« Télopeptide » : différence entre les versions
(Page créée avec « {{Titre et classement |VM_Date_de_révision=29 décembre 2017 |VM_Titre_gras=Oui |VM_Titre_italique=Non |VM_Clé_de_classement=Telopeptide |VM_Cible=Oui |VM_Lien_DirPub=Oui }} {{Définition-base |VM_Affiche_discipline=Oui |VM_Type_grammatical=n. |VM_DCI=Non |VM_Genre=m. |VM_Nombre= |VM_Ajout_entrée=Oui |VM_Sous-entrée_gras=Oui |VM_Sous-entrée_italique=Non |VM_Anglais=telopeptide |VM_Espagnol=telopéptido |VM_Allemand=Telopeptid |VM_Etymologie=grec τέλος '... ») |
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Dernière version du 15 mars 2024 à 12:09
Tébentafusp n. m. Protéine de fusion bispécifique recombinante produite dans Escherichia coli, comprenant, dune part, un récepteur des lymphocytes T humains (TCR, T-cell receptor) ciblant l’antigène gp100 présent sur les mélanocytes et cellules tumorales du mélanome uvéal (chez les sujets de type HLA-A02:01, human…
Technétium n. m. ans).
Technicien n. m. Professionnel qui maîtrise une technique.
Technique adj : 1- relatif au côté pratique d’une activité, à son exercice, au savoir-faire afférent ; 2- relatif au fonctionnement d’une installation, d’un appareil, d’un matériel ; 3- relatif aux applications de la connaissance scientifique . Est utilisé aussi dans le domaine…
Technologie n. f. Terme correspondant à létude ainsi quà la science des techniques et des objets techniques. .
Téclistamab n. m. Anticorps monoclonal humanisé bispécifique contre le cluster de différenciation CD3-epsilon (CD3ε, sous-unité du complexe formant le récepteur des cellules T), antigène de surface des lymphocytes T et contre l’antigène humain de maturation des lymphocytes B (BCMA, B-cell maturation antigen ; TNFRSF17, TNF Receptor Superfamily Member…
Técovirimat n. m. Agent antiviral spécifique des orthopoxvirus, développé aux États-Unis pour lutter contre le virus de la variole chez l’homme, notamment dans le cadre de la lutte contre le bioterrorisme. En bloquant la fonction d’une protéine d’enveloppe majeure requise pour la production du virus extracellulaire, le técovirimat…
Tecteur adj. Chez les plantes, qualifie un poil épidermique jouant un rôle de protection de la plante, par exemple dans la limitation de lévapotranspiration chez les végétaux héliophiles. Ce poil peut être unicellulaire ou pluricellulaire, et est souvent opposé au poil sécréteur. Exemple : poils tecteurs de…
Tédizolide (phosphate de) n. m. Antibiotique de la classe des oxazolidinones, agissant principalement sur les bactéries à Gram positif, en se liant à lARN 23S de la sous-unité 50S du ribosome, empêchant la formation du complexe dinitiation 70S, doù inhibition de la synthèse protéique. Cf linézolide.Le phosphate de tédizolide…
Téduglutide n. m. Polypeptide de 33 acides aminés, analogue recombinant du peptide humain de type 2 ressemblant au glucagon (GLP‑2, glucagon‑like peptide 2), hormone sécrétée au niveau du tube digestif qui accroît labsorption intestinale. Le GLP‑2 possède une alanine en position 2 à lextrémité N‑terminale ; son…
Tégafur n. m. Antinéoplasique, prodrogue du fluorouracil (5-FU), utilisé en association avec luracile. Luracile est un inhibiteur compétitif de la dihydropyrimidine déshydrogénase, première enzyme du catabolisme du 5‑FU. Lassociation tégafur/uracile permet de libérer des concentrations accrues de 5‑FU et de ses métabolites actifs : 1- le FdUMP qui…
Tégument n. m. Tissu de revêtement externe du corps constitué par la peau et ses annexes.
Teicoplanine n. f. Antibiotique antibactérien de la classe des lipoglycopeptides obtenu par fermentation de certaines souches de l’actinobactérie Actinoplanes teichomyceticus ; mélange de plusieurs composants chlorés distincts par la chaîne latérale lipophile portée par l’un des oses. Spectre antibactérien, mécanisme d’action et indications semblables à ceux des autres…
Teigne n. f. Mycose du cheveu ou du poil due à un dermatophyte pathogène qui en provoque la cassure.
Teinture n. f. 1- action effectuée pour modifier la couleur dun support 2- produit utilisé pour obtenir leffet précédent.
Teixobactine n. f. Antibiotique découvert lors de criblages de bactéries non cultivables, présentes dans un échantillon de sol prélevé dans un champ de l’État du Maine (États-Unis) en utilisant le procédé « iChip » (voir ci-dessous). Il s’agit d’un depsipeptide macrocyclique constitué de 1 « briques », synthétisé dans Elephteria…
Télangiectasie n. f. Dilatation anormale permanente des petits vaisseaux de la peau et des muqueuses formant de fins réseaux rouge violacé. Souvent dans la région du nez et des joues. Le plus souvent acquise (traumatisme, radiothérapie, insuffisance veineuse…) ou congénitale (syndrome de Rendu – Osler).
Télaprévir n. m. Inhibiteur de la protéase NS3‑4A nécessaire à la réplication du virus de lhépatite C dans la cellule de lhôte.
Télavancine n. f. Antibiotique antibactérien de la classe des lipoglycopeptides, obtenu par hémisynthèse à partir d’un antibiotique naturel, la vancomycine. Spectre antibactérien semblable à celui des autres glycopeptides ; en plus de son activité inhibitrice de la synthèse des peptidoglycanes de la paroi des bactéries à Gram positif…
Telbivudine n. f. Antiviral de la famille des inhibiteurs nucléosidiques et nucléotidiques de la transcriptase inverse. Le métabolite actif de ce L‑nucléoside est le dérivé triphosphorylé qui inhibe, sélectivement, la réplication du virus de lhépatite B, par compétition avec le thymidine triphosphate, substrat physiologique de lADN polymérase (transcriptase…
Télésanté n. f. Ensemble des technologies de l’information et de la communication (TIC) mises au service de la santé, permettant des relations à distance et utilisées à des fins sanitaires. Cf cybersanté.La pertinence du recours à la télémédecine ou au télésoin est appréciée par le professionnel médical, le…
Télithromycine n. f. Antibiotique antibactérien hémisynthétique de la classe des macrolides (groupe des kétolides préparé à partir de l’érythromycine A).
Tellurique adj. Relatif à la terre, qui provient de la terre.
Telmisartan n. m. Antagoniste puissant et spécifique de langiotensine II sur son récepteur ATInscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 07/2008, 2154).
Télomérase n. f. Ribonucléoprotéine à activité transcriptase inverse, catalysant la synthèse de la séquence télomérique en utilisant la sous-unité ARN comme matrice. Elle est très active dans les cellules à potentiel de division élevé (cellules germinales, cellules-souches), elle sexprime peu dans les cellules somatiques, ce qui conduit progressivement…
Télomère n. m. Région hautement répétitive non codante de lADN, située à lextrémité dun chromosome et assurant sa réplication et sa stabilité, en synthétisant à nouveau, partiellement, la partie perdue à chaque division cellulaire (exemple, lunité TTAGGG répétée plusieurs centaines, voire milliers, de fois, chez lHomme).
Télomérisation post-cassure chromosomique n. f. Synthèse d’ADN répétitif qui se produit à l’extrémité d’une molécule d’ADN chromosomique après cassure de ses deux brins et qui permet de reconstituer un fragment de chromosome jouant le rôle de télomère.
Télophase n. f. Etape finale de la mitose au cours de laquelle les deux jeux de chromosomes séparés se condensent et sentourent denveloppe nucléaire.
Télotristat éthyl n. m. Ester éthylique du télotristat, précurseur pharmacologique du télotristat par hydrolyse, inhibiteur de la tryptophane hydroxylase, et, donc, de la formation de sérotonine.Lexcès de production de sérotonine est la cause principale du syndrome carcinoïde associé aux tumeurs neuroendocrines : diarrhée, fréquence élevée des selles, bouffées…
Témazépam n. m. Hypnotique de la classe des 1,4‑benzodiazépines avec des propriétés générales similaires à celles du diazépam. Il agit par son action agoniste spécifique sur un récepteur central faisant partie du complexe récepteurs macromoléculaires GABAInscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 01/2008, 0954).
Témocapril (chlorhydrate de) n. m. Antihypertenseur appartenant à la famille des inhibiteurs de lenzyme de conversion de langiotensine. Cest un précurseur pharmacologique (prodrogue) libérant un métabolite actif diacide, à longue durée daction et principalement éliminé par voie biliaire, à la différence des autres inhibiteurs de lenzyme de conversion, principalement éliminés…
Témocilline n. f. Pénicilline de synthèse, dérivée de la ticarcilline par ajout d’un radical méthoxyle sur le cycle β-Lactame
Temoe-lawacq Cf curcuma.
Témoin adj. et n. m. Personne qui rapporte ce quelle a vu ou entendu.
Témoporfine n. f. Chlorine, produit de synthèse, méso‑tétrakis(3-hydroxyphényl)chlorine, à caractère photosensibilisant, utilisée dans le traitement photodynamique des tumeurs. Administrée, par voie générale, et activée localement par irradiation laser, elle conduit, en présence doxygène endogène, à la formation despèces réactives de loxygène induisant lapoptose et la nécrose dans les…
Témozolomide n. m. Triazène analogue de la dacarbazine (Cf dacarbazine), agent monoalkylant ; à pH physiologique, le témozolomide est transformé spontanément en 3‑méthyl(triazén-1-yl)imidazole‑4-carboxamide (MTIC), qui est instable et génère le cation méthyldiazonium, électrophile, qui réagit notamment avec les atomes O et N des guanines, en position 6…
Température n. f. Grandeur mesurant le degré dagitation thermique de la matière (théorie cinétique des gaz). Liée, dans la vie courante, aux sensations de froid et de chaud dues au transfert de chaleur entre deux corps.
Temps n. m. 1- Paramètre permettant de repérer les événements dans leur succession ; 2- durée dun phénomène.
Temsirolimus n. m. Composé hémisynthétique obtenu par estérification du sirolimus (ou rapamycine) par estérification de la fonction alcool secondaire en position 40. Substance anticancéreuse agissant par inhibition de la kinase mTOR (mammalian Target Of Rapamycin), celle-ci jouant notamment un rôle pivot dans la voie de signalisation PI3K/AKT qui…
Ténapanor n. m. Petite molécule dimérisée (structure dichlorométhyl-tétrahydroisoquinoléinyl-benzènesulfonamide), inhibiteur de l’échangeur sodium-hydrogène NHE3 (sodium–hydrogen exchanger 3). Cet antiport NaLe ténapanor, en inhibant NHE3, diminue l’absorption du sodium d’origine alimentaire et favorise la sécrétion urinaire. Concomitamment, il semble entraîner une diminution sélective de l’absorption de phosphates.
Tendinite n. f. Inflammation douloureuse du tendon dun muscle. Rarement détiologie infectieuse, elle est due à une sollicitation inhabituelle, à des microtraumatismes répétés ou à un rhumatisme inflammatoire.
Tendon n. m. Cordon constitué de tissu conjonctif fibreux permettant de relier les muscles squelettiques aux os.
Ténéligliptine n. f. Antidiabétique de la famille des gliptines, médicaments qui inhibent la dipeptidyl-peptidase (DDP-4), enzyme qui inactive les incrétines, telles que le peptide humain de type 1 ressemblant au GLP-1, (glucagon‑like peptide‑1) et le peptide insulinotrope dépendant du glucose, GIP, (glucose-dependent insulinotropic peptide). Linhibition de la DDP-4…
Ténesme n. m. Contracture spasmodique douloureuse du sphincter anal ou vésical saccompagnant de brûlures et dun besoin continuel daller à la selle ou duriner avec une exonération inefficace et peu productive. Ce symptôme sobserve lors dinflammation du rectum ou de la vessie détiologie parasitaire, tumorale ou infectieuse.
Teneur n. f. Quantité de matière solide, liquide ou gazeuse dans un corps rapportée à une masse ou à un volume dautres matières dans lesquelles elle est en mélange, suspension ou dilution.
Ténifuge adj. et n. m. Qualifie ou désigne un effet ou un médicament qui provoque une réduction de la vitalité dun cestode parasite et facilite son expulsion.
Téniposide n. m. Dérivé de la classe des épipodophyllotoxines, obtenu par hémisynthèse à partir de la podophyllotoxine ; propriétés anticancéreuses par inhibition des topoisomérases II.
Ténoïque (acide) n. m. Dénomination abrégée dacide thiophène‑2‑carboxylique. Préconisé, ainsi que ses sels (sodium, lithium, éthanolamine...), comme régulateur de secrétions bronchiques, nasales, sébacées..., ainsi que comme cicatrisant et antiseptique.
Ténonitrozole n. m. Amide résultant de lunion dun dérivé nitré de laminothiazole avec lacide ténoïque. Le ténonitrozole est utilisé contre les protozoaires (Trichomonas) et comme antifongique (en particulier contre les levures).
Ténosynovite n. f. Inflammation douloureuse dun tendon et de sa gaine synoviale. Dordre rhumatismal, elle peut toucher le poignet, le pouce, lépaule ou le pied, suite à un microtrauma.
Ténoxicam n. m. Anti-inflammatoire non stéroïdien, de la classe des oxicams, inhibiteur des cycloxygénases 1 et 2..Inscrit à la Pharmacopée Européenne (monographie 07/2009, 1156).
Tensioactif adj. et n. m. Qualifie ou désigne un composé amphiphile qui, en sadsorbant à linterface, agit sur la tension superficielle ou interfaciale des liquides (interface liquide/gaz ou liquide/liquide) ou lénergie de surface des solides (interface solide/liquide). Peut former des micelles.
Tensio‑actif adj. et n. m. Se dit dun composé organique dont la molécule comporte à la fois un site – ou pôle – hydrophile et un site lipophile, hydrophobe, constitué de longues chaînes aliphatiques ou de noyaux aromatiques. Ce type de produit agit sur la tension superficielle, doù des propriétés…
Tension n. f. Dans un sens général, état dun tissu, dune membrane élastique, dune personne contractée.
Tépale n. m. Pièce du périanthe, non encore différenciée ressemblant aux autres pièces, de même type, par la couleur et la forme. Les tépales sont insérés sur deux verticilles séparés et correspondent, dune part, à des sépales pétaloïdes (mimant des pétales et situés sur un verticille externe), dautre…
→ Terre rare
Télopeptide
Anglais : telopeptide
Espagnol : telopéptido
Allemand : Telopeptid
Étymologie : Grec τέλος télos accomplissement, achèvement, fin, terme et πέψις pépsis cuisson, maturation, digestion, suffixe -ide.
n. m. Séquence d’acides aminés qui, situés aux extrémités terminales d’une protéine, en sont progressivement éliminés par protéolyse au cours de leur catabolisme.
Télopeptide du collagène de type 1
Anglais : type I collagen telopeptide
Espagnol : telopéptido del colágeno tipo I
Allemand : Telopeptid von Kollagen Typ I
Extrémité N- et C- terminale des chaînes peptidiques du collagène de type I, jouant un rôle majeur dans la formation des ponts (« crosslinks ») entre les sous-unités de tropocollagène pour constituer les fibrilles et fibres du collagène. Lors de la dégradation du collagène au cours du remodelage osseux, des télopeptides et fragments de télopeptides, sous forme libre ou liés aux « crosslinks », sont libérés dans le sang et éliminés dans l'urine. On retrouve ainsi le C-télopeptide ou CTx ou « crosslaps », soit alpha soit bêta (isomérisation de l'’α-asparagine en β-asparagine lors du vieillissement du collagène), le N-télopeptide ou NTx (8 acides aminés), l'ICTP, fragment peptidique carboxyterminal de 12kda constitué d’un pont pyridinoline lié d’une part à une partie des 2 fragments télopeptidiques C-terminaux et d’autre part à un fragment de la zone hélicoïdale du collagène.
Lors d’un excès du remodelage osseux, la dégradation accélérée du collagène engendre une augmentation de ces composés dans le sang et l’urine. Malgré une grande variabilité intra-individuelle, ils se sont avérés être des marqueurs de la résorption osseuse, très utiles pour l'aide à la décision thérapeutique et le suivi des traitements au cours des maladies métaboliques de l'os. Ainsi, au cours de l'ostéoporose postménopausique révélée par mesure de la densité minérale osseuse (DMO), le NTx et le β-CTx permettent, dans les cas difficiles, d’identifier les femmes ostéopéniques à risque fracturaire élevé chez qui un traitement sera bénéfique ; une diminution rapide (3 mois) permet de contrôler l'efficacité et l'observance du traitement.
L'alpha-CTx est utile pour le suivi de la maladie de Paget. Celle-ci est associée à un remodelage excessif et anarchique de l’os avec un défaut de racémisation de l’α-CTx en β-CTx. Les augmentations de l’α-CTx urinaire et du rapport α-CTx / β-CTx sont d’excellents marqueurs de l’activité de la maladie, de l’étendue de l’atteinte osseuse et de l'efficacité thérapeutique.
NTx, β-CTx, ICTP sont utilisés pour évaluer l’efficacité des traitements antirésorptifs des hypercalcémies liées à des métastases osseuses. L’ICTP est le marqueur le plus sensible dans le suivi du myélome multiple.