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Dernière modification de cette page le 12 février 2015
Anglais : signal
Espagnol : señal
Étymologie : latin signālis qui sert de signe
n. m. Signe convenu pour avertir.



Biologie moléculaire



Signal d'arrêt de transfert

Anglais : stop transfert signal
Espagnol : detener la señal de transferencia
Séquence hydrophobe d'acides aminés qui arrête la translocation d'une chaîne peptidique à travers la membrane du réticulum endoplasmique et l'ancre ainsi dans la membrane.

Signal de début de transfert

Anglais : transfert start signal
Espagnol : señal de inicio de transferencia
Courte séquence d'acides aminés qui permet la translocation d'une chaîne peptidique, dans la membrane du réticulum endoplasmique, à un ensemble de translocation protéique.

Signal d'exportation nucléaire

Anglais : nuclear export signal
Espagnol : señal de exportación nuclear
Signal de tri contenu dans la structure de molécules qui sont transportées, du noyau au cytosol, à travers les complexes de pores nucléaires.

Signal de localisation nucléaire

Anglais : nuclear localization signal
Espagnol : señal de localización nuclar
Séquence signal retrouvée dans les protéines destinées au noyau et qui permet le transport sélectif à travers les pores nucléaires.


Chimie analytique



Selon l'IUPAC, représentation d'une quantité issue d'une mesure instrumentale.


Neurologie - Neurosciences



Signal dépendant du niveau d'oxygène sanguin (signal BOLD)

Anglais : blood oxygen level dependent (BOLD) signal
Espagnol : señal dependiente del nivel de oxígeno en sangre
Signal utilisé en imagerie cérébrale fonctionnelle par résonance magnétique fonctionnelle, IRMf, pour comparer les changements d’activité neuronale d’une aire corticale ou d’une structure sous-corticale. Repose sur la détermination de la consommation locale d’oxygène, marquée par une variation du niveau d’oxygénation de l’hémoglobine dans les hématies.

Le rapport oxyhémoglobine sur désoxyhémoglobine modifie le signal généré par une impulsion à haute fréquence appliquée pendant l’exposition continue à un champ magnétique intense, habituellement de 1,5 à 3 teslas. Une succession d’acquisitions, jointe à un traitement numérique complexe, permet finalement de localiser les zones d’hyperactivité ou d'hypoactivité du cerveau d’un sujet humain ou animal, en réponse à une stimulation ou à l’exécution, réelle ou imaginée, d’une tâche.