« Huile essentielle » : différence entre les versions
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Dernière version du 14 mars 2024 à 19:08
Homoglycane Cf polyoside homogène.
Homoharringtonine n. f. Alcaloïde de structure dérivée de la phénéthylisoquinoléine, comportant une fonction ester indispensable à lactivité biologique. Elle est obtenue par extraction à partir des feuilles despèces asiatiques (Chine, Japon) de Cephalotaxus (Cephalotaxaceae), en particulier C. harringtonia (Knight ex J. Forbes) K. Koch = C. harringtonii, et…
Homologue adj. 1- Qui a le même rôle que quelquun dautre ou quelque chose dautre ; 2- qui a le même caractère dans un système différent.
Homosalate n. m. Ester salicylique figurant sur la liste positive des filtres solaires autorisés dans les produits cosmétiques, constituant lAnnexe VI du Règlement cosmétique européen. La concentration maximale autorisée est de 10 %. Filtre à spectre étroit, très stable, bien toléré.
Homotaurine n. f. Homologue supérieur de la taurine. HH, à propriétés GABA-ergiques.
Homothétie n. f. Transposition géométrique dune figure faisant que, dans la figure transformée, les distances relatives entre les différents points restent identiques à celles existant dans la figure dorigine.
Homothétique adj. Se dit dune figure qui est limage, par homothétie, dune autre figure.
Homovanillique (acide) (HVA) n. m. Catabolite de la dopamine dont le dosage urinaire contribue au diagnostic des tumeurs malignes peu différenciées du tissu nerveux sympathique, en particulier des neuroblastomes de lenfant.
Homozygote adj. et n. m. Qualifie ou désigne une cellule diploïde ou un individu ayant deux allèles identiques à un même locus dun gène donné.
Hoodia n. m. Plante cactiforme succulente et épineuse (Hoodia gordonii (Masson) Sweet ex Decne., Apocynaceae, précédemment Asclepiadaceae) originaire des régions désertiques de lAfrique australe, traditionnellement consommée par les Bushmen comme coupe-faim. Présence dans les tiges dhétérosides stéroïdiens (hoodigosides…) à génine hydroxyprégnanique dont certains réduisent la consommation de nourriture,…
Hôpital n. m. Établissement le plus souvent public (par opposition à privé), recevant et traitant des personnes nécessitant des soins médicaux ou chirurgicaux pendant un temps relativement limité. Sont distingués des hôpitaux courts séjours, des hôpitaux pédiatriques, des hôpitaux psychiatriques, des établissements de convalescence, de réadaptation et de…
Hôpital patients santé et territoires (loi dite) - (HPST) Loi française promulguée le 21 juillet 2009, dite aussi loi Bachelot du nom du ministre de la Santé de lépoque. Les principales mesures de cette loi sont : une organisation régionale de la santé avec la création des agences régionales de santé (ARS) une nouvelle…
Hormone n. f. Messager chimique, à transmission lente et continue de signaux, synthétisé par des cellules endocrines spécifiques en réponse à des stimulus, et sécrétée dans la circulation sanguine pour atteindre des cellules cibles possédant des récepteurs spécifiques interagissant avec une très forte affinité avec lhormone pour…
Horton (maladie de) n. f. Artériopathie inflammatoire détiologie inconnue affectant un segment artériel, touchant le plus souvent les sujets âgés du sexe féminin, atteignant surtout les branches des carotides, mais aussi nimporte quelle artère de lorganisme. Présentation clinique avec des signes généraux (fatigue, anorexie, état subfébrile), des céphalées constantes typiquement…
Hospitalier Cf centre hospitalier.
Hospitalisation n. f. Admission dun patient dans un établissement de soin ou un centre hospitalier sur décision médicale
Hot air coating Procédé denrobage consistant à mélanger une substance active avec un excipient thermofusible et à aspirer lensemble, par effet Venturi, dans un équipement spécialement conçu pour cette opération. Lorsque le mélange rencontre un air chaud (température classiquement supérieure de 20 °C à 60 °C à la…
Hôte n. m. Qui donne ou reçoit lhospitalité.
Houblon n. m. Liane herbacée vivace dioïque (Humulus lupulus L., Cannabaceae) largement cultivée dans les régions tempérées ; fleurs femelles groupées en cônes (ou strobiles). Présence dans les cônes d’une huile essentielle, de composés polyphénoliques (flavonoïdes, oligomères proanthocyanidoliques) et de dérivés d’un acyl-phloroglucinol responsables de l’amertume (humulone, lupulone…).…
Howell (temps de) n. m. Temps de coagulation mesuré sur du plasma sanguin rendu incoagulable par addition doxalate, puis recalcifié. Il mesure la somme des durées de la thromboplastinoformation, de la thrombiformation et de la fibrinoformation. Normalement compris entre 2 et 3 minutes.
HTLV Virus de la famille des Retroviridae, genre Deltaretrovirus qui regroupe les virus humains HTLV, les virus bovins BLV (Bovine Leukemia Virus) et le virus simien STLV (Simian T-Cell Lymphotropic Virus). Les HTLV sont divisés en deux types HTLV-1 et HTLV-2. Virus enveloppés, à deux molécules…
HTS (High-throughput screening)
Hückel (règle de) n. f. Règle édictée, dans les années 1930, pour définir laromaticité. Cette règle considère comme aromatique tout composé cyclique plan comportant 4n + 2 électrons π délocalisables (n étant un chiffre entier naturel) et dont chaque élément du cycle possède une orbitale p.
Huile n. f. Nom générique désignant au sens strict des corps gras (lipides) de point de fusion relativement bas et donc liquides à la température ambiante. Une huile est composée très majoritairement de triglycérides d’acides gras et d’un mélange très minoritaire de substances liposolubles non lipidiques (alcools gras,…
Humectant n. m. Substance hygroscopique cest-à-dire capable de fixer une quantité très importante deau.
Humérus n. m. Os long du membre supérieur sarticulant au niveau de lépaule avec lomoplate et au niveau du coude avec le radius et le cubitus, il constitue le squelette du bras.
Humeur n. f. 1- excrétion ou sécrétion de lorganisme (sens ancien) ; 2- disposition de lesprit à un moment donné.
Humidificateur n. m. Appareil utilisé pour régler le degré hygrométrique de lair.
Humidité n. f. État de ce qui est chargé deau ou de vapeur deau.
Humus n. m. Matière brune ou noire constituée par les débris de la végétation ayant poussé antérieurement sur un sol. Cest la matière organique provenant de la transformation chimique et biologique des débris végétaux. Assure la fertilité de la terre.
Hunter (maladie de) Cf mucopolysaccharidose II (MPS II).
Huntington (maladie de) n. f. Maladie génétique autosomique dominante à expression tardive, caractérisée par une atteinte des fonctions motrices, de type chorée, et une atteinte des fonctions cognitives, marquée par des troubles de la personnalité résultant de lésions du striatum. Due à la répétition, au minimum 36 fois, dun triplet…
Huperzine n. f. Alcaloïde isolé à partir de plusieurs espèces d’Huperzia, notamment H. serrata (Thunb.) Trevis., synonyme Lycopodium serratum Thunb., Huperziaceae, précédemment Lycopodiaceae ; espèce présente dans le monde entier, en particulier en extrême-orient, et largement utilisée en médecine traditionnelle chinoise. L’huperzine est un puissant inhibiteur compétitif et…
Hurler (maladie de) Cf mucopolysaccharidose I (MPS I).
Hyaluronidase n. f. Enzyme de la classe des hydrolases dont il existe plusieurs isoformes ; elle hydrolyse lacide hyaluronique, diminuant ainsi la viscosité des tissus et des liquides qui en renferment. Obtention classiquement à partir de cultures bactériennes (certaines souches de pneumocoques) ou par extraction à partir de testicules…
Hyaluronique (acide) n. m. Glycosaminoglycane à chaîne linéaire formée par la répétition dune unité di-osidique constituée dacide glucuronique et de N-acétyl-glucosamine. Cest un des principaux constituants de la matrice extracellulaire, présent en particulier dans les tissus conjonctifs, les cartilages articulaires et les liquides biologiques, par exemple lhumeur vitrée et…
Hybridation n. f. Croisement entre deux variétés, deux races, deux espèces.
Hybridome n. m. Lignée de cellules hybrides obtenue in vitro par la fusion dune cellule myélomateuse provenant dune tumeur maligne et dune cellule normale, habituellement un lymphocyte B provenant dun animal ou dun sujet immunisé contre un antigène. Lhybridome possède le caractère dimmortalité de la cellule cancéreuse et,…
Hyclate n. m. Abréviation pour lensemble des mots monochlorhydrate, hémiéthanolate, hémihydrate.
Hydantoïne n. f. Uréide cyclique, à noyau imidazole entièrement réduit. Certaines hydantoïnes sont des produits naturels (exemple : allantoïne, utilisée comme cicatrisant). Dautres, avec un sommet carboné disubstitué par au moins un noyau aromatique, dont la phénytoïne est le principal représentant, constituent une classe dantiépileptiques. Par ailleurs, des…
Hydarthrose n. f. Épanchement dune sérosité dans une cavité articulaire sans cause apparente. Elle peut saccompagner dun œdème local. Cette pathologie non inflammatoire affecte le plus souvent le genou, bien quelle puisse atteindre toute autre articulation.
Hydatide n. f. Forme larvaire du ténia échinocoque (Echinococcus granulosus), agent du kyste hydatique. Se développe dans le foie des ruminants, mais aussi de lHomme. Paroi complexe comportant la membrane adventice ou périkystique qui provient de la réaction de lhôte et deux membranes parasitaires, la membrane externe ou…
Hydatidose n. f. Maladie provoquée par lingestion dœufs dEchinococcus granulosus provenant du chien, hôte définitif habituel du ténia échinocoque, qui se développent à létat larvaire (hydatide ) en formant, sur 3 à 10 ans, des kystes dans le foie, les poumons (15 à 20 % des cas), la…
Hydralazine n. f. Phtalazine substituée par un reste hydrazine, -NH-NH, sur un des sommets du cycle pyridazine voisin de la jonction des cycles. Par extension, nom donné aux dérivés de lhydralazine qui, comme cette dernière, ont des propriétés antihypertensives dues principalement à une action vasodilatatrice périphérique, avec diminution…
Hydramnios n. m. Augmentation anormale du volume du liquide amniotique exposant à un fort risque daccouchement prématuré. Lhydramnios aigu survient brutalement, le plus souvent entre la 16e et la 24e semaine daménorrhée. Il provoque chez la mère des troubles de la circulation par compression de la veine cave…
Hydrastis n. m. Nom d’un genre de Ranunculaceae, mais désignant de façon courante une espèce herbacée (Hydrastis canadensis L.) originaire de lest de lAmérique du Nord, vivace par un rhizome à section brun-jaune. Présence dans les parties souterraines dalcaloïdes à squelette isoquinoléique (berbérine, hydrastine…) ; propriétés vasoconstrictrices, antibactériennes…
Hydratant adj. et n. m. Qualifie ou désigne une substance qui augmente lhydratation de la peau. Agit soit en augmentant la capacité de fixation, par le tégument cutané, de leau apportée par un produit cosmétique, substances hygroscopiques (polyols), filmogènes hydrophiles (glycosaminoglycanes), soit en diminuant, au niveau de la surface du…
Hydratation n. f. 1- Fixation et action de leau sur une espèce chimique ; 2- Apport deau à lorganisme (boissons, aliments, traitement thérapeutique).
Hydrate n. m. Selon lIUPAC, le mot hydrate désigne spécifiquement un composé contenant de leau de cristallisation qui lui est liée dune façon non spécifiée. Leau peut sinsérer dans les mailles cristallines dune substance et conduire à un composé présentant des propriétés physiques différentes de celles du produit…
Hydrazide n. m. Composé de structure générale R-CO-NH-NH, souvent substitué sur les azotes par des chaînes carbonées.
→ Hydrotalcite
Huile essentielle
Anglais : essential oil
Espagnol : aceite esencial
Allemand : ätherisches Öl
Étymologie : Latin ŏlĕum huile d’olive, huile et essentĭālis qui a trait à l’essence.
n. f. Nom générique désignant des produits odorants d’origine végétale, généralement de composition complexe, obtenus soit par entraînement à la vapeur d’eau, soit par un procédé mécanique (expression à froid dans le cas de l’épicarpe de fruits de Citrus), soit par distillation sèche ; d’autres procédés tels que l’extraction par solvant, par gaz sous pression ou l’enfleurage ne sont pas admis par la Pharmacopée européenne. Présentes dans de nombreuses plantes appartenant notamment à quelques familles (par exemple Apiaceae, Asteraceae, Lamiaceae, Myrtaceae, Rutaceae), elles sont localisées dans des organes spécifiques (poils et canaux sécréteurs, poches sécrétrices). Liquides volatils à température ambiante, volatiles (différence avec les huiles fixes), elles sont constituées de nombreux composés appartenant majoritairement à deux groupes biogénétiquement bien distincts, terpènes (monoterpènes et sesquiterpènes) et composés aromatiques dérivés du phénylpropane. Pour une espèce donnée, la composition chimique de l’huile essentielle est variable (partie de la plante considérée, existence de chimiotypes, influence du cycle végétatif, du procédé d’obtention, de facteurs environnementaux...). Par définition, toujours très concentrées en substances actives, les huiles essentielles possèdent des activités pharmacologiques diverses, dont des propriétés antiseptiques (par exemple cannelle, eucalyptus, girofle, lavande, sarriette, thym), spasmolytiques et sédatives (par exemple angélique, basilic, camomille, girofle, mélisse, menthe, thym) ; souvent irritantes, elles peuvent être toxiques (par voies externe et surtout interne), en particulier chez l’enfant, et sont donc à utiliser en thérapeutique avec prudence. (Cf aromathérapie).
Huiles essentielles inscrites à la Pharmacopée Européenne (monographie 04/2022, 2098).
Les huiles essentielles peuvent être utilisées telles quelles ou après des traitements ultérieurs visant à l'élimination de certains constituants (carbures terpéniques en particulier) irritants et/ou malodorants (huile essentielle rectifiée, déterpénée).
Utilisation principale des huiles essentielles en parfumerie, dans les produits d’hygiène, mais également en pharmacie et dans les industries agro-alimentaires comme aromatisants.
Bien qu’encore utilisé, le terme ancien « essence » a été remplacé dans les documents administratifs ou scientifiques par « huile essentielle ». Toutefois pour les produits obtenus par expression à froid à partir du zeste frais d’un agrume, le terme technique est « essence ». (par exemple, « essence de citron » obtenue par expression à froid du zeste frais de citron, par opposition à « huile essentielle de citron » obtenue par distillation à la vapeur d’eau du zeste sec de ce fruit). De façon impropre, on désigne encore par « essence » des produits odorants n’existant pas à l’état naturel dans la plante, mais qui sont formés par une dégradation enzymatique d’un substrat à la suite d’une altération du tissu le contenant (par exemple, « essence de moutarde »). En langue anglaise, le terme simplifié mais ambigu « oil » est souvent utilisé à la place de « essential oil » (par exemple, lavender oil, au lieu de lavender essential oil).
Les huiles essentielles (HE), mélanges de terpènes (mono-, di- ou sesqui-) et de dérivés terpéniques oxygénés (alcool, aldéhyde, cétone, acide, ester) sont très répandues dans le domaine cosmétique. Elles l'ont toujours été pour leur pouvoir parfumant (ylang-ylang) ou antiseptique (thym) et le sont de plus en plus du fait de leur caractère naturel, de leur label biologique et des propriétés spécifiques revendiquées, par exemple : adoucissante (matricaire), rafraichissante (lavande), purifiante (fragon), raffermissante (pamplemousse), anti-âge (rose), régulatrice du cuir chevelu gras (sauge).
Pratiquement toutes les formes cosmétiques dans lesquelles elles sont incorporées sont concernées : en premier lieu les produits parfumants proprement dits, mais aussi les savons, les gels douche, les bains moussants, les dentifrices, les lotions après-rasage, les crèmes ... Ces substances étant très lipophiles, elles franchissent aisément la barrière cutanée en dissolvant les lipides épidermiques intercellulaires avec une grande biodisponibilité pour le système nerveux (le cuir chevelu riche en follicules pileux constitue une voie de pénétration de choix). En outre, elles favorisent la pénétration cutanée des substances avec lesquelles elles sont associées dans une préparation. Leur concentration ne doit pas, sauf exception, être supérieure à 1 % dans les produits pour le visage et à 2 % dans les produits pour le corps.
L'origine végétale et naturelle des huiles essentielles les fait souvent considérer à tort comme dépourvues de toxicité ; or celle-ci peut être parfois importante (par exemple thuya, eucalyptus, sauge, camphrier...) et varier fortement selon l'origine, la nature, la dose, le véhicule...
Les toxicités suivantes ont été montrées : pouvoir irritant (girofle), pouvoir sensibilisant (citronnelle), potentiel allergisant (cannelle), phototoxicité (citrus), neurotoxicité (armoise), cancérogénicité (laurier)...
En conséquence, les huiles essentielles sont très règlementées quant à leur incorporation dans un produit cosmétique : ainsi l’huile essentielle de sabine (Juniperus sabina) est inscrite à l’annexe II du Règlement cosmétique européen (liste des substance interdites).
La plupart des HE doivent être utilisées avec précaution ou à déconseiller, voire à éviter chez les jeunes enfants avant 3 ans, chez les femmes enceintes ou allaitantes et même selon l'état de santé.
De nombreux produits dits « frontières » telles les les huiles de massage, qui donc n’entrent pas dans le domaine cosmétique, renferment parfois des HE (Achillée millefeuille). Elles peuvent, par leur utilisation prolongée et sur une grande surface corporelle, entraîner des accidents graves car elles ne sont pas soumises au Règlement cosmétique européen.