« Maquillage » : différence entre les versions
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|VM_Commentaires=Les matières colorantes entrant dans ces produits doivent figurer sur une liste positive constituant l’Annexe IV du Règlement cosmétique européen. Elles sont classées en : colorants pouvant être utilisés dans tous les produits cosmétiques, colorants utilisables dans tous les cas sauf autour des yeux, et colorants utilisables dans tous les cas, sauf autour des muqueuses, colorants utilisables seulement dans les produits rincés | |VM_Commentaires=Les matières colorantes entrant dans ces produits doivent figurer sur une liste positive constituant l’Annexe IV du Règlement cosmétique européen. Elles sont classées en : colorants pouvant être utilisés dans tous les produits cosmétiques, colorants utilisables dans tous les cas sauf autour des yeux, et colorants utilisables dans tous les cas, sauf autour des muqueuses, colorants utilisables seulement dans les produits rincés. | ||
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|VM_Commentaires=Ces techniques, bien que réalisées en respectant les règles d’hygiène et de salubrité, avec du matériel stérile et des matières colorantes homologuées, présentent quelques contre-indications. Elles | |VM_Commentaires=Ces techniques, bien que réalisées en respectant les règles d’hygiène et de salubrité, avec du matériel stérile et des matières colorantes homologuées, présentent quelques contre-indications. Elles sont déconseillées aux femmes enceintes ou allaitantes. Les personnes mineures doivent avoir le consentement des deux parents.<br />Comme la [[Dermopigmentation|dermopigmentation]] ou le [[Tatouage|tatouage]] et, malgré le nom de maquillage, ces méthodes n’entrent pas dans le domaine cosmétique. | ||
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Dernière version du 5 avril 2024 à 14:06
Maltol n. m. Dérivé de la γ-pyrone. Produit odorant naturel (aiguilles de pin, chicorée...), relié chimiquement à certains oses (streptose constitutif de la streptomycine).
Maltose n. m. Diholoside (α-D-glucopyranosyl-(1→4)-D-glucopyranose) obtenu à partir de l’amidon de diverses céréales (maïs, orge…) par hydrolyse (chimique ménagée ou enzymatique par l’amylase). Présent en particulier dans le malt.
Malvaceae Famille appartenant à lordre des Malvales constituée de plantes des régions tropicales et tempérées ; ce sont des plantes herbacées, des arbres et des arbustes ; les feuilles sont simples souvent palmées et les fleurs de type 5 ont des pétales colorés.
Mamelon n. m. Sommet cylindrique ou conique du centre de laréole, au niveau duquel souvrent les canaux galactophores.
Mancenillier n. m. Hippomane mancenilla L. Euphorbiaceae est un arbre d’Amérique ; très présent aux Antilles, son latex est responsable de dermites graves et de conjonctivites aiguës, les substances actives sont des esters diterpéniques.
Mandarine n. f. Fruit du mandarinier (Citrus reticulata Blanco, Rutaceae), arbre originaire de l’Asie orientale, introduit au XIXInscrite à la Pharmacopée Européenne, monographies 04/2022, 2355 (huile essentielle de) et 08/2019, 2430 corrigé 10.0 (épicarpe et mésocarpe de).
Mandélique (acide) n. m. Acide carboxylique dérivé de lacide acétique, de formule brute C. Du fait de la présence dun carbone asymétrique, on distingue deux énantiomères de lacide mandélique, lacide L-(+) mandélique de configuration S et lacide D-(-) mandélique de configuration R.
Mandragore n. f. Herbacée du pourtour méditerranéen (Mandragora officinarum L., Solanaceae), vivace par un volumineux rhizome daspect souvent anthropomorphe. Présence dalcaloïdes tropaniques (hyoscyamine, scopolamine…) responsables de propriétés sédatives, analgésiques et parasympatholytiques ; intoxication mortelle possible liée à un syndrome anticholinergique se manifestant au niveau central (confusion, agitation, hallucinations,…
Mangafodipir n. m. Dérivé organométallique du manganèse.
Manganèse n. m. , Métal de transition de la 4, oxydant des matières organiques, antiseptique. Cf solution rose de Dakin, désinfectant de l’eau) ; cofacteur d’enzymes (réactions d’oxydoréduction)
Manganimétrie n. f. Méthode titrimétrique fondée sur le pouvoir oxydant de lion permanganate MnOO. Le potentiel standard reste très élevé (E° ≈ 1,70 V). Dans ces deux modalités, lion permanganate est un oxydant très puissant.
Mangoustan n. m. Fruit comestible du mangoustanier (Garcinia mangostana L., Clusiaceae), arbre originaire de l’Asie où il est cultivé (Inde, Sri-Lanka, Asie du Sud-Est) ainsi qu’en Amérique du Sud et dans d’autres régions tropicales du globe. Présence dans le fruit (péricarpe) de substances polyphénoliques, en particulier des xanthones…
Manguier n. m. Mangifera indica, Anacardiaceae, arbuste originaire dAmérique du Sud introduit dans de nombreuses régions tropicales et cultivé pour la production de ses fruits drupacés monospermes et comestibles, les mangues, exportés largement dans les pays tempérés.
Manidipine n. f. Inhibiteur calcique de la famille des dihydropyridines à action prolongée et à effets vasculaires prédominants, spécialement au niveau rénal.
Manie n. f. État marqué par lexpression de signes positifs tels quexcitation psychique et motrice avec exaltation euphorique de lhumeur. Constitutive du stade maniaque du cycle maniacodépressif, elle peut être exprimée dans diverses psychoses. Cette acception diffère de celle du sens commun qui désigne petits travers et habitudes…
Manioc n. m. Manihot utilissima Pohl., Euphorbiaceae est un arbuste buissonnant à feuilles palmatilobées disposées en grappes dont les tubercules servent à préparer le tapioca ; on distingue les maniocs doux et les maniocs amers ; ces derniers contiennent un hétéroside cyanogénéne (la linamarine) qui, toxique, doit être…
Manipulation n. f. Opération consistant à tenir un objet dans ses mains en vue, généralement, de son utilisation.
Mannane n. m. Terme générique désignant des polyosides homogènes constitués uniquement dunités de mannose. Peu fréquents à létat naturel, ils existent surtout sous forme de galactomannanes (par exemple « gomme » de guar) ou de glucomannanes (par exemple « gomme » de konjak), polysaccharides ramifiés formés dune chaîne…
Manne n. f. Suc épaissi à lair obtenu par incision de lécorce du tronc du frêne à manne (Fraxinus ornus L., Oleaceae) ; fragments jaunâtres (manne « en larmes ») contenant du D-mannitol et d’autres glucides (glucose, fructose, oligosaccharides…). Propriétés laxatives douces.
Mannitol n. m. Polyol acyclique à six carbones (= hexane-1,2,3,4,5,6-hexol) dont quatre asymétriques, tous de configuration R pour lisomère le plus courant, le D-mannitol. Largement répandu à létat naturel (manne du frêne, thalle dalgues brunes), préparé industriellement à partir du D-glucose ou du D-fructose. Diurétique osmotique.Inscrit sur la…
Mannose n. m. Aldose de formule brute CLe dérivé phosphorylé, le mannose-6-phosphate, est une marque spécifique de certaines glycoprotéines adressées aux lysosomes par l’appareil de Golgi.
Manomètre n. m. Appareil destiné à mesurer la pression dun fluide (gaz, vapeur, liquide) dans un espace fermé.
Mansonella Genre de la superfamille des Filarioidae (Nématodes) réunissant les espèces Mansonella ozzardi, M. streptocerca (Dipetalonema streptocerca) et M. perstans (D. perstans) trouvées en Afrique tropicale et en Amérique du Sud. Transmis par la piqûre dun moucheron (Culicoides), infeste la cavité péritonéale de lhomme. Peu pathogène.
Map kinase Acronyme anglais qui désigne une famille de sérine-thréonine kinases intervenant dans les phénomènes de signalisation qui régulent de nombreuses fonctions cellulaires dont la production de substances mitogènes, lexpression de gènes pro-inflammatoires, lapoptose et la survie des cellules. Leur activation constitutive est associée à certains cancers…
Maprotiline (chlorhydrate de) n. f. Dérivé de lanthracène, avec un pont –CHInscrite à la Pharmacopée Européenne (monographie 07/2010, 1237).
Maracuja
Maral n. m. Herbacée pérenne (Rhaponticum carthamoides [Willd.] Iljin, = Leuzea carthamoides [Willd.] DC.) des régions montagneuses du sud de la Sibérie. Nombreuses substances décrites dans la racine, parmi lesquelles substances polyphénoliques, lactones sesquiperpéniques, composés polyacétyléniques, stérols et surtout phyto-ecdystéroïdes (20E-hydroxy-20-ecdysone, ecdystérone…) réputés être les constituants actifs. En…
Maralixibat (chlorure de) n. m. Petite molécule de synthèse qui est inhibitrice du transporteur iléal des acides biliaires IBAT (ileal bile acid transporter), symport apical dépendant du sodium.
Marasme n. m. 1- Maigreur extrême ; 2- Apathie, découragement ; 3- Malaise économique.
Maraviroc n. m. Inhibiteur de la phase de fusion et substance limitant linvasion des cellules T dans le cycle de multiplication du virus de limmunodéficience humaine (VIH). Cest un antagoniste des récepteurs cellulaires CCR5 des chimiokines humaines. Sa liaison à CCR5 induit une modification de conformation de ce…
Marbofloxacine n. f. Fluoroquinolone à usage vétérinaire de troisième génération à large spectre daction agissant par inhibition de lADN gyrase..Inscrite à la Pharmacopée Européenne (monographie 04/2015, 2233).
Marbourg (virus de) n. m. Virus de la famille des Filoviridae, présent dans plusieurs pays d’Afrique, responsable épisodiquement de flambées de fièvres hémorragiques avec un taux de létalité élevé. similaire au virus Ebola. Virion de forme filamenteuse (longueur pouvant atteindre plusieurs milliers de nm), à nucléocapside hélicoïdale couverte d’une enveloppe,…
Marcescent adj. Se dit dun calice qui persiste, après la fécondation, en entourant la base du fruit à maturité ; ce calice, dabord vert, peut se faner et se dessécher. Exemples : tomate, belladone, jusquiame.
Marchiafava-Micheli (maladie de) n. f. Affection rare de ladulte qui se manifeste par une anémie hémolytique acquise chronique, accompagnée parfois de subictère et par une hémoglobinurie paroxystique nocturne. Des thromboses, des infections sévères, lapparition dune aplasie médullaire, dune leucémie aiguë sont les causes les plus fréquentes de la mort.
Marge n. f. 1- espace laissé blanc autour d’un texte imprimé ; 2- intervalle de temps dont on dispose pour réaliser quelque chose.
Margétuximab n. m. Anticorps monoclonal chimérique recombinant, de classe IgG1-K, dirigé contre le récepteur du facteur de croissance épidermique humain de type 2, HER2 (human epidermal growth factor receptor-2). HER2 joue un rôle essentiel dans la régulation de la croissance, de la survie et des phénomènes de différenciation…
Marginal adj. 1- Sur les bords ; 2- Accessoire, secondaire.
Marginé adj. Se dit dun organe pourvu dun rebord. En botanique, dun organe entouré dun rebord anguleux, dun chanfrein.
Margousier n. m. Arbre (Azadirachta indica A. Juss., Meliaceae) originaire de l’archipel malais, introduit et largement cultivé en Inde et en Afrique tropicale. Présence dans les différents organes, notamment les graines, de diterpènes dérivés de l’abiétane et surtout de nombreux tétranortriterpènes fortement oxygénés, de structure complexe, en particulier…
Maribavir n. m. Antiviral. Petite molécule de synthèse, avec un squelette β-l-ribofuranosyl-1H-benzimidazole, active sur le cytomégalovirus (CMV). Son mécanisme d’action consiste en l’inhibition de la protéine sérine - thréonine kinase issue du gène UL97 du CMV. En se fixant au site de liaison de l’ATP, il abolit l’action…
Marizomib Cf salinosporamide A.
Marjolaine n. f. Sous-arbrisseau vivace touffu (Origanum majorana L., Lamiaceae ex-Labiées) des régions méditerranéennes, cultivé dans toute lEurope. Présence dans les fleurs et sommités fleuries de composés polyphénoliques (flavonoïdes, acides-phénols...) et d’une huile essentielle riche en composés monoterpéniques (alpha-terpinéol ; terpin-1-én-4-ol provenant de la dégradation, lors de l’hydrodistillation,…
Marquage n. m. Apposer un signe sur une chose pour aider à la reconnaître.
Marque n. f. Signe matériel, empreinte sur une chose, servant à la distinguer, à la reconnaître ou servant de repère. Au sens de la propriété industrielle, la marque est un « signe » permettant de distinguer précisément les produits ou prestations de services d’une entreprise de ceux de ses concurrents.…
Marqueur n. m. Machine apposant un signe sur une chose pour aider à la reconnaître.
Marron d'Inde n. m. Graine du marronnier d’Inde, Aesculus hippocastanum L., Sapindaceae, précédemment Hippocastanaceae ; forme globuleuse ou ovoïde ; tégument brun, luisant, portant une tache blanchâtre (hile) ; cotylédons charnus, huileux et amylacés. Présence dans le tégument d’oligomères proanthocyanidoliques ; dans les cotylédons, amidon abondant, composés polyphénoliques (flavonoïdes)…
Marronnier d'Inde Grand arbre (Aesculus hippocastanum L., Sapindaceae, précédemment Hippocastanaceae), largement cultivé en Europe et en Amérique du Nord comme ornemental ; feuilles composées palmées ; fleurs blanc rosé groupées en grappes de cymes (thyrses) ; fruit (capsule) épineux ; graine (marron d’Inde) globuleuse ou ovoïde, brune,…
Marrube n. m. Herbacée vivace commune (Marrubium vulgare L., Lamiaceae ex-Labiées), densément tomenteuse, dont la feuille est recouverte à la face inférieure du limbe par de nombreux poils blanchâtres, d’où le nom. Présence dans les parties aériennes fleuries de diterpènes à squelette furanolabdanique (marrubiine…), de flavonoïdes, de composés…
Marstacimab n. m. Anticorps monoclonal humain, immunoglobuline G1-lambda (IgG1-λ), qui est dirigé contre le domaine Kunitz 2 (K2) de la voie du facteur tissulaire (acronyme : IVFT ; en anglais TFPI, pour tissue factor pathway inhibitor), est un inhibiteur de la coagulation associée aux lipoprotéines.L’IVFT ou TFPI est le…
Martial Cf fer.
Martin et Pettit (réaction de) Cf leptospirose.
Masitinib n. m. Inhibiteur de lactivité tyrosine kinase de différents récepteurs : récepteur du facteur de cellules souches (SCF, protooncogène c-kit), du facteur de croissance dérivé des plaquettes (PDGF), du facteur de croissance fibroblastique (FGF).Au niveau des mastocytes, cellules clefs du système immunitaire, le…
→ Maxillaire
Maquillage
Anglais : make up
Espagnol : maquillaje
Allemand : Make-up
Étymologie : Moyen néerlandais maken faire.
n. m. Action, par l’emploi de produits adaptés, de couvrir ou de masquer la partie du visage ou du corps dont l’utilisateur souhaite modifier l’aspect. Les produits de maquillage sont par exemple : les fonds de teint, les poudres pour maquillage, les produits de maquillage des yeux, les rouges à lèvres, les vernis à ongles.
Les matières colorantes entrant dans ces produits doivent figurer sur une liste positive constituant l’Annexe IV du Règlement cosmétique européen. Elles sont classées en : colorants pouvant être utilisés dans tous les produits cosmétiques, colorants utilisables dans tous les cas sauf autour des yeux, et colorants utilisables dans tous les cas, sauf autour des muqueuses, colorants utilisables seulement dans les produits rincés.
Maquillage permanent
Anglais : permanent makeup
Espagnol : permanente maquillaje, micropigmentación
Allemand : permanent Make-up, Pigmentierung
n. m. Technique, apparue dans les années 1950 et de plus en plus utilisée, qui consiste à colorer de façon plus ou moins intense essentiellement les sourcils et les lèvres, voire les paupières, pour un maquillage à demeure.
Les colorants employés sont surtout des pigments. Ils sont injectés par des professionnels, à l’aide d’un matériel adéquat, au niveau du derme superficiel.
Depuis 2008, la mise en œuvre des techniques de maquillage permanent sont réglementées, comme celles du tatouage par effraction cutanée et du perçage, par les articles R1311-1 à R1311-5 du Code de la Santé publique.
Maquillage semi-permanent
Anglais : semi-permanent makeup
Espagnol : semipermanente maquillaje
Allemand : semipermanent Make-up
n. m. Technique apparue dans les années 2000 et qui se substitue en partie au maquillage permanent. Elle s’adresse aux femmes et également aux hommes qui recherchent une pigmentation correctrice pour atténuer temporairement les imperfections ou les manques essentiellement des sourcils voire des cheveux.
Deux méthodes très légèrement différentes sont utilisées, la pigmentation des sourcils à la lame (en anglais microblading) et la micropigmentation du sourcil « point par point » et « poil à poil » (en anglais microshading), les termes anglo-saxons sont le plus souvent utilisés par les professionnels et les utilisatrices.
Il s’agit dans les deux cas d’injecter la matière colorante au niveau des couches superficielles de l’épiderme, la pigmentation obtenue se maintenant quelques années.
Ces deux méthodes, réalisées le plus souvent par des professionnels, le sont à l’aide d’un dermographe manuel ou électrique comprenant essentiellement un stylo imprégné de pigments minéraux ou organiques, de plus en plus fréquemment végétaliens et biorésorbables, et munis de microaiguilles.
Un matériel complet comprenant notamment un tube de pigment et un kit de stylet et d’aiguilles est maintenant mis à disposition du consommatrice qui peut réaliser elle-même, après entraînement sur modèle, ce maquillage semi-permanent.
Le « microblading » (blade = lame) dit tatouage de poil à poil est effectué avec des lignes très fines faites avec l’embout biseauté des microaiguilles. Il donne un aspect naturel et discret.
Le « microshading » (shade = ombre), qui pénètre moins que le procédé précédent, est effectué avec des petits points qui créent des ombres dans les zones clairsemées. Il donne un aspect poudré et maquillé.
Ces techniques, bien que réalisées en respectant les règles d’hygiène et de salubrité, avec du matériel stérile et des matières colorantes homologuées, présentent quelques contre-indications. Elles sont déconseillées aux femmes enceintes ou allaitantes. Les personnes mineures doivent avoir le consentement des deux parents.
Comme la dermopigmentation ou le tatouage et, malgré le nom de maquillage, ces méthodes n’entrent pas dans le domaine cosmétique.