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Goséréline : Différence entre versions

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Version du 20 janvier 2016 à 10:37

Dernière modification de cette page le 19 janvier 2016
Goséréline.

Anglais : goserelin
Espagnol : goserelina
n. f. (DCI). Analogue de la GnRH (Gonadotropin-releasing hormone) qui entraîne une stimulation initiale de la sécrétion des gonadotrophines suivie, en cas d'utilisation chronique, d'une inhibition.
Prescrite principalement dans le traitement des cancers de la prostate localement avancés ou métastatiques hormonodépendants.

Inscrite à la Pharmacopée Européenne (monographie 01/2013, 1636).

Ces analogues sont administrés par voie sous-cutanée, selon la spécialité, tous les mois ou tous les 3 ou 4 ou 6 mois. Si le cancer devient hormonorésistant, il faut arrêter le traitement. Une hormonothérapie s'accompagne d'effets secondaires : bouffées de chaleur, nausées, vomissements, troubles de la sexualité (absence de désir, impuissance) et, à plus long terme, prise de poids, et perte de densité osseuse (ostéoporose).
Ce décapeptide peut parfois être prescrit dans le traitement du cancer du sein métastatique hormonodépendant de la femme préménopausée, lorsqu'une suppression de la fonction ovarienne est nécessaire : dans ces cas, l'administration prolongée permet de réduire la production d'œstradiol.