« Ensifentrine » : différence entre les versions

De Le dictionnaire
(Page créée avec « {{Titre et classement |VM_Titre_gras=Oui |VM_Titre_italique=Non |VM_Clé_de_classement=ensifentrine |VM_Date_de_révision=2024-07-07 |VM_Cible=Non }} {{Définition-base |VM_Affiche_discipline=Oui |VM_Type_grammatical=n. |VM_DCI=Oui |VM_Genre=f. |VM_Ajout_entrée=Oui |VM_Sous-entrée_gras=Oui |VM_Sous-entrée_italique=Non |VM_Définition=Petite molécule de synthèse, un inhibiteur double, sélectif, des enzymes Phosphodiestérase|phosphodiestéra... »)
 
(Liens internes)
 
(Une version intermédiaire par un autre utilisateur non affichée)
Ligne 14 : Ligne 14 :
|VM_Sous-entrée_gras=Oui
|VM_Sous-entrée_gras=Oui
|VM_Sous-entrée_italique=Non
|VM_Sous-entrée_italique=Non
|VM_Définition=Petite molécule de synthèse, un [[Inhibiteur|inhibiteur]] double, sélectif, des enzymes [[Phosphodiestérase|phosphodiestérase]] 3 (PDE3) et phosphodiestérase 4 (PDE4), qui combine des effets bronchodilatateurs et anti-inflammatoires non stéroïdiens dans une seule molécule.</Br>La PDE3 hydrolyse principalement la molécule de second messager, l’adénosine monophosphate cyclique ([[AMPc|AMPc]]), mais elle peut également hydrolyser le guanosine monophosphate cyclique ([[GMPc|GMPc]]). La PDE4 hydrolyse uniquement l’AMPc. L’inhibition de ces deux PDE entraîne une accumulation de taux intracellulaires d’AMPC et/ou de GMPc, qui provoquent des effets variés sur les voies de signalisation cellulaires.
|VM_Définition=Petite molécule de synthèse, un [[Inhibiteur|inhibiteur]] double, sélectif, des enzymes [[Phosphodiestérase|phosphodiestérase]] 3 (PDE3) et [[Phosphodiestérase|phosphodiestérase]] 4 (PDE4), qui combine des effets bronchodilatateurs et anti-inflammatoires non stéroïdiens dans une seule molécule.</Br>La PDE3 hydrolyse principalement la molécule de second messager, l’[[Adénosine|adénosine]] monophosphate cyclique ([[AMPc|AMPc]]), mais elle peut également hydrolyser le guanosine monophosphate cyclique ([[GMPc|GMPc]]). La PDE4 hydrolyse uniquement l’AMPc. L’inhibition de ces deux PDE entraîne une accumulation de taux intracellulaires d’AMPC et/ou de GMPc, qui provoquent des effets variés sur les voies de signalisation cellulaires.
|VM_Commentaires=L’ensifentrine est prescrite sur ordonnance pour traiter la bronchopneumopathie chronique obstructive ([[BPCO|BPCO]]) chez les adultes, et administrée directement dans les poumons à l’aide d’un [[Nébuliseur|nébuliseur]] à jet standard, sans nécessiter des débits inspiratoires élevés ou de coordination main – respiration complexe.</Br>
|VM_Commentaires=L’ensifentrine est prescrite sur [[Ordonnance|ordonnance]] pour traiter la bronchopneumopathie chronique obstructive ([[BPCO|BPCO]]) chez les adultes, et administrée directement dans les poumons à l’aide d’un [[Nébuliseur|nébuliseur]] à jet standard, sans nécessiter des débits inspiratoires élevés ou de coordination main – respiration complexe.</Br></Br>Le médicament est disponible sous forme de suspension stérile dans une ampoule unitaire en [[Polyéthylène (PE)|polyéthylène]] basse densité, dans un sachet en aluminium, contenant 3 mg d’ensifentrine, du phosphate disodique, du phosphate monosodique, du polysorbate 20, du chlorure de sodium, du monolaurate de sorbitane et de l’eau pour préparations injectables. L’ampoule doit être agitée vigoureusement pour assurer la remise en suspension complète du principe actif immédiatement avant l’administration par [[Nébulisation|nébulisation]]. Comme pour tous les traitements par [[Nébulisation|nébulisation]], la quantité délivrée aux poumons dépendra des facteurs du patient, du système de [[Nébulisation|nébulisation]] utilisé et de la performance du compresseur.
Le médicament est disponible sous forme de suspension stérile dans une ampoule unitaire en [[Polyéthylène (PE)|polyéthylène]] basse densité, dans un sachet en aluminium, contenant 3 mg d’ensifentrine, du phosphate disodique, du phosphate monosodique, du polysorbate 20, du chlorure de sodium, du monolaurate de sorbitane et de l’eau pour préparations injectables. L’ampoule doit être agitée vigoureusement pour assurer la remise en suspension complète du principe actif immédiatement avant l’administration par [[Nébulisation|nébulisation]]. Comme pour tous les traitements par nébulisation, la quantité délivrée aux poumons dépendra des facteurs du patient, du système de nébulisation utilisé et de la performance du compresseur.
|VM_Illustration=Ensifentrine.png
|VM_Légende_illustration=Ensifentrine.
|VM_Légende_illustration=Ensifentrine.
|VM_Position_illustration=Right
|VM_Position_illustration=Right

Dernière version du 8 juillet 2024 à 02:00

Encaïnide (chlorhydrate d') ←

Endoscope n. m. Dispositif optique, rigide ou souple, muni d’un système d’éclairage et d’un système de vision destiné à être introduit dans une cavité pour en permettre l’observation. Peut, en complément, être utilisé pour des interventions chirurgicales peu intrusives (type biopsies), s’il est muni d’instruments adaptées (pince, lame,…

Endoscopie n. f. Ensemble des techniques d’examen de l’intérieur d’une cavité (naturelle ou industrielle).

Endoscopique

Endosome n. m. Réseau dynamique de tubules et vésicules cytoplasmiques résultant de la fusion des petites vésicules formées lors de lendocytose.

Endothéline n. f. Peptide vasoconstricteur de 21 acides aminés émis par l’endothélium vasculaire. Trois isoformes (ET-1, ET-2, ET-3) suivant les tissus, sont obtenues par clivage d’un peptide précurseur, la préproendothéline, composée d’environ 200 résidus dacides aminés, conduisant aux “ big ” endothélines de 40 acides aminés. Celles-ci…

Endothélium n. m. Épithélium de revêtement constitué d’une couche de cellules endothéliales bordant la lumière des vaisseaux sanguins et lymphatiques. Il est impliqué dans la vasomotricité (production de différents composés dont les prostacyclines et le monoxyde d’azote agissant sur les cellules musculaires lisses vasculaires), l’hémostase, le remodelage de…

Endotoxine n. f. Constituant de la paroi de certaines bactéries à Gram négatif (antigène somatique O), de structure lipopolysaccharidique, ne diffusant pas dans les milieux de culture, mais libérée uniquement lors de la lyse des corps bactériens in vivo ou in vitro. Consécutive en particulier à un traitement…

Endozootie n. f. Maladie infectieuse d’un groupe animal, frappant une région, persistante ou sévissant à certaines époques déterminées à la façon dune épidémie ou dune pandémie (exemples : rage vulpine, rage canine).

Ènediyne n. m. Nom générique désignant des antibiotiques de structure complexe caractérisée par la présence d’un cycle à 9 ou 10 chaînons comportant deux triples liaisons séparées par une double liaison ; ils sont produits par fermentation de microorganismes (actinobactéries des genres Streptomyces, Micromonospora, Salinispora, ...) d’origine terrestre…

Énergie (E) n. f. Au sens large, l’énergie d’un corps ou d’un système est définie comme étant sa capacité à fournir du travail. Unité SI le joule (J). Peut revêtir plusieurs formes, cinétique quand elle est liée à un mouvement, potentielle lorsquelle est liée à sa position dun objet.…

Enfance n. f. Période de la vie s’étendant entre l’état de nourrisson et l’adolescence. On distingue la première enfance, de 2 à 6 ans et la deuxième enfance, de 6 à 12 ans. Cf âge.

Enflurane n. m. Anesthésique général.

Enfortumab védotine n. f. Immunoconjugué résultant du couplage d’un anticorps monoclonal, ayant pour cible la nectine-4 (PVRL4, Poliovirus Receptor-related 4), avec la monométhylauristatine E ou MMAE, agent cytotoxique dépendant de l’anticorps (ADCC, Antibody-dependant cellular cytotoxicity).L’immunoconjugué cible les cellules tumorales surexprimant la nectine-4 et libère, après pénètration dans ces cellules,…

Enfumafungine n. f. Hétéroside triterpénique isolé du milieu de fermentation d’un champignon, Hormonema sp., endophyte des feuilles du genévrier commun (Juniperus communis L., Cupressaceae). L’enfumafungine n’est pas une molécule unique mais un mélange de deux β-glucosides stéréoisomères en équilibre, qui résulte de la présence d’une fonction hémiacétal cyclique…

Enfuvirtide n. m. Antiviral. Lenfuvirtide est un polypeptide de 36 acides aminés. Il appartient à la classe des inhibiteurs de fusion. Il se lie spécifiquement à la glycoprotéine gp41 de lenveloppe virale du VIH-1 et bloque le réarrangement structural nécessaire à la fusion des membranes virales et…

Engelure n. f. Érythème rouge violacé, tuméfié et douloureux, récurrent, localisé aux mains, pieds, visage, qui se déclenche lors d’exposition répétée au froid et à lhumidité.

Enjambement n. m. Entrecroisement des chromosomes avec échange de segments et recombinaison des gènes portés par ces segments.

Enképhaline n. f. Terme qui désigne les deux premières endorphines découvertes, la met-enképhaline et la leu-enképhaline, pentapeptides qui ne diffèrent que par un acide aminé (correspondant à leur nom) à l’extrémité de la séquence Tyr-Gly-Gly-Phe-. Considérées comme ligands endogènes des récepteurs opioïdes δ et plus faiblement des μ.…

Enkystement n. m. Formation dune couche de tissu conjonctif dense autour dune production pathologique (exemple abcès, tumeur) ou dun corps étranger, lisolant de son environnement.

Enmétazobactam n. m. Petite molécule de synthèse, qui est une sulfone dérivée de l’acide pénicillanique (SAP ; en anglais PAS, pour penicillanic acid sulfone), plus précisément du tazobactam, sous forme d’un β-lactamases, notamment chez les pathogènes Gram-négatifs antibiorésistants ; la structure cristalline (par rayons X à haute résolution) a montré…

Énol n. m. Molécule comportant une double liaison dont l’un des atomes de carbone est directement lié à un atome d’oxygène. Forme la moins stable de la tautomérie céto-énolique.

Énoxacine n. f. Anti-infectieux de la famille des quinolones fluorées de deuxième génération.

Énoxaparine

Énoximone n. f. Dérivé imidazolé, inhibiteur des phosphodiestérases, effets inotropes et vasodilatateurs.

Énoxolone

Enquête n. f. Opération qui consiste à rechercher, rassembler et recueillir de l’information, puis à l’analyser en vue de résoudre une ou plusieurs questions spécifiées à l’avance.

Enregistrement n. m. Résultat de l’utilisation de dispositifs techniques permettant de fixer, de conserver, de reproduire et de transcrire des données scientifiques.

Enregistreur n. m. Dispositif technique permettant de transcrire et de conserver sur un support les signaux (analogiques ou numériques) venant dun détecteur. Il permet de garder la trace des résultats dune expérience.

Enrobage n. m. Action de recouvrir un produit,une denrée, dun couche qui le protège ou en améliore le goût.

Ensemencer v. Répandre les semences sur une surface cultivable (exemple : graine, alevin, microbe).


ENSP

Entacapone n. f. Inhibiteur sélectif et réversible de la catéchol-O-méthyltransférase (COMT), ne traversant pas la barrière hémato-encéphalique.Inscrite à la Pharmacopée Européenne (monographie 01/2011, 2574).

Entamoeba Nom scientifique dun genre de Protozoaires important, les Amibes, de la famille des Entamoebidae groupant les genres Entamœba, Endolimax et Iodamœba. Entamœba histolytica est lagent responsable de la dysentérie amibienne.

Entécavir n. m. Antiviral, analogue nucléosidique de la guanosine ayant une activité sur la polymérase du virus de lhépatite B (VHB). Actif sous la forme triphosphate, il possède une demi‑vie intracellulaire de 15 heures. Par compétition avec le substrat naturel (le desoxyguanosine triphosphate), lentécavir triphosphate inhibe les…

Entente préalable n. f. Accord de la caisse d’assurance maladie dont relève l’assuré, nécessaire à la prise en charge de certains actes ou traitements médicaux. Excepté en cas d’urgence, les actes ou traitements ne peuvent être initiés avant cet accord de la caisse (Article R. 165-23 du Code de…

Entéral adj. Qui a rapport à lintestin (par exemple voie entérale : administration par voie digestive).

Entérite n. f. Inflammation aiguë ou chronique de lintestin grêle.

Enterobacter Genre de la famille des Enterobacteriaceae. Bacilles mobiles, à Gram négatif, du groupe KEHS comprenant huit espèces : Enterobacter aerogenes, E. gergoviae, E. cloacae, E. agglomerans, E. asburiae, E. taylorae, E. amnigenes et E. intermedium, hôtes habituels du tube digestif. Une neuvième espèce, E. sakazakii,…

Enterobacteriaceae Famille de bactéries à Gram négatif comportant de très nombreuses espèces saprophytes ou pathogènes du tube digestif de lHomme et des animaux. Bacilles mobiles ou non, non sporulés, cultivables sur milieux ordinaires, aérobies ou anaérobies facultatifs, réduisant les nitrates, ayant une réaction doxydase négative et…

Enterobius vermicularis

Enterococcus Genre bactérien qui a été séparé de la famille des Streptococcaceae en 1984. Cocci à Gram positif se présentant habituellement sous forme de chaînettes, à métabolisme anaérobie, cultivables sur un milieu salé (6,5 % NaCl). Comprend de nombreuses espèces, hôtes normaux de lintestin de lHomme et…

Entérocolite n. f. Inflammation de la muqueuse du couple intestin grêle – côlon marquée par des diarrhées, douleurs abdominales et fièvre.

Entérocyte n. m. Cellule intestinale prismatique responsable de l’absorption des nutriments, caractérisée au pôle apical par un plateau strié de microvillosités d’où une grande surface d’absorption. Les enzymes hydrolytiques y sont présentes ainsi que dans les mailles du glycocalyx. A partir du pôle basal, les nutriments passent dans…

Enterocytozoon n. m. Genre de lembranchement des Microspora, comportant principalement l’espèce E. bieneusi, parasite intracellulaire responsable dune microsporidiose opportuniste se développant principalement chez les sujets immunodéprimés, notamment après une greffe dorgane. Lhomme est le seul réservoir connu. Manifestations pathologiques digestives, biliaires, intestinales (diarrhée, douleurs abdominales), accompagnées de malabsorption,…

Entérokinase

Entéropeptidase n. f. Protéase sécrétée par le duodénum, activant le trypsinogène en trypsine par élimination de lhexapeptide C-terminal.

Entérostomie n. f. Abouchement cutané d’un segment du tube digestif au niveau de la paroi antérieure de l’abdomen. Elle nécessite d’appareiller le patient avec des poches collectrices.

Entérotoxine n. f. 1- toxine dorigine intestinale ; 2- toxine thermostable ou thermolabile active sur lintestin,sécrétée par diverses bactéries (Vibrion cholérique, colibacilles entérotoxinogènes, certains staphylocoques responsables de toxi-infections alimentaires...). Les entérotoxines sont des protéines responsables de diarrhées associées ou non à des dommages tissulaires.

Entérotoxinogène adj. Qualifie une intoxication intestinale due à une toxine ou la souche de bactéries génératrice dune toxine active sur lintestin.

Entérotrope adj. Qui présente une affinité pour lintestin (exemple enterovirus).

Enterovirus n. m. Genre viral de la famille des Picornaviridae regroupant des virus ayant un tropisme pour le tractus digestif ou respiratoire. Petits virus à ARN monocaténaire avec une capside icosaédrique non enveloppée (27 à 30 nm de diamètre). Les virus du genre Enterovirus infectant l’Homme sont…

Enthalpie (H) n. f. Effet thermique à pression constante accompagnant un processus physicochimique. Symbole H, Unité, le joule J.

Enthalpimétrique adj. Qui a trait à l’enthalpie.

Entomologie n. f. Partie de la zoologie qui traite des insectes.

Entomophile adj. Qualifie un mode de pollinisation des plantes par les insectes. Propre aux Angiospermes dont les insectes assurent le transport du pollen des étamines jusqu’au pistil (exemple : la sauge, Lamiaceae ex-Labiées).

Entorse n. f. Lésion traumatique brusque d’un ligament n’entraînant pas une perte permanente des rapports normaux d’une articulation à la différence d’une luxation. Dans lentorse bénigne, les ligaments sont distendus et élongés. Dans lentorse grave, les ligaments sont arrachés ou rompus et la stabilité de larticulation compromise.

Entraînement

Entrectinib n. m. Petite molécule de synthèse, inhibiteur puissant des fonctions tyrosine kinases des récepteurs de la tropomyosine TrkA, TrkB et TrkC (tropomyosine receptor kinase), de la kinase du lymphome anaplasique ALK (anaplastic lymphoma kinase) ainsi que de la tyrosine kinase du protooncogène ROS1. L’inhibition, par l’entrectinib, de…

Entretien pharmaceutique n. m. Entretien proposé par le pharmacien d’officine aux patients chroniques, permettant de leur assurer une prise en charge personnalisée et optimale.

Entropie (S) n. f. Grandeur physique impliquée par essence dans le deuxième principe de la thermodynamique permettant d’évaluer la dégradation de l’énergie. Symbole S. Fonction d’état dont les variations sont mesurables. Unité joule par kelvin (J.K). Permet de prévoir l’évolution de tout système physique, chimique, biologique au cours d’une…



→ Épidémiologie

Ensifentrine

Dernière modification de cette page le 07 juillet 2024


Ensifentrine.


n. f.  (DCI). Petite molécule de synthèse, un inhibiteur double, sélectif, des enzymes phosphodiestérase 3 (PDE3) et phosphodiestérase 4 (PDE4), qui combine des effets bronchodilatateurs et anti-inflammatoires non stéroïdiens dans une seule molécule.
La PDE3 hydrolyse principalement la molécule de second messager, l’adénosine monophosphate cyclique (AMPc), mais elle peut également hydrolyser le guanosine monophosphate cyclique (GMPc). La PDE4 hydrolyse uniquement l’AMPc. L’inhibition de ces deux PDE entraîne une accumulation de taux intracellulaires d’AMPC et/ou de GMPc, qui provoquent des effets variés sur les voies de signalisation cellulaires.


L’ensifentrine est prescrite sur ordonnance pour traiter la bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO) chez les adultes, et administrée directement dans les poumons à l’aide d’un nébuliseur à jet standard, sans nécessiter des débits inspiratoires élevés ou de coordination main – respiration complexe.

Le médicament est disponible sous forme de suspension stérile dans une ampoule unitaire en polyéthylène basse densité, dans un sachet en aluminium, contenant 3 mg d’ensifentrine, du phosphate disodique, du phosphate monosodique, du polysorbate 20, du chlorure de sodium, du monolaurate de sorbitane et de l’eau pour préparations injectables. L’ampoule doit être agitée vigoureusement pour assurer la remise en suspension complète du principe actif immédiatement avant l’administration par nébulisation. Comme pour tous les traitements par nébulisation, la quantité délivrée aux poumons dépendra des facteurs du patient, du système de nébulisation utilisé et de la performance du compresseur.