« Sida » : différence entre les versions
Aucun résumé des modifications |
(Liens internes) |
||
(Une version intermédiaire par un autre utilisateur non affichée) | |||
Ligne 1 : | Ligne 1 : | ||
{{Titre et classement | {{Titre et classement | ||
|VM_Titre_gras=Oui | |VM_Titre_gras=Oui | ||
|VM_Titre_italique=Non | |VM_Titre_italique=Non | ||
|VM_Clé_de_classement=sida | |VM_Clé_de_classement=sida | ||
|VM_Date_de_révision=2020-10-21 | |||
|VM_Variantes=Sida; Syndrome de l'Immunodéficience Acquise; Syndrome d'Immunodéficience Acquise | |||
|VM_Cible=Oui | |VM_Cible=Oui | ||
|VM_Extension_titre_italique=Non | |VM_Extension_titre_italique=Non | ||
Ligne 18 : | Ligne 18 : | ||
|VM_Etymologie=acronyme de Syndrome de l'Immunodéficience Acquise | |VM_Etymologie=acronyme de Syndrome de l'Immunodéficience Acquise | ||
|VM_Définition=Syndrome d'immunodéficience, forme évoluée de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine ([[Virus|VIH]]), défini par la survenue de manifestations infectieuses opportunistes ou tumorales liées à la déplétion profonde de l'immunité cellulaire (lymphocytes T). Transmission du virus par voie sexuelle, maternofœtale et sanguine, (notamment au cours d'injections intraveineuses par du matériel contaminé). La maladie se déroule en trois phases : | |VM_Définition=Syndrome d'immunodéficience, forme évoluée de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine ([[Virus|VIH]]), défini par la survenue de manifestations infectieuses opportunistes ou tumorales liées à la déplétion profonde de l'immunité cellulaire (lymphocytes T). Transmission du virus par voie sexuelle, maternofœtale et sanguine, (notamment au cours d'injections intraveineuses par du matériel contaminé). La maladie se déroule en trois phases : | ||
# La primo-infection avec fièvre, adénopathie, arthralgie, douleur musculaire, dysphagie, ulcération buccale ou génitale, survenant entre 1 et 8 semaines après la contamination et au cours de laquelle le nombre de virus augmente fortement, puis diminue grâce au système immunitaire ; | # La primo-infection avec fièvre, adénopathie, arthralgie, douleur musculaire, dysphagie, ulcération buccale ou génitale, survenant entre 1 et 8 semaines après la [[Contamination|contamination]] et au cours de laquelle le nombre de virus augmente fortement, puis diminue grâce au système immunitaire ; | ||
# La phase asymptomatique au cours de laquelle le sujet est séropositif, mais les lymphocytes sont détruits par le VIH et diminuent progressivement, un syndrome de lympho-adénopathie généralisée persistante pouvant s'observer chez des patients sans symptômes fonctionnels ; | # La phase asymptomatique au cours de laquelle le sujet est séropositif, mais les lymphocytes sont détruits par le VIH et diminuent progressivement, un syndrome de lympho-adénopathie généralisée persistante pouvant s'observer chez des patients sans symptômes fonctionnels ; | ||
# La phase symptomatique se manifeste 10 à 15 ans après la contamination, par l'apparition de maladies opportunistes notamment la [[Tuberculose|tuberculose]], des pneumonies ou des herpès, ou des cancers (exemple syndrome de [[Kaposi (sarcome de)|Kaposi]], [[Lymphome|lymphomes]]), des maladies parasitaires (cryptosporidiose) ou fongiques. | # La phase symptomatique se manifeste 10 à 15 ans après la [[Contamination|contamination]], par l'apparition de maladies opportunistes notamment la [[Tuberculose|tuberculose]], des pneumonies ou des herpès, ou des cancers (exemple syndrome de [[Kaposi (sarcome de)|Kaposi]], [[Lymphome|lymphomes]]), des maladies parasitaires (cryptosporidiose) ou fongiques. | ||
|VM_Commentaires=La mise en œuvre d'une trithérapie ralentit fortement l'évolution de la maladie et restaure les fonctions immunitaires. Les stratégies de référence, (TARTA, traitement antirétroviral très actif, ou HAART, ''highly active antiretroviral therapy'') recommandent l'association de 2 [[Inhibiteur|inhibiteurs]] nucléosidiques de la transcriptase inverse et d'un [[Inhibiteur|inhibiteur]] de protéase, mais d'autres stratégies sont désormais possibles, par exemple l'association de 2 [[Inhibiteur|inhibiteurs]] nucléosidiques et d'un [[Inhibiteur|inhibiteur]] non nucléosidique, ou l'ajout d'un [[Inhibiteur|inhibiteur]] de fusion.<br />Cf [[Immunodéficience acquise (syndrome d') – (Sida)|syndrome d'immunodéficience acquise]]. | |VM_Commentaires=La mise en œuvre d'une trithérapie ralentit fortement l'évolution de la maladie et restaure les fonctions immunitaires. Les stratégies de référence, (TARTA, traitement antirétroviral très actif, ou HAART, ''highly active antiretroviral therapy'') recommandent l'association de 2 [[Inhibiteur|inhibiteurs]] nucléosidiques de la transcriptase inverse et d'un [[Inhibiteur|inhibiteur]] de protéase, mais d'autres stratégies sont désormais possibles, par exemple l'association de 2 [[Inhibiteur|inhibiteurs]] nucléosidiques et d'un [[Inhibiteur|inhibiteur]] non nucléosidique, ou l'ajout d'un [[Inhibiteur|inhibiteur]] de fusion.<br />Cf [[Immunodéficience acquise (syndrome d') – (Sida)|syndrome d'immunodéficience acquise]]. | ||
|VM_Légende_illustration=Sida. | |VM_Légende_illustration=Sida. | ||
|VM_Position_illustration=Right | |VM_Position_illustration=Right | ||
|VM_Dimension_illustration=1.25 | |VM_Dimension_illustration=1.25 | ||
}} | }} | ||
{{Références}} | {{Références}} |
Dernière version du 20 mars 2024 à 15:31
Sésame n. m. Herbacée annuelle rustique (Sesamum indicum L., Pedaliaceae) cultivée depuis l’antiquité (en Mésopotamie), introduite progressivement dans de nombreuses régions tropicales, subtropicales ou tempérées chaudes, asiatiques, africaines et américaines ; plante oléagineuse largement exploitée (principaux pays producteurs : Myanmar, Inde, Chine, Éthiopie, Soudan…). Graine renfermant environ 20…
Sesquiterpène n. m. Nom générique désignant des substances naturelles terpéniques en C provenant dun précurseur, le diphosphate de farnésyle. Grande diversité de structures, habituellement cycliques : hydrocarbures insaturés (bisabolène, caryophyllène…), dérivés oxygénés (farnésol, acide valérénique, artémisinine…), parfois dimériques (gossypol). Un groupe particulier est formé par les lactones sesquiterpéniques…
Sessile n. m. Se dit dune feuille, dune fleur, dun organe dépourvus de pédoncule ou de pétiole, cest-à-dire insérés directement sur leur support. Exemple : feuille dœillet.
Set n. m. Ensemble de choses nécessaires à une action.
Setmélanotide n. m. Octapeptide cyclique de synthèse, premier médicament d’une nouvelle classe d’agonistes du récepteur des mélanocortines MC4R (melanocortin 4 receptor). Ce récepteur couplé aux protéines G est exprimé dans le cerveau (noyau paraventriculaire de l’hypothalamus et zone hypothalamique latérale). Une dysrégulation, par…
Sétron n. m. Nom dune classe de médicaments anti-émétiques, antagonistes des récepteurs 5 HT3 de la sérotonine, nentraînant pas de troubles extra-pyramidaux (exemples : ondansétron, granisétron, tropisétron). Effet antiémétique plus puissant que celui du métoclopramide.
Seuil n. m. Base d’une porte, entrée, début.
Sévélamer n. m. Polymère réticulé contenant de nombreuses fonctions amines, chélateur de phosphates. Les amines protonées dans lestomac fixent les ions négatifs tels que les phosphates alimentaires au niveau intestinal.
Sévoflurane n. m. Anesthésique volatil, moins toxique que lhalothane pour le cœur, le foie et le rein. Il sensibilise le myocarde aux effets arythmogènes des catécholamines (comme lisoflurane).Inscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 04/2016, 2269).
Sevrage n. m. Arrêt de la consommation dun aliment (par exemple le lait chez le nourrisson) ou dune substance, médicamenteuse ou non, prise de façon habituelle.
Sexualité n. f. Ensemble des caractères spéciaux anatomiques (externes ou internes) et physiologiques, que présentent les individus dune espèce, lorsquils sont liés à la reproduction par gamètes mâles et femelles. Par extension, ensemble des phénomènes relatifs à linstinct sexuel et à sa satisfaction.
Shampooing n. m. Préparation cosmétique destinée au lavage et à lentretien des cheveux et du cuir chevelu, se présentant sous forme de liquide, de crème, de gel, éventuellement de poudre. Un shampooing est constitué généralement dune grande quantité deau renfermant des tensio-actifs anioniques synthétiques alkylsulfates ou alkyléthersulfates de…
S-hétéroside n. m. Hétéroside dans lequel la partie osidique est reliée à la génine, ou aglycone, par un atome de soufre.
Shigella Genre de bacilles immobiles à Gram négatif, de la famille des Enterobacteriaceae, proches dEscherichia coli et divisé en quatre sous-groupes : A (Shigella dysenteriae ou bacille de Shiga, bacille de Chantemesse et Widal ; B (S. flexneri) ; C (S. boydii) ; D (S. sonnei).…
Shigellose n. f. Maladie infectieuse localisée au côlon, provoquée par des bactéries du genre Shigella. La contamination peut être directe ou indirecte, le réservoir de germes étant presque exclusivement humain (malades et porteurs sains). La forme la mieux individualisée et la plus sévère des shigelloses est la…
Shiitaké n. m. Nom vernaculaire japonais d’un champignon basidiomycète comestible (Lentinula edodes [Berk.] Pegler [précédemment Lentinus edodes Singer], Marasmiaceae), originaire d’Extrême-Orient où il est largement cultivé et consommé (principaux pays producteurs : Japon, Chine, Corée, Taïwan…) ; introduction récente dans les pays occidentaux dont la France. Présence de…
Shikimi Cf badiane et shikimique (acide).
Shikimique (acide) n. m. Substance naturelle cyclohexénique trihydroxylée porteuse dune fonction acide carboxylique. Élément central dune voie de biosynthèse propre aux micro-organismes et aux végétaux (« voie de lacide shikimique » ou « voie shikimate ») assurant, au même titre que la voie des polyacétates, laromagenèse et conduisant notamment…
Shikonine n. f. Substance naphtoquinonique de couleur rouge extraite de la racine dune plante extrême-orientale, Lithospermum erythrorizon Siebold et Zucc., Boraginaceae ; également produite par culture de cellules. Propriétés modestement anti-inflammatoires et antibactériennes non mises à profit en thérapeutique.
Sialagogue adj. et n. m. Qui provoque la sécrétion ou lhypersécrétion salivaire (par exemple pilocarpine, anétholtrithione).
Sialique (acide) n. m. Terme désignant les dérivés acylés de lacide neuraminique. Chez lHomme, le principal acide sialique est lacide N-acétylneuraminique (NANA), constituant terminal de la fraction glucidique de nombreux composés glycoconjugués.
Sialorphine n. f. Pentapeptide (Gln-His-Asn-Pro-Arg) découvert, en 1993, dans la salive de rat par une équipe de linstitut Pasteur, la sialorphine est le produit final de la dégradation, par des hydrolyses successives, de la protéine SMR1 (submandibular rat1 protein). Cest un inhibiteur spécifique de l’endopeptidase neutre…
Sialorrhée n. f. Augmentation pathologique de la sécrétion salivaire.
Sibutramine n. f. Inhibiteur de la recapture de la noradrénaline, de la sérotonine et de la dopamine par ses métabolites actifs, amines primaire et secondaire.
Siccité n. f. État de ce qui est sec.
Sidéen adj. et n. m. Qualifie ou désigne un individu atteint du syndrome dimmunodéficience acquis (SIDA).
Sidérémie n. f. Concentration sérique (ou plasmatique) en fer. Il sagit essentiellement du fer lié à ses formes de transport (transferrine), à lexclusion du fer hémoglobinique. La sidérémie est lobjet de variations nycthémérales importantes (maximum entre 7 h et 10 h). Valeurs usuelles entre 13 et 32 µmol/…
Sidérite n. f. Carbonate ferreux naturel FeCO.
Sidéroblaste n. m. Érythroblaste anormal dans lequel on peut mettre en évidence des granulations de fer. On rencontre les sidéroblastes dans les myélodysplasies, plus spécialement dans les anémies réfractaires sidéroblastiques.
Sidérocyte n. m. Hématie dans laquelle on peut mettre en évidence des granulations ferrugineuses.
Sidéropénie n. f. Déficit en fer de lorganisme suite à apport insuffisant, une malabsorption ou des hémorragies.
Sidérophore n. m. Composé de faible poids moléculaire (de 200 à 2000 daltons), capable de chélater le fer ferrique Fe et une dégradation ou une modification chimique du sidérophore le rendant moins affin pour le métal.
Sidérose n. f. Infiltration de tissus suite à lexposition ou linhalation massive ou chronique de poussières de fer ou de fumées, composés, contenant des particules de fer (exemple sidérose pulmonaire, hépatique). Touche surtout les ouvriers des fonderies ou les mineurs.
Sigmoïdite n. f. Inflammation d’un ou plusieurs diverticules de la paroi du sigmoïde, d’étiologie infectieuse ou liée à une maladie notamment de Crohn. Elle se manifeste par des douleurs abdominales de la fosse iliaque gauche avec, parfois, fièvre et troubles du transit (constipation plus que diarrhées).
Signal n. m. Signe convenu pour avertir.
Signal BOLD (Blood oxygen level dependent signal)
Signal d’épissage n. m. Courte séquence de nucléotides spécifique présente sur le transcrit primaire, qui permet l’épissage.
Signature ADN n. f. Segment d’ADN suffisamment distinctif pour être spécifique d’un individu ou d’un taxon.
Signe n. m. Ce qui permet de connaître, de reconnaître ou de prévoir quelque chose.
Silane n. m. Nom du tétrahydrure de silicium, SiH), analogues des alcanes.
Silanol n. m. Nom de dérivés organiques du silicium très riches en fonctions hydroxyles, obtenus par synthèse dun silicium organique actif et dune ou de deux molécules ayant des fonctions alcool, phénol-acide ou amine. Chaque unité de base possède plusieurs fonctions silanol Si-OH et une ou deux liaisons…
Sildénafil (citrate de) n. m. Inhibiteur puissant et sélectif de la phosphodiestérase du type 5 (PDE-5), responsable de la dégradation de la guanosine monophosphate cyclique (GMPc) au niveau des corps caverneux. Le sildénafil potentialise les effets relaxants du NO qui, par lui-même, induit une augmentation de la GMPc. Lors…
Silibinine n. f. Mélange à peu près équimoléculaire de deux dihydroflavonolignanes (communément désignés par flavonolignanes) diastéréoisomères (silybine A et sylibine B), constituant majoritaire de la silymarine.
Silice n. f. Dioxyde de silicium SiO.
Silicium (Si) n. m. Élément de la 14, le plus abondant en masse (à létat combiné) dans la nature, après loxygène; semi-métal, présentant des propriétés chimiques proches de celles du carbone.
Silicone Famille de polymères élastomériques organosiliciques, caractérisée par la présence, dans la chaîne principale, de lunité répétitive -[OS.
Silicose n. f. Ensemble de désordres bronchopulmonaires liés à linhalation massive ou chronique de microparticules de silice ou de silicates. Elle est fréquemment associée à la tuberculose. Elle sobserve particulièrement chez les mineurs, sableurs, fondeurs.
Silicule n. f. Silique très courte dont la longueur nexcède pas beaucoup la largeur. Exemple : bourse à Pasteur.
Silique n. f. Fruit sec déhiscent provenant de deux carpelles et souvrant au moyen de quatre fentes. Exemples : fruits du chou, de la moutarde, de la chélidoine.
Silodosine n. f. Antagoniste adrénergique sélectif des récepteurs α situés au niveau des muscles lisses de la prostate et du col vésical.
Siltuximab n. m. Anticorps monoclonal chimérique homme-souris dirigé contre linterleukine-6 (IL-6). Il forme des complexes stables de haute affinité avec les formes actives solubles de la cytokine, empêchant sa liaison à ses récepteurs solubles et membranaires et inhibant, ainsi, la formation du complexe de…
Silver-Russell (syndrome de) n. m. Pathologie génétique sporadique ou dhérédité autosomique dominante, marquée par une microduplication du gène H19 (chromosome 11p15), une trisomie du gène 7p11.2p13 ou une microduplication de ce même gène, provoquant un retard de croissance intra-utérin du fœtus. A la naissance le nouveau-né, de petite taille, présente…
→ Sitagliptine (phosphate de)
Sida
Anglais : AIDS, acquired immuno deficiency syndrome
Espagnol : SIDA, síndrome de inmunodeficiencia adquirida
Étymologie : Acronyme de Syndrome de l'Immunodéficience Acquise.
Syndrome d'immunodéficience, forme évoluée de l'infection par le virus de l'immunodéficience humaine (VIH), défini par la survenue de manifestations infectieuses opportunistes ou tumorales liées à la déplétion profonde de l'immunité cellulaire (lymphocytes T). Transmission du virus par voie sexuelle, maternofœtale et sanguine, (notamment au cours d'injections intraveineuses par du matériel contaminé). La maladie se déroule en trois phases :
- La primo-infection avec fièvre, adénopathie, arthralgie, douleur musculaire, dysphagie, ulcération buccale ou génitale, survenant entre 1 et 8 semaines après la contamination et au cours de laquelle le nombre de virus augmente fortement, puis diminue grâce au système immunitaire ;
- La phase asymptomatique au cours de laquelle le sujet est séropositif, mais les lymphocytes sont détruits par le VIH et diminuent progressivement, un syndrome de lympho-adénopathie généralisée persistante pouvant s'observer chez des patients sans symptômes fonctionnels ;
- La phase symptomatique se manifeste 10 à 15 ans après la contamination, par l'apparition de maladies opportunistes notamment la tuberculose, des pneumonies ou des herpès, ou des cancers (exemple syndrome de Kaposi, lymphomes), des maladies parasitaires (cryptosporidiose) ou fongiques.
La mise en œuvre d'une trithérapie ralentit fortement l'évolution de la maladie et restaure les fonctions immunitaires. Les stratégies de référence, (TARTA, traitement antirétroviral très actif, ou HAART, highly active antiretroviral therapy) recommandent l'association de 2 inhibiteurs nucléosidiques de la transcriptase inverse et d'un inhibiteur de protéase, mais d'autres stratégies sont désormais possibles, par exemple l'association de 2 inhibiteurs nucléosidiques et d'un inhibiteur non nucléosidique, ou l'ajout d'un inhibiteur de fusion.
Cf syndrome d'immunodéficience acquise.