Peptide

De Le dictionnaire
Pégaptanib ←

Penicillium

Penné adj. Qualifie une feuille composée dont les folioles sont disposées de chaque côté du pétiole commun, comme les barbes dune plume. Il existe diverses dispositions, exemples : feuille paripennée de larachide sans foliole terminale (nombre pair de folioles) et feuille imparipennée du rosier avec une foliole…

Pennyroyal n. m. Nom d’origine anglaise désignant deux espèces herbacées de Lamiaceae ex-Labiées : d’une part, le pennyroyal européen ou menthe pouliot, Mentha pulegium L., anglais European pennyroyal espagnol mento poleo, spontané dans l’ensemble de l’Europe ; d’autre part, le pennyroyal américain, Hedeoma pulegioides (L.) Pers., anglais American…

Pensée n. f. Nom générique désignant des plantes herbacées appartenant au genre Viola, famille des Violaceae. Les « pensées » sont souvent confondues avec les « violettes » appartenant au même genre Viola ; elles en diffèrent par la disposition des pétales.

Pentacyclique adj. Qui comporte cinq cycles.

Pentaérythritol n. m. Polyol non naturel C-(CH.

Pentagastrine n. f. Pentapeptide de synthèse ayant quatre acides aminés en commun avec la gastrine. Ce stimulant de la sécrétion gastrique est utilisé en exploration fonctionnelle (test à la pentagastrine).

Pentamère adj. Se dit dun organe ou organisme à symétrie radiale dordre cinq.

Pentamidine n. f. Trypanocide actif sur Trypanosoma gambiense et T. rhodesiense, également actif sur les leishmanies et Pneumocystis carinii, dont le mode daction semble dépendre soit de linhibition de la synthèse de lADN, par blocage de la thymidine synthétase, soit de sa fixation sur lARN de transfert.Inscrite sur…

Pentasomie X n. f.

Pentatrichomonas Genre de protozoaire piriforme non spiralé, de la famille des Trichomonadideae. P. hominis, généralement commensal du côlon, est parfois à lorigine de quelques troubles intestinaux sans symptômes spécifiques. Rare en France. Trophozoïtes retrouvés dans les selles. Pas de kystes.

Pentazocine n. f. Dérivé du benzomorphane.Inscrite à la Pharmacopée Européenne, monographie 01/2008, 1462, 1463 (chlorhydrate de) et 2000 (lactate de)

Pente n. f. 1- inclinaison, déclivité 2- inclination.

Pentétique (acide) Agent chélatant, en particulier du fer, du plutonium, du gadolinium et autres composés radioactifs. Cf acide gadopentétique.Inscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 1183100).

Pentétrazol n. m. Autrefois utilisé comme analeptique cardiorespiratoire (cardiazol) dont la commercialisation a été arrêtée en raison des effets convulsivants, probablement dus à ses effets antagonistes du GABA.

Penthiobarbital

Pentobarbital n. m. Composé de type barbiturique utilisé, sous forme de sel sodique et calcique, pour ses propriétés hypnotiques et sédatives, ainsi qu’en prémédication lors de procédures d’anesthésies.Inscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 01/2008, 0200).

Pentosane n. m. Composé chimique formé par lunion de plusieurs pentoses.

Pentose n. m. Ose (monosaccharide) comportant 5 atomes de carbone. Les aldopentoses possèdent une fonction aldéhyde (exemple : ribose), et les cétopentoses une fonction cétone (exemple : ribulose).

Pentostatine n. f. Antibiotique produit par la bactérie Streptomyces antibioticus, analogue dun nucléotide purinique dont le cycle pyrimidine serait remplacé par un cycle [1,3]diazépine, connu sous le nom de 2‑désoxycoformycine, considérée comme un antimétabolite. Par sa liaison à ladénine désaminase, elle inhibe cette enzyme essentielle au métabolisme des…

Pentoxifylline n. f. Dérivé méthylé xanthique, antagoniste des récepteurs de ladénosine de type 2, inhibiteur compétitif non sélectif de la phosphodiestérase PDE4 et par conséquent de la synthèse de TNF et de leucotriènes. La pentoxifylline entraîne une faible diminution du taux de fibrinogène et une augmentation de la…

Pentoxyvérine (citrate de) n. f. Antitussif non opiacé, daction centrale ayant des propriétés antispasmodiques, dépourvu deffet dépresseur sur les centres respiratoires aux doses thérapeutiques.Inscrite à la Pharmacopée Européenne (monographie 01/2008, 1621).

Pépin n. m. Graine à tégument coriace, assez épais; les graines de baies sont appelées pépins. Exemple : les pépins de raisin.

Péplos n. m. Enveloppe virale dérivée des membranes cellulaires, entourant la nucléocapside, dont la présence ou labsence constitue un critère de classification des virus. Sa nature glucido-lipido-protéique est responsable des caractéristiques physicochimiques des particules virales.

Péponide n. f. Baie à épicarpe fortement cutinisé, parfois de consistance ligneuse. Exemple : fruits de Cucurbitaceae, pastèque, melon.

Pepsine n. f. Enzyme du groupe des endopeptidases hydrolysant les liaisons peptidiques formées avec la fonction amine dun acide aminé aromatique. Résulte de lactivation du pepsinogène dans le milieu acide de lestomac. Son pH optimum dactivité est compris entre 1,8 et 4,4. Est inactivée par le bicarbonate du…

Pepsinogène n. m. Précurseur de la pepsine, synthétisé et stocké dans les cellules principales de lestomac, doù il est libéré lors de larrivée du bol alimentaire, puis hydrolysé sous laction de lacide chlorhydrique sécrété par les cellules pariétales de la muqueuse gastrique.

Pepstatine n. f. Hexapeptide N-acétylé contenant un acide aminé inhabituel, la statine, isolé de culture de différents Actinomycètes. Inhibitrice des protéases acides telles que la pepsine et la rénine.

Pepticorps n. m. Biomolécule synthétique consistant en une protéine de fusion produite par technologie de l’ADN recombinant. Elle est composée d’un fragment cristallisable d’une immunoglobuline de type IgG1 (fragment Fc qui accroît la demi-vie plasmatique de la biomolécule) couplé, à laide dun bras de liaison, à…

Peptidase n. f. Enzyme catalysant lhydrolyse de liaisons peptidiques dun peptide ou dune protéine soit à une extrémité (exopeptidase), soit à lintérieur de la molécule (endopeptidase).


Peptide C

Peptide insulinotrope dépendant du glucose (PIDG) n. m. Hormone gastro-intestinale, qui est une entérogastrone appartenant à la famille des incrétines [1].Le GIP potentialise la sécrétion d’insuline [2] stimulée par le glucose au niveau du pancréas et participe à la régulation du métabolisme énergétique.

Peptide signal

Peptide-1 similaire au glucagon n. m. Hormone de 30 acides aminés sécrétée par les cellules L de l’iléon en réponse à une prise alimentaire. Est rapidement inactivé par la dipeptidyl-peptidase 4 (DDP-4). Fait partie des incrétines, hormones anti-hyperglycémiantes sans effet sur la glycémie normale, donc n’induisant pas d’hypoglycémie.Existe sous forme d’analogues…

Peptidique adj. Qualifie une liaison covalente amide formée par réaction entre le groupe carboxyle dun premier acide aminé et le groupe amine dun second. Ces acides aminés peuvent être identiques ou différents, le produit formé est un peptide.

Peptidoglycane n. m. Polymère de chaînes glycaniques linéaires constituant la paroi des bactéries. La partie polysaccharidique est formée par la répétition dune unité disaccharidique constituée de N-acétyl-glucosamine (NAG, GlcNac) et dacide N-acétyl-muramique (NAM, MurNac), liés par des liaisons β (1→4). De courtes chaînes peptidiques, formées dacides…

Peptidomimétique n. m. Composé synthétisé chimiquement comportant des acides aminés non naturels ou des entités non peptidiques, destiné à mimer lactivité biologique dun peptide et à en améliorer les propriétés pharmacologiques comme, par exemple, accroître sa stabilité métabolique ou restreindre sa mobilité conformationnelle.

Peptisation n. f. Obtention dune dispersion stable de particules colloïdales dans un solvant ou une solution.

Peptococcus Genre de cocci à Gram positif associés par paires, tétrades ou chaînettes, anaérobies stricts. Actuellement une seule espèce, Peptococcus niger, qui fait partie de la flore commensale de lHomme, mais qui, comme organisme opportuniste, peut être à lorigine de diverses infections (exemples : cystite, arthrite…

Peptone n. f. Mélange de peptides qui provient de lhydrolyse chimique ou enzymatique des protéines animales (muscle, cœur, foie...), laitières ou végétales (soja).

Peptoniphilus Genre de cocci à Gram positif, anaérobies stricts, regroupant les espèces non saccharolytiques utilisant les peptones et les acides aminés comme source dénergie. Les deux principales espèces sont P. asaccharolyticus et P. indolicus.

Peptostreptococcus Genre de bactéries de la famille des Streptococcaceae. Cocci à Gram positif de petite taille, anaérobies strictes, saprophytes des muqueuses. Comprend actuellement une seule espèce, P. anaerobius, qui, associé à dautres germes, peut devenir responsable dinfections sévères (exemples : gangrène, cellulite nécrosante).

Peracide n. m. Acide organique de formule générale R-COH.

Péramivir n. m. Antiviral de la famille des inhibiteurs de neuraminidase utilisés dans le traitement de linfection grippale. La neuraminidase virale, en permettant au virus de se propager à travers le mucus, facilite la libération des particules virales nouvellement formées à partir de cellules épithéliales infectées des voies…

Pérampanel n. m. Anticonvulsivant, premier antagoniste des récepteurs inotropes activés par le glutamate, les récepteurs AMPA [α-amino-(3-hydroxy-5-méthylisoxazol-4-yl)propionate] ; autorisé comme antiépileptique. Il prévient louverture des canaux ioniques et ralentit la propagation des potentiels daction.

Percolation n. f. Action, pour un fluide (liquide le plus souvent, gaz), de traverser lentement un milieu où existe des vides.

Péremption n. f. Annulation dune instance faute davoir été poursuivie avant expiration dun délai fixé. Par extension, expiration dun délai de validité.

Pérennant adj. Qualifie une plante qui, habituellement annuelle ou bisannuelle, peut, dans certaines conditions, devenir vivace.

Pérésolimab n. m. Anticorps monoclonal humanisé, immunoglobuline G1-κ, qui reconnaît la protéine 1 de mort cellulaire programmée (PD-1, PD1 ou PDCD1), produit dans des cellules ovariennes de hamster chinois (CHO), lignée cellulaire CHO-K1SV, glycoforme alfa.Voir : Anticorps ; Immunoglobuline ; Lymphocyte T ; Arthrite.

Perfluorhexyloctane n. m. Alcane semifluoré (6 atomes de carbone perfluorés et 8 atomes de carbone hydrogénés), qui est un liquide pratiquement non hydrosoluble.Voir : Alcane ; Interface ; Ophtalmique ; Topique ; Symptôme ; Sécheresse oculaire.

Perforine n. f. Protéine présente sous forme inactive dans les granules des lymphocytes NK et CD8. Activée par le calcium intracellulaire, elle est sécrétée au contact dune cellule cible (cellule tumorale ou cellule infectée) et forme, en se polymérisant, des pores dans la membrane de la cellule entraînant…

Performance n. f. Résultat chiffré (par exemple en temps, en distance) et/ou exploit, réussite, succès dans un domaine quelconque (par exemple médecine, hôpital, industrie, commerce). En thermodynamique, le coefficient de performance est le rapport, par exemple, de la chaleur absorbée à basse température par une machine frigorifique à…

Perfuseur n. m. Dispositif médical à usage unique, stérile, constitué dune tubulure et daccessoires, le plus souvent en matière plastique, permettant ladministration injectable, par gravité ou par pompe, de solutions injectables.

Perfusion n. f. Introduction lente et continue dans lorganisme dune solution injectable à laide dun perfuseur le plus souvent par voie IV.

Pergolide (mésilate de) n. m. Antiparkinsonien, dérivé hémisynthétique de lacide lysergique appartenant à la famille des ergolines. Ce dérivé de lergot est un agoniste des récepteurs DInscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 04/2016, 1555).

Perhydrol

Périanthe n. m. Ensemble des pièces florales constituant lenveloppe dune fleur ; il est généralement formé de la corolle et du calice, mais il peut être constitué de tépales ou bien être absent.

Péricarde n. m. Membrane séreuse entourant le cœur, dont les deux feuillets délimitent la cavité péritonéale.

Péricardite n. f. Inflammation des feuillets du péricarde, aiguë ou chronique, sèche ou avec épanchement séreux clair, purulent ou hémorragique. Sa symptomatologie clinique est marquée par un syndrome thoracique douloureux accentué à linspiration, avec dyspnée, cyanose, anorexie, asthénie, turgescence des jugulaires, désordres gastro-intestinaux. Elle est détiologie auto-immune, bactérienne,…

Péricarpe n. m. Paroi dun fruit résultant de la transformation de lenveloppe de lovaire, elle-même divisée en épicarpe, mésocarpe et endocarpe.



→ Perphénazine

Peptide

Dernière modification de cette page le 02 mars 2017


Anglais : peptide
Espagnol : péptido
Étymologie : Grec πέψις pépsis cuisson, maturation, digestion, suffixe -ide.

n. m. Molécule constituée d'acides aminés, identiques ou différents, reliés essentiellement de façon linéaire, par des liaisons dites peptidiques résultant de l'amidification du groupe carboxyle d'un acide aminé par la fonction amine de l'acide aminé suivant. Un peptide comportant peu d'unités « acide aminé » est appelé « oligopeptide », et peut porter le nom de dipeptide, tripeptide, tétrapeptide etc. en fonction du nombre d'acides aminés entrant dans sa composition. Un peptide comportant un grand nombre d'acides aminés est appelé « polypeptide ».



Biochimie - Physiologie



Peptide C

Synonyme(s) : C-peptide
Anglais : C-peptide
Espagnol : péptido C

Polypeptide de 31 acides aminés présent dans la proinsuline et reliant les deux peptides qui constitueront les chaînes A et B de l'insuline. Est libéré sous l'action séquentielle de deux endopeptidases et d'une carboxypeptidase qui éliminent les deux paires d'acides aminés situés aux deux points de clivage.

La sécrétion d'insuline s'accompagnant d'une libération équimolaire de peptide‑C, son dosage dans le plasma permet de différencier l'insuline endogène de l'insuline thérapeutique.


Peptide cérébral natriurétique (BNP)

Synonyme(s) : peptide natriurétique de type B
Anglais : brain natriuretic peptide (BNP)
Espagnol : péptido natriurético cerebral

Peptide natriurétique, à propriétés vasodilatatrices natriurétiques et inhibitrices des systèmes vasoconstricteurs. Identifié dans le cerveau, il est sécrété majoritairement par les cellules musculaires cardiaques. Sa demi-vie plasmatique est de 20 min environ.

Il est utilisé comme marqueur de diagnostic de l’insuffisance cardiaque et, au cours du suivi, comme marqueur de pronostic en raison de l’activation de sa sécrétion par le ventricule gauche (diagnostic étiologique des dyspnées par insuffisance cardiaque).

Le précurseur du BNP, le NT-proBNP, dénué d’activité biologique et sécrété dans les mêmes circonstances, avec une demi-vie plasmatique de 60 à 120 min, est également un marqueur de l'insuffisance cardiaque. Des concentrations plasmatiques inférieures à 100 ng/L pour le BNP et à 300 ng/L pour le NT-proBNP sont d’excellentes valeurs prédictives négatives permettant d’exclure l’origine cardiaque d’une dyspnée.


Peptide natriurétique atrial (ANP)


Cf facteur natriurétique atrial.


Peptide RGD

Anglais : RGD peptide
Espagnol : péptido RGD

Peptide dont la séquence en acides aminés (arginine-glycine-acide aspartique ou RGD) permet la liaison aux intégrines.

Les intégrines sont des récepteurs, exprimés à la surface des cellules, contribuant à de nombreux processus physiologiques comme l'adhésion à la matrice extracellulaire ou la signalisation intracellulaire.


Peptide signal

Anglais : signal peptide
Espagnol : péptido señal

Segment peptidique composé de 15 à 30 acides aminés présent à l'extrémité N‑terminale d'une protéine, indiquant à la machinerie cellulaire que cette protéine doit poursuivre son chemin dans le réticulum endoplasmique hors du lieu de sa synthèse.

De nature hydrophobe, il permet la translocation de la protéine à travers la membrane du réticulum endoplasmique. Il est ensuite éliminé de la protéine mature par une signal-peptidase provenant de la lumière du réticulum.


Peptide vasoactif intestinal

Anglais : vasoactive intestinal peptide (VIP)
Espagnol : péptido vasoactivo intestinal

Polypeptide de 28 acides aminés découvert, en 1970, dans l'intestin grêle du porc. Sa structure présente des analogies avec celle d'autres peptides (en particulier glucagon, sécrétine). La séquence du gène est connue. Le VIP agit par l'intermédiaire de récepteurs métaboliques. Localisé à la périphérie (estomac, pancréas, plexus de Meissner et Aouerbach), et dans le système nerveux central (cortex, amygdale, hippocampe, hypothalamus), il exerce de multiples fonctions physiologiques : relaxation des fibres lisses du tractus gastro-intestinal, stimulation des sécrétions pancréatiques exocrine et endocrine, hyperglycémie, sécrétion d'eau et d'électrolytes au niveau intestinal, hypothermie, libération de gonadostimulines, inhibition de la sécrétion d'acide gastrique. Il induit également une augmentation de l'inotropisme cardiaque et une vasodilatation cérébrale et périphérique (notamment coronaire).



Microbiologie



Peptide antimicrobien

Anglais : antimicrobial peptide (AMP), host defense peptide (HDP)
Espagnol : péptido antimicrobiano

Peptide d’origine végétale ou animale agissant sur le système immunitaire inné. Présents essentiellement sur la peau et dans les parois intestinale et pulmonaire, les peptides antimicrobiens (PAM) exercent des effets anti-inflammatoires et anti-infectieux.
Ce sont des molécules de petite taille, amphiphiles, regroupées en classes selon leur caractère cationique (exemple : défensines, cathélicidines) ou anionique. Leur mode d’action étudié sur les bactéries (Gram positif et Gram négatif) passe essentiellement par une insertion dans les membranes de l'agent infectieux entraînant la formation de pores. Il en résulte une fuite d’ions et de métabolites, une dépolarisation suivie de la mort de la bactérie.
Le mécanisme d’action sur les virus est encore imprécis.




Pharmacie galénique



Peptide pénétrant

Anglais : cell-penetrating peptide
Espagnol : péptido que pénétra

Peptide naturel ou synthétique capable de passer les barrières membranaires et d’entrer dans les cellules par translocation directe au travers de la membrane plasmique ou par endocytose.


Peptide vecteur

Anglais : peptide delivery vector
Espagnol : péptido vector

Peptide naturel ou synthétique facilitant le passage des barrières membranaires (et cellulaires en particulier) à des médicaments, à des macromolécules biologiques (comme des protéines ou des acides nucléiques) ou à des nanoparticules associées, à lui, de manière covalente ou non covalente.

Leur utilisation en clinique, pour améliorer la biodisponibilité de biomolécules, fait l’objet de nombreux développements.