, de la Recherche et de la Santé. Il a été créé par la loi no 2001-398 du 9 mai 2001 (article 5) par la réunion de l’Office de protection contre les rayonnements ionisants et l’Institut de protection et de sûreté nucléaire. Ses missions (définies par l’article R. 592-1 du Code de l’environnement) concernent la recherche et l’expertise en matière de risques nucléaires et radiologiques, en vue de protéger les citoyens et anticiper les accidents nucléaires et radiologiques. L’Institut concourt ainsi aux politiques publiques de sûreté et sécurité nucléaires, de santé, d’environnement et de gestion de crise. Son [[Organisation|organisation]] et sa gouvernance sont précisées par les articles R. 592-4 et suivants du Code de l’environnement.
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{{Définition-base
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|VM_Discipline=Pharmacognosie
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|VM_Sous-entrée=technique interprofessionnel des plantes à parfum médicinales et aromatiques (ITEIPMAI)
|VM_Définition=Organisme technique ayant son siège à Chemillé (Maine-et-Loire), dont l'objet est de développer et coordonner la production, en métropole, des plantes à parfum, médicinales et aromatiques, en vue de leur utilisation dans diverses industries (pharmacie, agro-alimentaire, alimentation animale, cosmétique, parfumerie…). Il œuvre à la création de nouvelles variétés, à la protection des cultures et de l'environnement, à l'ouverture de nouvelles perspectives de production, à l'évolution de la réglementation et des normes de la filière PPAM (plantes à parfum, aromatiques et médicinales).
|VM_Commentaires=Au sein de cette filière PPAM, un autre organisme technique, le CNPMAI (Conservatoire national des plantes à parfum, médicinales, aromatiques et industrielles) de Milly-la-Forêt (Essonne) a pour mission le recensement, la conservation et la diffusion des semences et plants de la filière.<br />L'ITEIPMAI a succédé en 1986 à l'ITEPMAI (Institut technique interprofessionnel des plantes médicinales, aromatiques et industrielles).<br />
|VM_Références_et_annexes=https://www.iteipmai.fr
|VM_Légende_illustration=Institut.
|VM_Position_illustration=Right
|VM_Dimension_illustration=1.25
}}
{{Références}}

Dernière version du 6 février 2024 à 20:50

Ofatumumab ←

Oligurie n. f. Volume durines émises inférieur à 0,75 L par 24 heures, soit 0,52 mL par minute.

Olipudase alfa n. f. Enzyme de remplacement de la sphingomyélinase acide humaine (EC 3.1.4.12) produite par des cellules ovariennes de hamster chinois à partir d’ADN recombinant (sphingomyélinase acide ou dès-(1-13)-sphingomyéline phosphodiestérase humaine, EC-3.1.4.12).Connu sous le nom de maladie de Niemann-Pick de type A et de type B, le…

Olivier n. m. Arbre (Olea europaea L., Oleaceae) à feuillage persistant, à feuilles entières, opposées, lancéolées, bien adaptées à la sécheresse et à fleurs blanches ; largement cultivé dans le bassin méditerranéen pour sa feuille et surtout pour son fruit (drupe), l’olive, et l’huile qui en est issue.…

Olmésartan médoxomil n. m. Précurseur pharmacologique (prodrogue) antihypertenseur, ester de type non peptidique à propriété antagoniste du récepteur de langiotensine II de type 1 (ATInscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 04/2012, 2600).

Olodatérol n. m. Nouveau bronchodilatateur qui présente une haute affinité et sélectivité pour les récepteurs β2‑adrénergiques, une longue durée daction et un effet rapide ; leffet bronchodilatateur se manifeste, en lespace de cinq minutes, après inhalation de la première dose et se maintient pendant 24 heures.

Olopatadine (chlorhydrate de) n. m. Agent antiallergique/antihistaminique, puissant et sélectif, qui agit par des mécanismes multiples. Comme antihistaminique, il empêche la sécrétion, par les cellules épithéliales de la conjonctive, des cytokines inflammatoires induites par lhistamine (le premier médiateur de la réponse allergique chez lhomme). Il pourrait également agir sur les…

Olsalazine sodique n. f. Azoïque dérivé lacide 5-aminosalicylique.Inscrite à la Pharmacopée Européenne (monographie 01/2008, 1457).

Olutasidénib n. m. Petite molécule de synthèse qui est un inhibiteur de la citrate déshydrogénase de type 1 (IDH1) lorsqu’elle est mutée en position de l’arginine132. Cette mutation (R132) abroge la possibilité de transformer l’isocitrate en α-cétoglutarate (α-KG). Il n’interagit pas avec l’IDH2.Voir : Déshydrogénase ; Arginine ; Mutation ; Cellule ;…

Omacétaxine (mépésuccinate d') n. m. Ester de la céphalotaxine, un alcaloïde issu de Cephalotaxus harringtonia. Il se lie au ribosome 80S des cellules eucaryotes et inhibe la synthèse protéique en interférant avec lélongation. Il induit également la différenciation et lapoptose de quelques lignées cellulaires tumorales. Cf homoharringtonine.

Omadacycline (tosylate d’) n. m. Aminométhylcycline, dérivé hémisynthétique de la minocycline. Antibiotique très actif sur des pathogènes provoquant des infections de la peau et des pneumonies, comme Staphylococcus aureus résistant à la méthicilline, Streptococcus pneumonia, Haemophilus influenzae et Legionella.Il reste actif contre des souches qui expriment deux formes de…

Omalizumab n. m. Anticorps monoclonal humanisé recombinant dirigé contre les immunoglobulines E (IgE) circulantes libres. Cet anticorps est une IgG1 kappa obtenue par fusion d’une région d’origine humaine avec des régions de complémentarité se fixant aux IgE et provenant d’un anticorps murin.En empêchant la liaison des IgE…

Omapratilate n. m. Inhibiteur mixte de l’enzyme de conversion de l’angiotensine et de la néprylisine ou endopeptidase neutre (NEP, neutral endopeptidase), enzyme impliquée dans le catabolisme de plusieurs peptides hormonaux, dont la bradykinine et les peptides natriurétiques.

Omavéloxolone n. f. Petite molécule d’hémisynthèse possédant un squelette de cinq anneaux hexagonaux, qui dérive d’une molécule triterpénoïde de type oléanane.Voir : Hémisynthèse ; Triterpène ; Transcription de l’ADN ; Stress oxydant ; Ataxie locomotrice ; Mitochondrie ; Symptôme.

Ombelle n. f. Inflorescence soit simple, formée alors par un ensemble de fleurs situées presque au même niveau et portées par des pédicelles insérés au même niveau dun même axe (exemple grande astrance), soit composée, formée alors par un ensemble dombellules insérées sur des pédicelles (exemple : carotte).

Ombellifère n. f. Famille nommée aujourdhui Apiacaeae, caractérisée par son homogénéité et la présence dinflorescences en ombelles composées, parfois simples. Exemple : Astrantia.

Ombistavir n. m. Anti-VHC, inhibiteur de la phosphoprotéine non structurale NS5A nécessaire à lactivité de lARN polymérase. Lombistavir bloque la réplication virale et semble aussi agir en inhibant lassemblage et la libération des virions.Inscrit en association avec le paritaprévir + ritonavir sur la liste des Médicaments essentiels de…

Ombrabuline

Ome subst. m. (Médecine) Entre dans la composition des mots désignant une tumeur (sarcome, lymphome…), une affection pathologique (glaucome) ;(Biologie) Entre dans la composition des mots désignant un ensemble ou un système dont les termes sont forgés à partir d’un radical (génome, microbiome, protéome…).

OMEDIT

Oméga-6 n. m. Terme général désignant les acides carboxyliques polyinsaturés à longue chaîne, dont la première double liaison rencontrée, en partant du carbone opposé au groupe acide (carbone ω, numéroté 1 selon la nomenclature spécifique aux acides gras) est en position 6. Exemple : lacide linoléique, C18:2…

Oméga-3 n. m. Terme général désignant les acides carboxyliques polyinsaturés à longue chaîne, dont la première double liaison rencontrée, en partant du carbone opposé au groupe acide (carbone ω, numéroté 1 selon la nomenclature spécifique aux acides gras) est en position 3. Exemple : l’acide α-linolénique, C18:3 n-3, acide gras…

Oméprazole n. m. Dérivé du benzimidazole à fonction sulfoxyde, inhibiteur sélectif de la pompe à protons, dernière étape de la sécrétion acide stomacale. Agirait sous forme dun métabolite bloquant lATPase régulant les échanges HInscrit sur la liste des Médicaments essentiels de lOMS et à la Pharmacopée Européenne,…

Omidènepag isopropyl n. m. Petite molécule de synthèse, qui est un précurseur pharmacologique de l’omidènepag (métabolite actif), via l’hydrolyse de l’ester isopropylique au sein même de l’humeur aqueuse, après une instillation topique oculaire. L’omidènepag, bien que n’étant pas un dérivé de prostaglandine, est un agoniste sélectif du récepteur prostanoïde…

Omidubicel n. m. Cellules humaines progénitrices hématopoïétiques (CPH), CD34 positives (CD34Voir : Progéniteur ; Hématopoïétique ; Allogénique ; Sang de cordon ; Nicotinamide ; Cytokine ; Moelle osseuse ; Neutrophile ; Plaquette ; Fibroblaste ; Ostéoblaste ; Chondrocyte ; Myocyte ; Adipocyte ; Endothélium ; GVH (Graft versus…

Omique adj. et subst. f. Substantif utilisé dans diverses disciplines de la biologie. Il s’agit de l’ensemble de disciplines qui visent à caractériser la complexité du vivant au moyen de méthodes les moins restrictives possibles. À partir de techniques variées (analyses biologiques, chimiques et statistiques), on décrit les différents constituants…

Omnipraticien adj. et n. m. Se dit du médecin exerçant la médecine générale Il est le professionnel de la santé assurant plusieurs fonctions : suivi, prévention, soins et traitement des malades, sans préoccupation de « spécialisation ». Sa prise en charge est horizontale alors que les spécialistes opèrent en général…

Omoconazole (nitrate d') n. m. Dérivé non nitré de limidazole, antifongique azolé à usage local.

OnabotulinumtoxineA n. m. Neurotoxine de Clostridium botulinum de type A, qui bloque la transmission cholinergique au niveau de la jonction neuromusculaire en inhibant la libération d’acétylcholine. Les terminaisons nerveuses de la plaque motrice ne répondent plus aux impulsions nerveuses empêchant la sécrétion des neurotransmetteurs au niveau de cette plaque motrice (dénervation…

Onagraceae Famille de lordre des Myrtales (Rosidées – Malvidées) ; herbacées tempérées à anthères semblables présentant des feuilles souvent opposées, simples et des fleurs de type 4 ou 5. Exemples : épilobe, onagre, fuchsias.

Onagre n. f. Nom générique de plantes herbacées appartenant au genre Oenothera (Onagraceae).


Onchocerca Genre de Nématode de la superfamille des Filarioidae, espèce principale Onchocerca volvulus. Le mâle mesure 3 mm et son extrémité postérieure est recourbée doù le nom donchocerque. La femelle mesure environ 60 mm de long sur 0,3 à 0,4 mm de diamètre.

Onchocercose n. f. Maladie chronique du tissu sous-cutané ou de lœil, provoquée par une filaire, Onchocerca volvulus. Cest la deuxième cause mondiale de cécité, après le trachome (25 millions donchocerquiens). Le parasite adulte loge dans le tissu sous-cutané et provoque des tumeurs fibreuses enkystées (nodules onchocerquiens) saccompagnant de…

Oncogène adj. et n. m. Un oncogène est un gène cellulaire, présent dans les cellules eucaryotes, dont l’expression anormale est susceptible de favoriser l’apparition d’un cancer.

Oncologie n. f. Étude scientifique et médicale des tumeurs malignes ou cancers. Dans les pays anglo-saxons, seul le terme « oncology » est utilisé. En France, le terme « oncologie » s’appliquait plutôt aux hémopathies malignes et le terme « cancérologie » aux tumeurs solides malignes. Aujourd’hui, cette différence s’estompe. Exemple : oncologie pédiatrique.

Oncovirinae Sous-famille de virus oncogènes de la famille des Retroviridae. Quatre genres : virus des tumeurs mammaires de la Souris (types B et C), virus aviaire (type C), HTLV I et II (Human T leukemia virus).

Oncovirus n. m. Nom générique de virus capables, en introduisant leur matériel génétique dans un chromosome de la cellule quils infectent, de la rendre cancéreuse ou leucémique. Il peut sagir de virus à ARN ou à ADN (exemples : virus dEpstein – Barr, rétrovirus, papillomavirus).

Ondansétron n. m. Antagoniste sélectif des récepteurs de la sérotonine 5-HTInscrit sur la liste des Médicaments essentiels de lOMS et à la Pharmacopée Européenne, monographie 07/2011, 2016 (chlorhydrate d).

Onglet n. m. Partie inférieure de certains pétales, rétrécie en une lame étroite ou onglet. Exemple : géranium herbe-à-Robert.

ONIAM

Onychomycose n. f. Mycose des ongles provoquée par différentes espèces de micromycètes. Les plus fréquemment retrouvées sont des dermatophytes (surtout aux pieds), en particulier Trichophyton rubrum, puis des levures du genre Candida (surtout aux mains). Parfois surinfection des ongles des pieds par diverses bactéries ou moisissures (exemple :…

Oocinète n. m. Œuf mobile des Apicomplexa, aboutissement de la reproduction sexuée avec la fécondation du macrogamète par le microgamète. Dans le genre Plasmodium, loocinète traverse la paroi de lestomac de lanophèle femelle et simmobilise à la surface externe en donnant loocyste.

Oocyste n. m. Vésicule produisant une ou des oosphères.

Oogamie n. f. Mode de fécondation de nombreuses espèces animales et végétales, consistant en un unique processus dunion entre deux cellules différentes, un gamète femelle, oosphère immobile et un gamète mâle, spermatozoïde mobile flagellé, et aboutissant à la formation dun œuf.Chez les champignons, mode de procréation sexuée propre…

Oomycètes n. m. Classe de Micromycètes du sous-embranchement des Mastigomycotina dont les spores de la reproduction végétative ont deux flagelles. Quatre ordres :4- les Péronosporales dont plusieurs espèces saprophytes et espèces parasites attaquant des plantes de grande culture (exemple : Plasmopara viticola, agent du mildiou de la vigne).

Oosphère n. f. Gamète femelle volumineux et inerte produit par un oocyste.

Oospore n. f. Nom donné à lœuf obtenu par oogamie.

Open field test n. m. Test pharmacologique consistant à explorer la réactivité émotionnelle chez le rat ou la souris, afin de mettre en évidence une action psychotrope potentielle dune nouvelle substance.

Opérateur n. m. Site de lADN auquel se lie un répresseur pour empêcher le déclenchement de la transcription au niveau du promoteur adjacent.

Opéron n. m. Unité fonctionnelle dexpression génétique de transcription sur lADN, constituée par une série de gènes de structure accompagnés déléments de contrôle (régulateur, promoteur et opérateur).

Ophtalmie n. f. Maladie inflammatoire de lœil.

Ophtalmique adj. Qui a trait à lœil (exemple : migraine ophtalmique).

Opiacé adj. et n. m. Qualifie ou désigne des préparations contenant de lopium ou, par extension, des substances extraites de lopium (exemples : morphine, codéine) ou qui en sont dérivées (exemple : héroïne).

Opicapone n. f. Inhibiteur périphérique, sélectif et réversible de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT), molécule de troisième génération de durée d’action plus longue et de plus puissant que l’entacapone.

Opioïde adj. et n. m. Qualifie ou désigne une substance reproduisant les effets de la morphine.

Opiomane n. m. Toxicomane qui sadonne à la consommation dopium en le fumant ou, parfois, en labsorbant par voie orale (opiophagie).

Opiorphine n. f. Pentapeptide (Gln-Arg-Phe-Ser-Arg) isolé, en 2006, dans la salive humaine. Homologue de la sialorphine salivaire du rat, découverte quelques années plus tôt, l’opiorphine inhibe, comme la sialorphine, les deux ectopeptidases, l’endopeptidase neutre ou NEP (neutral-endopeptidase) et l’aminopeptidase N ou AP-N (aminopeptidase-N) qui inactivent les…

Opisthorchiidae Famille de trématodes (helminthes plats) comprenant les genres Clonorchis et Opisthorchis.

Opisthorchiose n. f. Distomatose due au développement dune douve du genre Opisthorchis.

Opisthorchis Nom dune espèce de douves des Félidés (Opistorchis felineus) ou des carnivores (Opisthorchis viverrini) qui habitent les canaux biliaires de lhomme, du chat et du chien, après consommation de poissons crus eux-mêmes infectés. Symptômes : infection éventuellement inapparente ou bien fièvre, anorexie, douleurs épigastriques, perte…

Opisthotonos n. m. Pathologie neurologique, par contracture des muscles postérieurs du cou et du rachis, entraînant la courbure du corps en arc de cercle. Il survient, en particulier, en phase détat du tétanos.



→ Organique

Onasemnogène abéparvovec

Dernière modification de cette page le 08 août 2019


Synonyme(s) : onasemnogène abéparvovec-xioi

n. m.  (DCI). Vecteur viral adéno-associé recombinant de sous-type 9, AAV9  (Adeno-associated virus), non réplicatif, utilisé en thérapie génique de remplacement pour le traitement des enfants atteints d'amyotrophie spinale musculaire (ASM ou SMA, spinal muscular atrophy). L'ASM infantile est une maladie rare (1/10 000 naissances), souvent mortelle chez le nourrisson, caractérisée par une dégénérescence des cellules nerveuses commandant les muscles, entraînant faiblesse musculaire et paralysie plus ou moins importante.
Au sein des cellules nerveuses du cerveau et de la moelle épinière, et sans modifier l’ADN du patient, le transgène encode la protéine humaine de survie des motoneurones de type 1, SMN1 (survival motor neuron), sous le contrôle d’un promoteur hybride constitué d’un amplificateur de cytomégalovirus et de β-actine de poulet. Son rôle est de se substituer au gène SMN1, altéré ou manquant dans l'ASM.


Administrée par voie intraveineuse ou intrathécale chez les enfants de moins de deux ans atteints d'amyotrophie spinale afin de prévenir la paralysie musculaire.
Cf nusinersen.

Références et annexes : Ce traitement, 1ère thérapie génique approuvée pour l'amyotrophie spinale musculaire, est issu des travaux du Dr Martine Barkats (Institut de Myologie de France, AFM-Téléthon and SMA Europe) portant sur des souris atteintes d'amyotrophie traités avec un vecteur viral AAV9.