Valeurs de page pour « Ochratoxine A »

De Le dictionnaire

Valeur de « Entrees »

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FieldType de champValue
affTitreStringOchratoxine A
classementStringochratoxinea
dateRevisionDate2021-10-14
cibleLiensBooleanNon
variantesListe de String, délimiteur : ;

Valeur de « SousEntrees »

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FieldType de champValeurs autoriséesValue
entreePageOchratoxine A
sousEntreeString
disciplinesListe de String, délimiteur : ,
illustrationString
legendeIllusString
synonymeString
anglaisStringocratoxin A
espagnolStringOchratoxin A
allemandStringOchratoxin A
etymologieTextDu grec ὤχρα ốkhra sorte de terre jaune et τοξικόν toxicón poison, poison à l’usage des flèches
typeGramStringn. · adj · adj. et n. · acron. · dim. · subst. · v. · n. prop. · n. vern. · préf. · suff. · p.p. et substant. · Adj. et substant.
genreStringm. · f.
nombreStrings. · pl.
definitionTextL’ochratoxine A (ou OTA) est une mycotoxine produite par différentes souches de Penicillium et d’Aspergillus ; elle est présente dans de nombreux produits végétaux du monde entier. Elle est résistante à la chaleur (non détruite par la cuisson), et a souvent été responsable de toxicités alimentaires. Aspergillus ochraceus est responsable de sa production sur le café, les épices, l’arachide, le riz et le maïs en régions chaudes et tropicales. Sur le raisin, sa présence est liée à Aspergillus westerdijikae. Cette dernière espèce, associée à Penicillium verrucosum, est aussi responsable de la contamination de céréales au cours des étapes de stockage en Europe et Amérique du Nord.
FieldType de champValeurs autoriséesValue
entreePageOchratoxine A
sousEntreeString
disciplinesListe de String, délimiteur : ,Toxicologie
illustrationString
legendeIllusString
synonymeString
anglaisString
espagnolString
allemandString
etymologieText
typeGramStringn. · adj · adj. et n. · acron. · dim. · subst. · v. · n. prop. · n. vern. · préf. · suff. · p.p. et substant. · Adj. et substant.
genreStringm. · f.
nombreStrings. · pl.
definitionTextLors d’une exposition répétée par l’OTA dans différentes espèces animales, une néphrotoxicité, une immunotoxicité et une neurotoxicité ont été observées ; le porc est l’espèce la plus sensible.L’EFSA (2020) n’a pas fixé de dose journalière tolérable (DJT) du fait du potentiel cancérogène génotoxique de l’OTA ; elle a invalidé la DJT établie en 2006. Cependant les expositions déterminées dans l’alimentation en Europe présentent un coefficient de sécurité d’exposition de 10 000 par rapport à la dose cancérogène rénale chez le rat et sont donc peu préoccupantes pour le consommateur.