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Groupe 16:Frénotomie : Différence entre versions

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|VM_Commentaires=Malgré un manque d’études scientifiques de qualité concernant cette pratique, on assiste aujourd’hui à son augmentation spectaculaire, en France et dans le monde. Effectuée très tôt après le séjour en maternité, elle permettrait ensuite un allaitement à la fois efficace pour le nouveau-né et le nourrisson, et indolore pour la mère.<br /> L’Académie nationale de médecine s’est associée à plusieurs sociétés savantes, médicales, chirurgicales, paramédicales, à des collèges professionnels et des associations, pour émettre les plus grandes réserves quant à l’intérêt et l’innocuité de ce geste invasif à risque d’effets indésirables.
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|VM_Commentaires=Malgré un manque d’études scientifiques de qualité concernant cette pratique, on assiste aujourd’hui à son augmentation spectaculaire, en France et dans le monde. Effectuée très tôt après le séjour en maternité, elle permettrait ensuite un allaitement à la fois efficace pour le nouveau-né et le nourrisson, et indolore pour la mère.<br />L’Académie nationale de médecine s’est associée à plusieurs sociétés savantes, médicales, chirurgicales, paramédicales, à des collèges professionnels et des associations, pour émettre les plus grandes réserves quant à l’intérêt et l’innocuité de ce geste invasif à risque d’effets indésirables.
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Version actuelle datée du 5 juillet 2023 à 09:42

Anglais : lingual frenotomy
Espagnol : fenotomía
Allemand : Frenotomie
n. f. Section chirurgicale du frein de la langue chez le nouveau-né ou le nourrisson pour restaurer l’amplitude du mouvement de la langue mobile, en particulier sa rétraction. Cet acte rare, jusque récemment, est indiqué devant une ankyloglossie (anomalie congénitale au retentissement fonctionnel important, causée par un frein lingual « restrictif »).

Malgré un manque d’études scientifiques de qualité concernant cette pratique, on assiste aujourd’hui à son augmentation spectaculaire, en France et dans le monde. Effectuée très tôt après le séjour en maternité, elle permettrait ensuite un allaitement à la fois efficace pour le nouveau-né et le nourrisson, et indolore pour la mère.
L’Académie nationale de médecine s’est associée à plusieurs sociétés savantes, médicales, chirurgicales, paramédicales, à des collèges professionnels et des associations, pour émettre les plus grandes réserves quant à l’intérêt et l’innocuité de ce geste invasif à risque d’effets indésirables.